« Attention à l’espace entre le marchepied et le quai en sortant du train »

Enfin, après plusieurs heures de trains, j’arrive à la gare où mes parents m’attendent pour 3 semaines de vacances. Au programme : quelques jours à la mer et le reste tranquillement à la maison familiale.

J’attrape ma valise et traverse la petite gare de région. Avant d’arriver devant l’entré, une brigade de policiers me bouche le passage.

Je perçoit de l’agitation sur ma gauche. 3 hommes armés entoure une jeune femme. Malgrè ses protestations, ils l’empêches de bouger et l’emmène de force dans une fourgonnette que j’aperçois dans l’entrée. Je reconnaît ce type de véhicule. Mes cheveux se hérissent. La jeune femme est une mage et elle à du être dénoncer pour être cueillit à son arrivé. Je ne peut rien faire et je le sait. Je suis protéger de se genre de scène depuis des mois mais j’ai découvert l’étandu des violences qui l’attendent. Je ravale une larme qui arrive à mes yeux et traverse rapidement le parking. Je repere la voiture familial et rentre vite.

- Heuuu bonjour !

C’est ce qu’on appelle des retrouvailles chaleureuses. Mes géniteurs ont vue la camionnette et parte vite. Le trajet se fait dans le stress. Nous nous retrouvons chaleureusement une fois dans le salon et la sécurité de la maison. Et ont fait comme d’habitude quand on ne peut pas aider un mage : on essaye d’oublier.

Je retrouve rapidement mes habitudes dans la petite maison. Mes parents me parle des derniers potins du quartier et nous préparons ensemble un bon repas.

Une fois à table, les premières question sur Leoska arrivent.

- Les serres sont toujours aussi jolie ? C’était mon endroit préféré à l’époque ! Me demande ma mère où

-Tu as mis combien de temps avant d’arrêter de te perdre dans ce labyrinthe ? Plaisante mon père avant d’ajouter :

- On offraient toujours un verre au chapeau danseur au nouveau qui arrivaient à nous expliquer comment les salles était numéroté. On ne c’est pas ruiné, c’est sûr !

Les questions et les souvenirs continues de déferler pendant le repas. Tous reste assez superflus. Je suis étonner de voir qu’ils n’évoque pas de noms. Maintenant que j’ai rencontré les gens avec qui ils ont partager une partie de leur vie, je m’étonne qu’ils ne me demande pas de nouvelle. Mais la soirée se passe dans la bonne ambiance, nous comparons leurs bêtises d’antan avec celles que je voit tous les jours de la part des élèves. Bon il ne battent pas Saph et Mordred, mais heureusement je voit qu’il ne dépassaient pas les limites légale. Ou il ne me le dise pas.

Une fois le ventre bien rempli, je vide ma valise et me prépare à dormir. Je suis épuisé mais la scène dans la gare tourne dans ma tête en continue. Je ne fait que penser à la jeune fille. Si seulement j’vaias pus l’aider où lui parler envoyer un signe, une indication sur Leoska. Elle aurais peut être réussit à faire passer le méssage ou fuir et rejoindre la sécurité de l’école. Je sais que mes ruminations ne servent à rien mais plus elle tourne et plus le sommeil s’en va.

Les quelques jours qui suivent restent sur le même ton

J’ai à peine le temps de me retourner pour voir un ballon passer au dessus de ma tête.

Je récupère le ballon quelques pas plus loin. Je profite du frottement des brins d’herbe contre mes pieds nus et de la brise que je sent enfin en cette fin de journée d’été.

Je pose le ballon près d’un transat et m’attable avec mes amis d’études autour d’une grande table garnie de salades, crudités et autres merguez. Les éclats de rires et les conversations vont bon train. On mange, on bois et le soleil se couche progressivement. Nous avons louer une petite maison avec jardin pour nos retrouvailles. Nous nous sommes séparé il y a un an, plusieurs d’entre nous avons commencer à travaillé, d’autres nous raconte la suite de leurs études.

Évidemment, aucuns ne connais mon secret ni le véritable emplois que j’ai décrocher. Officiellement je fais quelques remplacement dans des établissement scolaire perdu dans la campagne. « Non c’est difficile de se voir, je vais bientôt changer de contrat », « A mince j’aurais adorer venir mais je doit remplacer un vieil infirmier qui c’est casser l’orteil dans le nord pas de calais » sont certains mensonges que j’ai tisser dans l’année. Je sais qu’un jour je leur dirait que je part dans un autre pays, un pas trop commun si possible. Mais je ne veut pas les perdre. Ils sont se qui reste de mon ancienne vie. Ils pourraient peut être découvrir mon secret et qui sait trop en dire et je me retrouverais dans les camps qu’on fuit tous. Bien sur je leurs fait entièrement confiance mais depuis que j’ai pris conscience des drames qu’on vécue des gens de Leoska (et ceux qui n’y serrons malheureusement jamais) j’ai peur qu’une infos fuite et que de fil en aiguille…

Moi qui essaye toujours de voir le monde en rose, je m’étonne d’être ronger par ces pensé depuis le début de nos vacances. Mais ce soir ce n’est pas le cas. On a retrouver une osmose, je retrouve mes habitudes de mensonges par omition et profite du bon chez ses gens. Hélas ça ne va pas duré.

Mon dos se temps instantanément. Je ne voit pas de quoi elle parle et je ne vais d’ailleurs plus parler.

Sa c’est le nouveau copain d’une de mes camarades de vacances. Il à perdu sa sœur à cause d’un mage. Enfin un mage à découvert sa magie devant elle et ça à dérapé. Le résultat reste le même il c’est engagé en médecine pour sauver des vies et déteste les mages. Aussi étonnant que cela puisse paraître, je le fuit comme la peste.

Le débat est plutôt houleux et je reste dans mon coin. Je suis attentive mais veille à bailler et m’étirer régulièrement. Il vaut mieux que je prétende aller me coucher plutôt que de donner des indices aux autres.

Globalement les idées qui s’oppose sont

-C’est impossible, le gouvernement fait bien son travail.

-Ben si on les incluait il y aurait moins de risque

-Vous penser que c’est où, mdr surement en creuse y a personne pour les trouver.

-J’espère qu’ils peuvent se protéger même si quand même ça fait peur.

Quand Mathieu (celui dont la sœur est décédée), sort enfin un :

Ok ? Ne pas réagir.

Ben bravo Balza, tu aurait put devenir actrice pro la je croit. J’attend 10 minutes histoire de faire la blague puis j’attrape une pile d’assiette sale et souhaite une bonne nuit à tout le monde.

Autant dire que je ne retrouverais pas la paix du début de soirée avant la fin des vacances.

 Aujourd’hui, on pique nique au bord d’un lac. Celui ci est très grand, il y a un grand espace de baignade avec une plage bonder de touriste. On est installé sur un coté du lac, au bord d’un rocher qui surplombe l’eau et sous un arbre. Après le repas, une sieste au soleil s’impose. Le rocher se trouve alors abriter parfaitement entre l’ombre de l’arbre et la chaleur du soleil. Je m’éloigne du groupe pour installer ma serviette. Je l’étale, remet une couche de crème solaire, pose ma gourde et un bon livre de manière stratégique. Avant de lézarder, je regarde l’horizon. Une petite barque occuper par une famille s’approche de notre direction. Mon attention se porte sur un jeune garçon d’environ 6 ou 7 ans observe le fond de l’eau et devant un couple et un homme âgée discute. Le petit m’intrigue, il semble comme attirer par quelque chose qu’il observe dans le fond. Il ne se penche pas dangereusement mais quelque chose dans son regard est entre l’étonnement, la peur et l’amusement. Après qui sait les histoires qu’il est en train d’inventé. Ils arrivent vite à quelques mètre de moi quand j’attrape mon roman. Je suis toujours assise sur ma serviette, quand j’entends un PLOUF.

Je leve vite la tête et comme je m’y attendais, l’enfant n’ai plus sur la barque et pire, de mon point de vue sous la vaguelette d’eau causer par ça chute une boule de sable se forme autour de se qui est surement le corp du petit garçon. Sans réfléchir une seconde de plus je plonge du rocher et nage le plus vite possible dans l’espoir de toucher le petit avant que ses parents ne voient le drame. Je me retrouve vite piquer de toute part par des milliers de minuscules grains de sables à toute vitesse.

Je sent enfin un bout de peau et laisse mon corp derrière moi. Je ne sent d’abord plus rien. Puis tout se brouille en moi. Enfin pas en moi, j’ai réussit à prendre possession de l’enfant. Je me bat alors contre son propre corp pour le forcer à remonter vers la surface et surtout le faire perdre sa connexion avec sa magie.

Par son jeune age, il se laisse relativement faire et je voit à travers lui le soleil qui réparait au dessus de l’eau.

Je pousse le corps dudit Enguérand à suivre la direction de la voie de son père.

Quand je sent les bras rassurante d’un père autour de l’enfant j’abandonne notre connection.

Je redécouvre alors mon propre corps que j’ai laisser derrière moi. Enfin SOUS moi, et je sent l’eau commencer à entrer dans ma bouche. Je ne sait pas comment mais je retrouve des réflexes appris lors d’un vieux cours de sauvetage et parvient à remonter.

La famille du petit Enguérand m’aide à monter au bord de l’embarcation. J’essaye de reprendre mes esprits le plus vite possible mais je suis incapable de comprendre ce que les gens me disent. Ils m’enroulent autour d’une serviette à côté du garçon. Il est plutôt mal en point. Mon pouvoir utilise beaucoups d’énergie chez la personne qui la subit.

De mon côté je tremble parce que comme pour les rares fois où j’ai utiliser mon pouvoir, j’ai absorber Trop d’énergie.

Je l’investie dans le fait d’enregistrer le plus d’infos sur cette famille. Ils n’ont pas l’aire d’avoir repéré quelque chose d’étrange et nous sommes suffisamment lui de la plage pour ne pas avoir été repéré. Enfin je l’espère.

Mon objectif devient donc de trouver le plus d’infos possible pour informer l’école de l’existence de cet enfant et le rapatrié à Leoska si besoin.

Quand on arrive sur la berge, mes amis sont autour de la barque passablement mort d’inquiétude. Je les avaient presque oublié. La suite est assez flou. J’ai prétendu une urgence chez mes parents pour prendre le prochain train. Maintenant que j’ai utiliser mes pouvoirs en pubic, je ne peut pas prendre le risque de rester avec les non mages. J’arrive en fin de soirée à Leoska, je ne passe même pas chez moi et explique tout au zone de la gestion de sécurité de l’école. Je leur fait confiance pour faire le nécéssaire.

Grace à mon contre coups, je ne suis pas fatigué, ma nuit se déroulera donc en extérieur à courir pour essayer de me concentrer uniquement sur ma sécurité retrouvé.