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Parenthèse Philophienne - FINI
Philophæ M. Andreatus
Messages : 102

Feuille de personnage
Age: 45
Pronoms:
Club: Aucun, Prof de transformation et patrouilleur
Pouvoir: Magie rouge: Transformaton en chien et altération des os. Contrecoups: dent toujours transformées et cicatrice à l'oeil. Collonne vertébrale se soudant petit à petit.
Philophæ M. Andreatus
Premier de la classe



Jeu 14 Mai - 23:11
Episode 1:
tout commence par un nez cassé...
RP solo


Un jour, dans la vie de Philophae, élève de 19 ans:

Les cris des combattants résonnaient dans le dojo et Philophae ne savait pas comment il devait prendre la consigne. Fatia voulait-elle sa mort ? Il machouillait son protège dent, toujours peu habitué à leur forme. Plus le temps passait, plus elle étaient pointues et il ne savait pas quoi en penser. Sa mère ne semblait pas plus inquiète que ça, donc ça voulait bien dire que tout allait bien, que c’était normal.


-Vous avez vos protections ? Parfait.


La personne qui lui faisait face faisait dans les un mètre quatre-vingt dix, plus petit que lui mais de peu. En même temps, plus grand et large que lui, c’était difficilement trouvable. Par contre… Il était bien plus gradé que lui.

-Philophae ?


-Oui Fatia ?


-Tu te déconcentre. Qu’est ce qui va pas ?


-Je… Je sais pas.

-Tu trouvais que ta taille t’avantageait trop face aux gens de ton grade et que tu devait retenir tes coups. C’est une solution. Si ça ne te convient pas, dis le maintenant parce que dans moins d’une minute il sera trop tard.


-T’es sûr que ça ne te dérange pas Cyprien ?
demanda-t-il en relevant la tête vers son adversaire.

-Certain.


-Bon, aller les gnomes, assez parlé. C’est tout bon ?


Les deux acquiescèrent.

-En place. Commencez.


En face, Cyprien devint une ombre et lui porta un premier coup à la mâchoire que Philo dévia au dernier moment avant de se mettre hors de portée. Le monde fut soudainement aspiré au loin, il ne restait que l’endroit où ils étaient. Souvent, les combats dans lesquels Philophae était impliqué donnaient lieu à une longue phase d'observation, car enfin il n’était pas un adversaire courant. Mais pas avec Cyprien. Bien plus expérimenté, il ne lui laisserait aucun répit, aucune échappatoire. Soit. Il s’adapterait.

Dire que Philophae ne réfléchissait pas lorsqu’il se battait était faux. Dire qu’il prenait le temps de le faire l’était encore plus. Tout ce joue sur une observation et un réflexe, l’analyse… Elle ne doit même pas être discernable, sinon c’est trop tard. Alors, comme à chaque fois il était dans cet état étrange où il était un corps et un réflexe.
L’adrénaline rend le corps plus léger ou du moins donne l’impression qu’il l’est. Une fois léger, le chien devenait assez redoutable.
Soyons clairs: pas assez face à Cyprien mais assez pour le faire sacrément suer.

Il parrat deux coups mais se prit le suivant. Depuis son ventre explosa une nuée d’étoiles qui remontèrent le long de ses organes jusqu’à sa tête. En un réflexe, il attrapa la jambe qu’il venait de recevoir et envoya son adversaire bouler à terre. Cherchant à le rejoindre pour lui asséner le coup final il se prit un genoux dans les dents et se retrouva à genoux, chancelant.Il fronça les sourcils, sentant venir le prochain coup.

Il oublia les règle et ceintura son assaillant pour le jeter à terre de nouveau, l’entrainer de son poids. Les règles précises, les coups règlementaires… C'était un combat non ?

Arrivé au sol il n’y avait plus personne. Il se releva aussi vite que possible mais se prit tout de même le pied de son adversaire en pleine mâchoire. Sonné, il réussit néanmoins à garder son équilibre et, quand il revient, lui fonça dessus en hurlant. Présentant son épaule gauche pour se protéger au maximum, il rentra dans sa garde et attrapa son col pour lui mettre un coup de boule monumental. Un immonde craquement retentit à l’impact et Cyprien grogna.

-STOP ! On arrête tout. C’était quoi ça ?


S’essuyant le front, philo regarda ses pieds, penaud tandis que l’autre portant la main à son nez qui pissait le sang.

-C’était pas fair play mais c’était vachement efficace en tout cas. Et douloureux.


Fatia s’agenouilla à côté du Roumain et regarda son nez. Passant sa main dessus elle le soigna avant de se lever pour aller cracher une boulette de chair qu’elle avait produit en contrepartie du soin plus loin.

-T’aurais pu vraiment lui faire mal Philo ! Va faire le tours du stade en forme humaine jusqu’à ce que je vienne te chercher, histoire de réfléchir à ça et on en reparle après.


-Fatia, ça v…


Elle lui lança un regard noir. Il était son élève et s’avisait de remettre en cause ce qu’elle disait ?

-100 pompes. Pour trouver malin de parler quand tu devrais te taire.

Il eu lui aussi une mine penaude et se mit au sol pendant que Philophae sortait pour courir. Les tours de stades furent long et chiants et la discussion aussi. Pour peu, elle allait lui demander de faire des lignes disant: je ne cherche pas à tuer mes petits camarades. C’est elle qui lui avait dit de pas retenir ses coups ! Il avait fait que suivre les consignes, il avait pas cherché à tuer Cyprien. D’autant qu’il savait bien que si elle ne les avait pas arrêté, ce dernier lui aurait mis une pâtée monumentale.

A la sortie, Cyprien l’attendait. Il soupira.

-’Scuse.


-Ahah non, t’inquiète. Vraiment c’est pas un problème, Fatia a réparé ça en deux-deux. Donc t’inquiète. Dis, tu fais un truc samedi ?


Le chien resta un instant interdit. Il voulait s'entraîner le week-end ? Finir le combat ?

-Non.


-Tu serais, heu… Dispo pour boire un verre ?


-Bah oui puisque je fais rien.


-T’aurais aussi pu ne pas vouloir.


Il haussa les épaules.

-Ca dépend, combien de gens ?


-Ah, heu… Je pensais juste à nous deux.

-Mokay, ça me va. On se retrouve au dojo ?


-Parfait, on fait ça alors. Cool. Cool, cool, cool… Je… Je vais y aller, du coup… A samedi !


Cyprien s’en alla donc, un peu pressé sans se rendre compte de deux choses pourtant cruciales. Un, ils n’avaient pas décidé l'horaire. Deux, Philophae n’avait absolument pas compris qu’il s’agissait d’un rencard.



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Parenthèse Philophienne - FINI Philop20
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Philophæ M. Andreatus
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Philophæ M. Andreatus
Premier de la classe



Mer 12 Aoû - 0:18
Episode 2:
Comment on est arrivé là.
RP solo


Attention, ce texte comprends du contenu sexuel et ne doit pas être lu par des personnes de moins de 18 ans

Un jour, dans la vie de Philophae, élève de 19 ans:

Ils avaient chaud, un peu trop. Ils transpiraient, serrés l’un contre l’autre, la respiration coupée. Philophae regardait Cyprien, assez confus sur le chemin qui les avait mené là, ravi de l’avoir parcouru tout de même. Front contre front, yeux dans les yeux avec un air de défis collés à leurs visages. Le chien avait gagné la dernière manche mais son partenaire semblait décidé à prendre sa revanche…

On n’était pas du tout samedi. Enfin maintenant peut être, mais tout cela avait commencé vendredi en fin d’après midi.

Comme dit auparavant, ni l’un ni l’autre n’avaient pensés à préciser un horaire de rendez-vous pour le lendemain et le mage rouge s’en rendit rapidement compte. Il alla donc au dojo pour demander à Fatia le numéro de chambre de Cyprien puis s’y rendit dans la foulée.
Avant de frapper à la porte il gribouilla un petit mot au cas où il ne fut pas là, indiquant une heure et un lieu de rendez vous pour le lendemain. Enfin, il donna trois coup au battant, attendant patiemment qu’on lui réponde.
Cyprien lui ouvrit rapidement, rougissant aussitôt qu’il le vit.  

-Salut.


-Ah… Heu… Salut !


-On s’est pas donné d’indications pour demain.


-Ah. Ah oui.


-J’ai ça à te proposer.


Il lui tendit le papier. Il le prit, le lit rapidement avant de lui rendre.

-La première proposition me va bien après… Si tu as le temps, tu peux peut-être entrer ? J’ai des bières qui trainent, on peut en ouvrir une… J’ai pas de coloc’, c’est ma chambre rien qu’à moi, on pourrait être tranquille si tu veux.


Philophae fronça les sourcils. Ce n’était clairement pas pour s’entrainer qu’il lui demandait de rentrer. Est-ce que ..?

-Je… Je veux bien mais… Je suis pas sûr de comprendre.


-De comprendre quoi ?


-Bah…


Philophae regarda ses pieds, se grattant la tête en se balançant doucement pour se donner une contenance. Il était toujours gêné quand il n’était pas sûr de comprendre les gens alors que ça semblait important sur la conduite à adopter.

-Au départ je pensais que tu voulais qu’on s’entraîne mais vraisemblablement non... Du coup tu voulais qu’on aille boire un coup ensemble ?


Cyprien semblait aussi confus que lui mais différemment. Presque… Déçu ? C’était difficile à dire. Il y avait presque un soupçon de désillusion dans son attitude. Il avait l’air blessé.

-Bah, heu… Oui ?


-C’est juste que on me propose rarement. Sauf les gens qui me connaissent bien.


-Ca fait trois ans qu’on se connais quand même.


Philophae resta un moment silencieux. Oui. Mais c’était juste au club, ils se croisaient rarement autrement. Parfois dans les couloir, quelques fois dans les parcs mais sans plus…

-C’est vrai…


-Tu sais si tu veux pas rentrer tu peux aussi le dire directement.


-Non, mais c’est pas ça !


Il avait presque crié, un peu comme un enfant qui n’arrive pas à se faire comprendre. Il avait l’impression de saisir quelque chose, de voir pourquoi Cyprien l’avait invité mais il n’était pas.. Sûr. Il lui manquait des éléments pour savoir à quoi s’attendre, il ne pouvait pas se baser que sur de simples impression, c’était pas assez… Il allait juste se ridiculiser et…

-Tu sais, c’est pas grave. En soit, j’aurais pas dû me bercer d’illusion, c’était con. T’inquiète, on ira s’entraîner demain si tu veux… Bonne nuit.


-Attends ! Attends… C’est…


Bon sang que c’était compliqué… Est ce que c’était un rendez-vous ? Genre un rendez-vous amoureux ? Ou pas ? Il avait déjà eu une copine. Il avait déjà embrassé des gens, couché avec des gens mais les moments déclencheurs étaient toujours flous pour lui. Il ne les voyait jamais, ne les saisissait pas et ne savait pas si là, c’était le cas.

-Y’a quelque chose ?


-Comment ça ?


-Je…

Sa voix s’en alla et il ne pu que chuchoter un vague “je te plais ? “ dans sa barbe naissante.

-J’ai pas compris t’as parlé trop bas...

-Je te… Plais ?


Le rougissement fut immédiat, des deux côtés. Philophae fit un pas pour rentrer et Cyprien le laissa faire. Une fois à l’intérieur, un silence gêné s’installa doucement, surement. Il s’invita entre eux, semblant prêt à empêcher toute communication. Assis sur le canapé, assez loin l’un de l’autre, ils ne semblaient pas prêts à faire autre chose que mourir lentement de honte.
Puis, après un temps qui sembla extrêmement long, le chien finit par reprendre la parole.

-Tu crois que… Que je peux t’embrasser ?


Il y eu un autre silence et un instant de flottement puis Cyprien se rapprocha. Timidement il posa sa main sur son épaule et les deux se regardèrent avant de pouffer. Ils se sentaient…. Ridicules. Et pourtant, alors que son partenaire n’avait pas fini de rire, Philo vint doucement cueillir ses lèvres du bout des siennes. Simplement ça, un baiser, un unique bais… Ah bah non.
Encouragé par le molosse, Cyprien renchérit. Passant ses main sur sa nuque, il se rapprocha pour s’asseoir sur ses genoux sans jamais laisser sa bouche en paix. A chaque inspiration, alors qu’ils cherchaient l’air, l’autre revenait de plus belle à l’assaut. Petit à petit ils s’affalèrent sur le canapé, enchevêtrés.

-Je… On… Il fait soif non ?


Philophae grogna en hochant la tête, un sourire ravi aux lèvres. Cyprien se leva donc, non sans difficultés (il fallait qu’il récupère ses bras et jambes plus ou moins coincé sous deux mètres de personne et ensuite rester debout malgré la confusion) et alla chercher une bouteille d’eau. Pendant qu’il était dans la cuisine, Philo se leva pour s’étirer.

-Dis moi…


-Hm?


-Tu… aimerais qu’on aille plus… Plus loin ?


Philo se rassit.

Attrapa un coussin pour lui faire un calin, il se roula en boule sur le canapé ne sachant quoi répondre. Alarmé par ce silence, Cyprien revint aussitôt, armé de la bouteille d’eau.

-Si tu ne veux pas, c’est pas grave hein !  C’était juste une proposition, y’a aucune obligation, s’embrasser c’est bien aussi… Enfin, non pas que ça soit obligé si t’as plus envie ! Je…


Le dogue tendit la main et attrapa la bouteille. Il était… Coquelicot. Est-ce qu’il avait envie de… De plus ?
Il commença à boire pour s’occuper les mains et tenter de refroidir son cerveau. Son coeur battait vite… Si vite… A côté de lui, l’autre mage paraissait inquiet. Il fallait qu’il parle.
Il lui tendit la bouteille et commença à jouer avec ses mains.

-C’était très… Agréable.


Silence et sourires.

-Plus je… Peut-être ? En fait… Doucement. Plus mais pas tout. Par exemple…


Il s’approcha de nouveau de son partenaire, tendant la main vers son ventre.

-Je peux ?


Cyprien posa la bouteille et hocha affirmativement la tête. Philophae passa sa main sous son haut pour la glisser le long de sa taille lui tirant un frisson.

-Jusqu’ici oui. Pas après.


-D’accord.


Et il l’embrassa de nouveau. Le mage rouge passa ses mains de la taille au dos du brun, emmenant avec lui le t-shirt qui l’empêchait d’aller où bon lui semblait puis, dans un soucis d’équité, se débarrassa du sien. Son coeur emballé se figea un instant quand l’air du soir glaça sa sueur et il se colla contre son partenaire en frémissant.

-T’as froid ?


-Un peu…


Cyprien lui sourit d’un air joueur et attrapa ses poignets pour le faire basculer sous lui. Il grogna et gigota mais l’effet de surprise joua à son désavantage et il se retrouva entre le canapé et son assaillant sans rien avoir pu faire.

-Comme ça, tu aura plus chaud,
dit-il en allant lui lécher le cou.

Philophae ferma les yeux, incapable de répondre tant qu’une langue lui courait sur la peau. Etant juste en mesure de soupirer et de fomenter une vengeance en pensée, il se laissa faire alors qu’on attaquait ses épaules de la même manière. Cependant il fallait bien déglutir à un moment et, aussitôt que son partenaire prit une pause il retrouva ses moyens. Il attrapa Cyprien et, se redressant le remis sous lui avec un air victorieux. Voyant que le brun allait dire quelque chose, il ne lui en laissa pas le temps et captura son lobe entre ses lèvres pour le faire taire. Un gémissement se fit entendre pour toute réplique et les bras de son amant vinrent se refermer dans son dos, appliquant une légère griffure comme il jouait avec son oreille.
Pour avoir chaud, il avait chaud. Son envie lui donnait des fourmis dans tout le corps, rendant sa respiration saccadée et irrégulière. A chaque murmure son excitation grandissait, étirant son sourire, réaffirmant son envie d’embrasser, d’étreindre, de lécher et mordiller encore plus. Son envie de… De…

Il prit un instant de pose pour le regarder dans les yeux et ne compris son “erreur” que trop tard. A peine eut-il laisser la peau de son amant en paix que celui ci se jetait sur lui pour reprendre l’ascendant, tentant de le garder à grand coup de langue sur sa poitrine et sa gorge. Entre deux tremblement Philophae parvint à réagir, tentant de le pousser sur le côté. Entraînant leur chute du canapé. Au dessus de Cyprien, il écarquilla les yeux.

-Je suis désolé, jeeeeeeaaaaAAAAAh….


Profitant de la situation inattendue Cyprien venait de les faire rouler pour se retrouver de nouveau au dessus, l’embrassant dès qu’il fut de nouveau confortablement assis sur les hanches du géant.

-Chi u arhete a, che que quire yes cheheux.


Le brun se redressa pour libérer sa bouche et laisser son partenaire parler.

-C’est à dire ?
demanda-t-il, un poil moqueur.

-Si tu t’arrête pas, je te tire les cheveux.


Il lui sourit d’un air entendu, se baissant doucement sur lui pour coller sa peau contre la sienne.

-Vraiment ?


Pour tout réponse, Philo le renversa de nouveau, attrapant cette fois ci ses poignets pour le maintenir plus efficacement au sol.

-C’est pas les cheveux ça.


-Ah, heu… Ca te dérange ?
demanda-t-il en desserrant sa prise.

-Non.


Mais c’était trop tard, il avait dégagé ses mains et venant de re-re-reprendre l’ascendant. Fondant sur le cou de Philo, il reprit son jeu de langue pour l’empêcher de riposter ce à quoi le molosse répondit comme promis. Tout en tentant de contrôler ses gémissement, il attrapa les cheveux de son amant et les tira doucement mais surement en arrière.
Un léger cri échappa à Cyprien et tout le corps de Philo s’embrasa d’un coup. Il le renversa de nouveau mais cette fois était bien décidé à ne plus le laisser gagner. Il s'aplatit sur lui et colla son front au sien.
Ils avaient chaud, un peu trop. Ils transpiraient, serrés l’un contre l’autre, la respiration coupée. Philophae regardait Cyprien, assez confus sur le chemin qui les avait mené là, ravi de l’avoir parcouru tout de même. Front contre front, yeux dans les yeux avec un air de défis collés à leurs visages. Le chien avait gagné la dernière manche mais son partenaire semblait décidé à prendre sa revanche…

-Je… Toujours tenté d’aller plus… Loin ?


Le brun sourit et hocha la tête alors qu’il lui prenait doucement la main pour la guider vers son entrejambe.

-Tu permets ?


Il acquiesça en rougissant.

On était pas encore samedi. Ou alors, il était très tôt. Mais la nuit avait encore un certain nombre de rebondissements à proposer.  

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