Cette école est un refuge pour beaucoup, dans cet univers de conflits. Mais cet abri est particulier. Poussez ces portes et venez découvrir ce nouveau monde.
 
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If you think this is bad you should see what our government is up to
Aprilynne Beaufort
Messages : 206

Feuille de personnage
Age: 20 ans
Pronoms:
Club: Lecture
Pouvoir: Pyromancie
Aprilynne Beaufort
Premier de la classe



Lun 3 Aoû - 23:05
BEAUFORT Aprilynne
ft. Lottie de Pandora Hearts

Âge : 20 ans
Date de naissance : 21 juin
Genre : féminin
Nationnalité : ...
Année d'étude : 1ère année d’étude en cursus supérieur
Club : vous vous attendez vraiment à ce qu’elle mette les pieds dans un endroit rempli de roturiers ? … Lecture.
Sexualité : demi
Pouvoir : Brûler ta maman. Enfin, la sienne, plutôt. La tienne elle ne lui a encore rien fait, elle ne mérite probablement pas d’être brûlée. Elle est pyrokinésiste.
Caractère

Quand on a vécu la moitié de sa vie en enfer, avoir un sale caractère est à la fois nécessaire et légitime. Nécessaire parce que les plus faibles d’entre vous ne parviendraient pas à survivre à ce à quoi elle a survécu. Légitime parce qu’elle a survécu à ce qui vous tuerait probablement. Et peut-être qu’elle aurait préféré être morte mais là n’est pas la question. Maintenant qu’elle a été sortie de ce cauchemar éveillé, elle a l’intention de faire payer à chaque être vivant responsable de sa situation.

Après moi, le déluge.

Manipulatrice. Ce qu’elle veut, elle trouvera un moyen de l’obtenir ; la moitié de sa vie passée dans l’opulence, la moitié de sa vie passée dans le manque, elle a appris à se battre pour ce dont elle avait besoin et à laisser tomber ce qui lui faisait simplement envie. Elle n’a plus besoin de se priver. Elle estime tout à fait normal qu’on lui donne ce qu’elle réclame, pour la simple raison qu’elle le mérite, pour s’en être sortie, et parce qu’elle aurait grandir dans l’abondance et la profusion. Ce qu’on ne lui donne pas elle le prend, avec plus ou moins de subtilité. Du vol à l’étalage à la manipulation, elle sait comment agir vite sans se faire repérer et comment utiliser la personnalité des autres contre eux. C’est un talent qu’il est primordial d’acquérir quand on cherche à survivre dans un camp qui a pour but de vous débarrasser de vous-même. Donner aux autres ce qu’ils veulent et leur prendre ce qu’ils se croient libres de donner.

Colérique, elle l’a toujours été. Elle a appris à ses dépend à canaliser sa colère et à la maîtriser pour ne pas en subir les conséquences, mais a tendance, depuis sa libération, à laisser couler ses émotions plus librement. Elle est trop fatiguée pour la retenir alors qu’il s’agit d’un fuel précieux ; c’est après tout sa rage qui l’a fait tenir aussi longtemps. Dix ans. Dix années, chacune plus longue que la précédente, une vie entière à subir l’impensable. Se souvenir chaque jour des événements qui l’ont conduite à cet endroit. Des personnes qu’elle devra brûler vives pour se libérer de ce souvenir.

Parce qu’elle a survécu à l’enfer, qu’elle en est revenue, qu’elle est toujours debout, orgueilleuse. Arrogante, elle a été élevée dans l’idée qu’elle était meilleure que tout le monde : plus intelligente, mieux habillée, mieux éduquée. Même si ceux qui l’ont convaincue de sa supériorité sont aussi ceux qui l’ont jetée à la fosse aux lions, elle a gardé avec elle cet enseignement précis. Parce qu’elle a survécu et qu’elle en a vu d’autres ne pas tenir le coup, et parce qu’elle n’a pas l’intention de s’écrouler—même si ça arrivera. On ne se sort pas d’une telle situation sans encombre. Plus forte parce qu’elle a été endurcie par des années de…ça…elle n’a plus peur de se salir les mains ou de s’abimer les doigts pour parvenir à ses fins. Plus fragile aussi parce qu’un geste brusque ou un mot prononcé avec trop d’intensité risque de la plonger dans une panique extrême. PTSD baby et elle est très mauvaise pour les gérer. Parce qu’elle est persuadée que ce n’est pas un vrai problème.  

Et comme un bon manipulateur n’est rien sans une bonne mémoire et une fantastique capacité d’observation, je vous présente les raisons pour lesquelles elle est une manipulatrice de talent : sa bonne mémoire et sa fantastique capacité d’observation. Ah, et, accessoirement une tendance à la curiosité qui la pousse forcément à creuser et à chercher ce qui se trouve au-delà des apparences.

Son sens de l’honneur est un peu tordu, mais il existe quand même. Avec un code moral… particulier, certes, mais qu’elle s’efforce de suivre. Parce que si elle arrête de le suivre, elle brûlera tout ce qui se trouve sur son passage et peu lui importe de régner sur des cendres. Elle veut sa revanche sur la vie, mais surtout sur ceux qui lui ont fait du tord et elle est prête à se plier aux règles pour l’obtenir. Pas à être gentille et docile. A se plier aux règles. Du mieux qu’elle peut, et en les contournant le plus souvent.

Physique

La jeune fille que le raid a fait sortir de sa prison était une créature abimée par le froid et la fatigue, bouffée par la faim et fanée par l’absence de soleil. Ses cheveux auraient pu être longs, s’ils n’avaient pas été rasés à plusieurs reprises pour « éviter les infections de poux » et autres créatures en tout genre. Ils ont poussé grâce à ses soins, depuis qu’elle est libérée, et atteignent désormais ses omoplates. Elle a été horrifiée en voyant pour la première fois depuis dix ans son reflet dans le miroir. Elle savait que sa chevelure était rousse. Elle n’avait pas prévu de ressembler à ce point à sa mère. Après une crise de panique tant bien que mal réprimée, elle a trouvé—volé, de quoi se débarrasser de cet air de famille, et arbore désormais une chevelure rose tendre ; la partie de ses cheveux qui se trouve le plus près de son cou, en bas de son crâne, est quant à elle colorée en bleu pale.

Ses parents n’ont jamais été grands ; à peine entamée, sa croissance foirée par la faim, le froid et la maladie—et tous les tests pour la débarrasser de son pouvoir, l’ont maintenue à une taille basse, même pour une femme : elle ne dépasse pas le mètre soixante. Elle a encore du poids à prendre pour être à nouveau bien dans son corps, une sensation qu’elle a complètement oublié, et qu’elle n’est pas prête de retrouver avec ses troubles alimentaires et ses insomnies. Manger est encore difficile et ses nuits sont ponctuées de cauchemars ou d’incapacité à trouver le sommeil. Pas de quoi aider à la remise en forme, donc.

Elle a les yeux clairs, bleus ou gris selon le temps que vous passerez à les regarder et la lumière du jour. Des cils et des sourcils blond-roux, un visage encore trop mince et constellé de tâches de rousseur. Elle a dû apprendre à se maquiller. A vingt ans. Et à s’habiller elle-même à nouveau. Mais sans argent, difficile de lui faire plaisir : elle a des gouts de luxe, qu’elle peut difficilement étancher avec le vol. Elle se contente donc pour l’instant d’articles simples, de jupes et de robes florales aux tons colorés qui lui ont tant manqué, et qu’elle a réussi à chaparder dans les boutiques alentours. Une paire de talons hauts qu’il lui a fallu apprivoiser. Quelques ballerines. Bien qu’il ne s’agisse plus d’une priorité, elle aime être joliment habillée.

Histoire

UNE TRAGEDIE EN TROIS ACTES DONT ON TAIERA LE DEUXIEME.

I. CELUI OU JE VOUS PRESENTE LE PERSONNAGE SOUS UN JOUR POSITIF POUR QUE VOUS AYEZ PITIE D’ELLE
Enfant, April avait un rire chaud qui carillonnait sur tous les murs de la maison, et qui faisait apparaitre un sourire bienveillant sur les lèvres de ses parents comme de leurs invités. Toujours engoncée dans des robes volumineuses aux couleurs pastel et ornées de bijoux de rocaille, elle aimait particulièrement les soirs où sa mère prenait le temps de lui brosser les cheveux avant d’aller dormir ou mieux, lorsque celle-ci l’autorisait à brosser les siens. Fille unique, souvent seule, son unique compagnon de jeu était un jeune garçon de cinq ans son aîné, fils des amis proches de la famille. Toujours sociable, elle a recherché sa compagnie dès son plus jeune âge mais s’est longtemps retrouvée face aux murs qu’ils dressaient pour éviter d’avoir à la fréquenter. Capricieuse et déterminée, elle ne s’est toutefois jamais laissé démonter, et a insisté jusqu’à amadouer le seul être humain à sa connaissance qui ait approximativement le même âge qu’elle.

Son monde était constitué d’une dizaine de personnes, son étrange famille composée d’elle et de Lucas, de leurs parents et des domestiques, sans oublier le précepteur qui était chargé de son éducation à domicile. Elle a très rapidement appris à se tenir correctement, droite, à ne pas créer de scandales et à ne piquer des colères qu’à l’abri du regard des adultes. Elle est devenue sournoise rapidement. Après quelques années passées à jouer avec son compagnon, elle s’est retournée contre lui. Par jalousie, parce qu’elle n’appréciait pas qu’un autre détourne l’attention des adultes de sa petite personne. Parce qu’elle était persuadée de sa propre supériorité. Parce qu’il a fini par devenir lui aussi odieux avec elle. Parce qu’il a vieilli, et qu’à quatorze ans on a rarement envie de se coltiner une petite peste de neuf ans recouverte de rubans roses et bleus et qui s’est autoproclamé régente de la salle à manger.

C’est la gifle d’une domestique qui lui a fait comprendre qu’elle ne devait surtout pas laisser les autres savoir de quoi elle était capable ; alors qu’elle s’amusait à brûler de l’herbe dans le jardin, une jeune femme qui était entrée il y a peu au service de sa famille s’est précipitée sur elle pour l’empêcher de continuer. Impressionnable, son jeune esprit a immédiatement été marqué par sa mise en garde, sa joue par la gifle. Personne ne doit savoir ce dont vous êtes capable Mademoiselle Aprilynne. Vous possédez quelque chose de très rare, qui fait peur aux adultes et qui attise la jalousie et la crainte. Personne ne doit vous voir faire. Vous m’entendez ? Dites moi que vous me comprenez ! Elle s’est mise à pleurer. Parce qu’elle lui faisait mal. Parce qu’elle lui faisait peur. Mais elle a compris. Elle a préféré croire sur parole une quasi-inconnue. Papa et Maman ont toujours été bons avec elle, mais s’ils découvraient que leur fille était un monstre ?

Ils l’ont découvert. Lors d’une de ses nombreuses disputes avec Lucas. Avec l’âge, ils ont commencé à en venir aux mains. Son pouvoir commençait seulement à se développer, il n’était pas encore assez puissant pour être incontrôlable. Il lui arrivait de maintenir l’eau de son bain à une bonne température, ou de réchauffer ses tasses de lait au miel, jamais de mettre le feu à la tapisserie. Mais il l’a, ce jour-là, poussée à bout. Lorsqu’il a attaqué elle s’est senti en danger et a, par réflexe, projeté ses mains vers l’avant pour se défendre. Des flammes se sont propagées sur ses avants bras, et ses paumes, pressées contre la poitrine de Lucas pour le maintenir à distance, sont devenues brûlantes, rouges de chaleur. Elle a senti le moment où le tissus s’est enflammé. Le reste est devenu flou dans sa mémoire : les cris, la colère, l’agressivité des adultes qui avaient toujours fait preuve de bienveillance à son égard.

II. CELUI DONT JE TAIERAIS LES SPECIFICITES POUR NE PAS M’ETALER DANS LE DRAMA

Tu vas aller voir un médecin. Ils vont essayer de te guérir, pour que tu puisses revenir avec nous. Tout va bien se passer, nous nous reverrons bientôt. Sois courageuse ! Des mots délicats mais des visages où se lisait le dégout. Et plus un mot de leur part alors qu’ils l’envoyaient dans un camp. Son père avait l’air particulièrement anxieux. Plein de regrets, sans doute. Si sa mère n’avait pas pris cette décision, peut-être aurait-il choisi d’ignorer la condition de sa fille. Il n’en eut pas l’occasion.
Pour ce qui est des dix années de sa vie passées en camp… Dites vous qu’elle a désormais une peur panique de l’eau sous toutes ses formes. Qu’elle a des troubles alimentaires et des troubles du sommeil, qu’elle se réveille fréquemment—toujours, en nage au beau milieu de la nuit, qu’elle a vécu l’enfer et qu’elle y a survécu. Qu’elle a gardé chaque jour l’image de ses parents, de ceux de Lucas, le visage de Lucas, dans un coin de sa tête. Parce qu’ils paieront pour ce qu’ils lui ont fait. Parce qu’ils lui ont tout pris alors qu’elle méritait d’avoir tout ce qu’elle désirait, c’est ce qu’ils lui ont appris eux-mêmes. Parce que karma is a bitch and she’s even worse.

III. CELUI OU ÇA VA MIEUX. EN QUELQUE SORTE.

Les alarmes qui sonnaient au beau milieu de la nuit étaient monnaie courante à l’usine. Elles ruinaient le sommeil des mages, détruisait la rébellion dans l’œuf. Cette alarme-là avait quelque chose de différent. Aucune des sonneries ne ressemblait vraiment à ça. Le raid s’est abattu comme une tornade sur l’usine. Elle a compris rapidement ce qu’il se passait et a décidé de tirer parti de la situation. Elle a vécu ces dix années dans l’unique perspective de se retrouver face à ses parents pour leur faire regretter de l’avoir abandonnée. Elle n’a pas essayé de sauver d’autres mages. Elle n’a essayé de sauver que sa peau. Elle n’y serait jamais parvenu sans le raid. C’est grâce à eux qu’elle a trouve refuge à Leoska, au début de l’année ; c’est grâce à eux qu’elle a pu se remettre physiquement après des années de violences, pour débuter une année scolaire : la première depuis une éternité. La première avec d’autres élèves. Elle ne sait pas quoi penser par rapport à tout ça. Une fois qu’elle aura accompli ce qu’elle a à accomplir, une fois qu’elle aura massacré tous ceux qu’elle s’est juré de massacrer, peut-être qu’elle rejoindra les raids de libération. La seule chose dont elle est sûre, c’est qu’elle ne laissera plus personne décider de son destin : elle mourra quand elle le décidera et selon ses propres termes.

Ah, et de temps à autre elle ressent des émotions qui ne sont pas les siennes, et peut voir apparaitre sur son corps des bleus qu’elle ne s’est pas fait. Mais ce n’est qu’un détail par rapport à tout le reste, et elle élucidera ce mystère lorsqu’elle aura terminé ce qu’elle veut faire.

A votre propos

Pseudonyme : Mayuyu/Mitre
Prénom : Axelle-Rose
Âge : 22 ans
Comment as-tu connu le forum ? : c’est mon amoureuse elle m’a montré
Commentaire : hullo. Be ready to meet the bitch n.2

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Saphirre Lacey
Messages : 450
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Age: 20 ans
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Club: Art martiaux
Pouvoir: Contrôle hormonale
Saphirre Lacey
Trash Can or trash cannot



Mar 4 Aoû - 1:12
Bonjour bonjour ! o/
Re-bienvenue à toi, tu est validée, avec ta deuxiéme verte ! Very Happy
Tu peut dés maintenant poster dans les demandes de rp ou fouiner les demandes des autres pour trouver des partenaires Wink
Tu es dans la Chambre diw de l'aile est avec Eris, merci de ne pas cramer la chambre ! Wink
Au plaisir de te croiser en rp ! Very Happy



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J'écrit en cette belle couleur, jalouse pas trop stp#0099cc
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