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I'm so hot... Oooooooh daaamn look at those mooves ! - FINI
Paulia Caldas
Messages : 51

Feuille de personnage
Age: 23
Pronoms:
Club: /
Pouvoir: Magie blanche de soin et de résurection. Contrecoup du soins: entendre de plus en plus clairement les voix des morts errants voulant la vie. Contrecoup de la ressurection: être accompagnée du fantôme d'un mort décédé dans la même journée que celle de la réssurection.
Paulia Caldas
Camarade



Dim 28 Mar - 21:33

ft. Ce bonne vieille Alphonse!

”Il y a des choses qui sont immortels et parmis elles je pense que le besoins de se payer de bonnes tranche de rire est dans le top 3. Et pour ça, j'ai  Al'. ”

I'm so hot... Oooooooh daaamn look at those mooves !

Alphonse Victor Robin De Villeneuve, grand héritier d'on ne sait trop quelle famille pétant plus haut que son cul, incroyable proffesionnel du balais et du collage de gomettes, indécrotable otpimiste. Voilà comment Paulia aurait décrit le jeune homme qu'elle croisait régulièrement dans les couloirs. Enfin ça c'était avant... Avant les graphs du troisième, le space cake de Noël d'il y a deux ans, l'affaire de la moustache au poska, le joint de l'au dela, la séance photo du blackout... Ou encore le combat mémorable de la robe à fleurs. Soyons clairs : iel ment, elle l'avait vu avant ellui, le vêtement lui revenait de droit.
Enfin bref, depuis tout ça elle l'appellait connard, ou chérie en fonction des jours. Parfois elle la traitait de grosse boloss, ou d'énorme boloss. Ou de guargantuesque boloss. Ou de grosse boloss sa daro... Enfin vous avez compris l'idée.

On va pas se mentir, dans la relation c'était Paulia qui foutait le plus souvent volontairement la merde. Alphonse... La plupart du temps, iel ne le faisait pas exprès et c'était souvent là que c'était le plus drôle. Sauf que ces occasions avaient parfois besoins d'un petit coup de pouce.

Paulia avait decidé que le dis coup de pouce allait arriver aujourd'hui, au beau milieu de sa pause à elle. En plein milieu de ses horraires à lui. Lisianthus était complice et complètement ravi.
L'astuce avait été de recruter un mage des glyphes qui avait peinturluré un énorme poste radio de manière à ce que le fantôme puisse le toucher. De son côté elle avait choisit sa tenue avec attention.

Elle avait selectionné des talons beaucoup trop hauts pour ce monde, une robe moulante en bas mais hyper élastique, bien qu'extrêmement courte, avec le haut ultra large pour contraster. Des lunettes de soleil plus grosses que sa tête, ses cheveux en bordel et un blouson XXL version fourure ultra fluff. Au niveau du maquillage, le but était d'être fabuleuse plus qu'il ne fallait. Tout était prêt : à part ceux voyant les morts, tous la verraient débarquer avec un poste de radio volant et une allure ridiculement charismatique.

Le lieu du crime était le couloir qui remontait vers les salles de classe, en plein entre de cours. Elle s'y était rendue discrètement et avait attendu derrière le battant de la porte coupe feu que les étudiants sortent de cours tout en observant sa cible qui ne se doutait de rien. Pile au moment où plusieurs portes s'ouvraient pour laisser sortir une foule d'étudiant, elle fit signe à Lisianthus qui déclencha la musique.

Sautant à moitié sur ses plateforme, version manequin, elle s'élança vers son colègue en chantant en playback. Se cambrant pour mettre ses fesses en arrière, elle se pencha en avant avant de remonter énergiquement sa tête pour faire faire un arc de cercle dramatique à ses cheveux. Puis elle se remit en route, montrant ses mouv' les plus enflamés pour se raprocher du technicien de surface, un immense sourire aux lèvres.

Arrivée à sa hauteur, elle baissa ses lunettes sur le bout de son nez comme une absolue diva, lui offrant un clin d'oeil sur le « I'm too hot ».
Puis, d'une main experte elle lui vola un balais pour danser avec devant une foule hilare qui se rassemblait. Plusieurs téléphones sortirent pour filmer mais elle s'en foutait : elle savait danser, elle allait même en profiter pour flex grave. Faisant signe à de Villeneuve de la rejoindre, elle se laissa tomber en grand écart sur le sol, laissant Lisianthus poser le poste pour la relever en la portant artistiquement. Ainsi, elle vola dans les airs en tendant son balais en direction de la brunette pour saisir la serpillère et recommencer son manège avec ce nouvel ustensile. Après un moonwalk aproximatif pour cause de talons hauts, elle reposa l'instrument. S'arrêtant d'un seule coup, elle prit une expression exagérée sur le « wait a minute », puis fit signe aux étudiants de venir danser avec elle. Une meuf à l'allure délurée se détacha de la foule et la rejoint. La pionne faisait sauter ses cheveux en rythme, sautant dans tout les sens avec une énergie qui paraissait infinie. Saisissant sa comparse par la taille elle sommença a mener, riant lorsqu'elle croisait le regard de Lisianthus qui posait ses plus belles allures de gros dur.
Quand sa cavalière sembla fatiguer, à savoir assez vite, elle la laissa partir pour avancer en direction d'Alphonse, à moitié penchée, claquant des doigts en rythme.
Autours, un certain nombres avaient été capturés par le rythme de la musique et avait aussi commencé à faire n'importe quoi. C'était hilarant.

Une fois au niveau d'Alphonse, elle lui tendit la main et elle la pris. Souriant, elle la bifurqua au dernier moment.

-J'ai une énorme flemme. C'toi qui mène. Voir même....


Elle se laissa tomber de tout son poids dans ses bras.

-Azy, porte moi.


Paulia parle en #cc9966


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Alphonse De Villeneuve
Messages : 80
Alphonse De Villeneuve
Camarade



Dim 28 Mar - 23:17
I’m so hot Ooh daaamn look at those mooves !
Dit-moi Alphonse, tu connais la différence entre Paulia et toi ? Votre statut d’employé.e bientôt si tu ne repère pas le coup qu’elle est en train de te faire.
COLOR
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F. Paulia Caldas
@pharaohleap
NOTES
Lov U
and then you can put a bunch of notes here, i suppose.



Tu sais quoi ? C’est pas genre, une super journée que voici ?

Oh que si.

Et ça tu l’sais mon p’tit. Et oui, parce que c’était d’un pas terriblement motivé que tu t’es jeté dans tes chaussures ce matin. Ensuite, tu as foncé dans les couloirs des bâtiments du personnel ou tu as fait un signe de star à Akinobu que tu as rencontré, le pointant des doigts, les bras en l’air en un presque dab, presque stylé. Juste de quoi lui dire « What’s up handsooome ? ».

Heureusement qu’il a l’habitude. 100 fois heureusement. En fait tous les collègues que tu croises sont accoutumé a tes débordements de bonne humeur si bien que tu pourrais débarquer en glissant à genoux sur un skateboard en hurlant « ÇA GAZE LA DEDANT ? » que tu te fondrais dans le décor.

D’ailleurs pourquoi tu ne l’as pas fait avant ? Tu inscris l’idée dans un coin. Que ce soit pour que tes confrères amorcent leurs journées sur une note amusante OU pour lancer avec brio une animation. Le matin tu es au bureau, tu commences à organiser les myriades d’idées que tu as en tête pour mettre en place des activités fun, mais le problème c’est le mot « Organisé ». Tu as étalé des centaines de feuilles partout avec des débuts de concept, pas achevé, mais tu es quand même super fier de ce que tu as fait.

L’après-midi, tu as pris ton petit chariot avec tout ton matériel, sprinter vers l’ascenseur avec un freinage de beau gooosse sur la fin. Non j’ai menti pour te faire plaisir. Tu as couru, couru.

Le wagonnet à rouler, rouler.

Paf dans l’ascenseur. Mais toi, tu t’es accidentellement téléporté dans la cage d’escalier, à courir après les étages en quête du chariot perdu. En bref : que d’émotion. Et encore. C’est avec tellement innocence que tu files faire tes petites missions à travers les bâtiments. Tu ne te doutes pas un seul instant que ta cleaning routine va être chamboulé par des évènements d’une envergure considérable, inattendus.

Après tout, qui aurais cru que Paulia aller débarquer pour faire tourner ta journée un moment au moins cent fois plus fabuleux ? Absolument tout le monde au vu de votre relation, c’est juste que tu ne fais pas d’effort. Mais évidemment, parce que là où passe Paulia, passe le fabuleux. La mauvaise foi parfois. Mais une fabuleuse mauvaise foi.

Toujours est-il que la cloche sonne, et que tu la regardes en te disant qu’il serait vraiment hilarant de trouver de l’aide pour l’enchanter pour qu’elle ressemble à la sonnette des cours de The owl House.

Mais malgré la profondeur intense de tes réflexions, tu en es instantanément tiré. Pas par le troupeau énervé d’élève qui sort de cours. Pas par le claquement des portes. Non.
Par le groove.

Shake that booty.

Aux premières notes tu tapes instantanément du pied en rythme et pivotes avec ton balai vers la source du bruit. Oh yeah ; elle débarque, casse la démarche, style de monarque.

What an Absolut Diva.

Elle envoie du pâté dès le début, se cambre, rejette ses cheveux en arrière dans le MEILLEUR MOUV’ de drama queen que tu jalouses terriblement. PIRE. Lisianthus est dans le coup et fait voler son poste radio à côté d’elle et ça, çaaa c’est hyper classieux. En plus le fantôme est lui aussi un As pour rejoindre vos activités à la con. Ensemble sur son autel vous avez essayé de créer le « Morpion Feuille Ciseaux ». Un grand moment, personne n’a compris les règles et ce qu’on devait mettre à la place des croix et rond.

Tu t’es encore perdu dans tes pensées là non ? On reprend, je crois en toi.

Elle approche en déhanché d’enfer et baisse ses lunettes pour te gratifier d’un clin d’œil. Tu t’en amuses et fais mine d’essuyer ton front comme si woula, il fait beaucoup trop chaud, call the KE and the fired man. Ah non ça ne marche pas comme ça. Quel dommage.

Tu joues le jeu et marques le rythme de ton côté en lui laissant son tour de danse, lui tirant la langue d’un air capricieux parce qu’elle SAIT. Elle sait qu’au fond tu pleures des larmes de sel vu que que c’était THE moment pour être fab’. Vous êtes même filmé. Tu aurais voulu tout envoyé, sortir ta best robe, mais nooon, bien sûr mondame a mis un T-shirt motif « Désolé pour le retard, ma licorne n’a pas voulu démarrer » et un pantalon simple sous son tablier. Pas de paillette. Juste un balai que Paulia t’a allégrement volé.

Mais il en faut plus pour t’abattre. Tu profites de la présence des élèves autour pour faire des signes de mains pour leur dire de marquer le rythme, l’ambiance, d’encourager le dance battle, crée une houle d’engouement au grand écart. Hééé, ça c’est d’la danse, c’est pas tout les jours que t’as l’occasion de croisé des… partenaires ? Adversaire ? Surprise ? En tout cas des « wow pareil ». Pendant qu’elle danse avec une élève au look d’enfer, tu récupères ton meilleur pote, Judy le balai, pour t’en servir de micro en faisant le show auprès de quelques élèves dans l’assemblée.

Lorsqu’un abandon est annoncé auprès des « Jeuns », Paulia te tend la main et bien sûr, comme d’habitude… Comme d’habitude elle t’entube (sauf pour la fois robe, tu peux être fier de toi. Tu as d’ailleurs brodé avec soin « À moi » sur l’étiquette, ce qui est très peu utile), et se laisse choir dans tes bras au lieu de mener comme elle l’a annoncé. Heartbroken. Trahison. Disgrâce. L’esprit du mal est marqué sur sa face.

« J'ai une énorme flemme. C'toi qui mène. Voir même.... »

Tes genoux fléchissent légèrement lorsqu’elle s’appuie de tout son soul sur toi.

« Azy, porte-moi. »

Mais oui bien sûr.

« Allons, allons, Pauliaaaa. Tu peux pas préparer un coup d’enfer, flex autant et me lâcher maintenant. Ah pardon ça faisait peut-être partie du coup d’enfer ? Hmm. J’avais pas compris ça comme ça. »


Compliqué de réfléchir. Mais peu importe.

Y’a moyen de faire un truc. C’est super tentant, d’apparaitre juste devant elle pour attraper ses mains et la relancer dans la dance avec le déséquilibre/équilibre. Tu tentes ? Tu tentes.

« Aller hop, t’es là pour bouger ou pas ? »

Tu te téléportes en te projetant en face de Paulia et bim, tu es face à…

« Hé, mais t’es… ? OH. »


Quelqu’un d’autre. Pas Paulia. OUPS. Nouvelle téléportation, réussie cette fois (une vraie rareté davantage due au coup de chance) et tu atterris devant Paulia et saisie ses mains à temps pour la tirer vers toi et éviter la chute.

Oui parce que tu ne penses pas à des détails aussi importants que la gravité dans ton quotidien, tu sais ce truc qui fait que quand l’appuie de quelqu’un avec des talons plus grands que toi disparait : la personne tombe. Mais comme se ramasser, c’est aussi un mode de vie chez toi, tu as tendance a oublié.

« Hellooow. Merci d’avance de faire comme si tout était absolument calculé. »

Évidemment, tu as conscience que plus tu va craner en te téléportant, plus tu va glitcher par la suite maiiis c’est pas grave. Tu t’amuses et c’est à ça que sert ton pouvoir après tout. Tu te redresses en tirant Paulia avec toi. Et hop, un p’tit tour pour le style, tu t’éloignes de Paulia et reprends en claquant des doigts en mouvements sneacky sur le passage chuchoter de la musique.

Ensuite, tu entames un jeu de jambes d’enfer face à elle. Bah ouais, c’est pas parce que t’as pas de robe so fab ou de gros manteau que tu as pas le droit de briller un instant toi aussi. Et la danse c'est comme la chansons, tu l’as toujours eu dans le sang.

À la fin de ton moment, tu drop ton tablier, vole les lunettes de Paulia et fait des mouv’ dans un style de faux gangster pour le fun, jusqu’à faire semblant de baisser ta casquette que tu n’as pas sur tes yeux.

Les premières notes de Counting star de OneRepublic se lance. Retours 10 ans en arrière. Ton sourire s’élargit et tu pointes la pionne du doigt d’un air enthousiaste.

« WOOOOOOOOOOOOOOH ! »


And we live together, by dance, in our tiny world
PHARAOH LEAP CREATES


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Paulia Caldas
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Ven 2 Avr - 17:48

ft. Ce bonne vieille Alphonse!

”Il y a des choses qui sont immortels et parmis elles je pense que le besoins de se payer de bonnes tranche de rire est dans le top 3. Et pour ça, j'ai  Al'. ”

I'm so hot... Oooooooh daaamn look at those mooves !

 -Allons, allons ,Pauliaaaa. Tu peux pas préparer un coup d’enfer, flex autant et me lâcher maintenant. Ah pardon ça faisait peut-être partie du coup d’enfer ? Hmm. J’avais pas compris ça comme ça.

Ah. Alors, ça, ça sentait le coup fouré ou elle ne s'y connaissait pas.

-Aller hop, t’es là pour bouger ou pas ?


Heu oui mais... AAAAAAAAAAAAAAAH ! Son appuis venait soudainement de disparaître et elle était en appuis sur... Par conséquent elle se ramassa royalement la gueule, ne se retrouvant pas le cul par terre uniquement grace à Lisianthus qui avait mis sa jambe entre elle et le sol.

-T'es lourde grosse, et je parle pas de ton humour pour une fois.


Elle lâcha un sourire un peu forcé d'un air de dire « merci d'avoir sauvé mon coxis mais si c'est pour te plaindre t'avais qu'à me laisser tomber ». Elle allait lui répondre quand POUF, Alphonse daigna réaparaitre devant elle.

-Hellooow. Merci d’avance de faire comme si tout était absolument calculé.


Et être la seule à se taper la honte ? Mais certainement pas Alphonse. Certainement pas. Mais bon, il se rattrapa bien, la faisant se redresser d'une main de maître avant de l'envoyer voler. Puis il reprit le show, enchainant mouvements stylés après mouvement stylés.

Vas y maon grande, montre leur se déhanché. Oh yeah, t'as un sacré flow pour un boloss...

Derrière ellui Lisianthus l'imitait avec un temps de retard finement calculé à chaque fois tandis que Paulia, perchée sur ses talons se chargeait de maintenir la foule chaude, chaude, chaude, chaude comme la braise ! Elle pointait sa comparse avec un air admiratif, surjouant des expression clichées de surprise et d'admiration. Puis, le tablier vole et les lunettes de la gloire lui sont arrachées par un gangster du dimanche. Elle rit en le regardant faire, faisant semblant de lui lancer des billet a la tronche. Puis, sur la dernière note, elle écarta les bras dans la plus belle T-pose immaginable avant d'éclater de rire.

Puis, après un instant de pose, les première note de la chansons la plus hyprocrite des années 2010 (sérieux, un hit qui parle de se passer du capitalisme ? Gros doute). Elle se mis doucement à danser sur ses pieds, regardant Al' péter son cable avec un air enthousiaste.
Quand la musique s'accéléra et qu'elle se mit à sauter sur la pointe de ses pieds en levant les bras en rythmes, elle se raprocha d'ellui et récupéra ses lunettes.

-Elle sont à moi s'pèce de boloss.


Puis elle passa son bras par dessus ses épaules, sautant toujours en rythme, n'importe comment.

-I see this life...


Se baissant sur ses appuis, elle commença une sorte de récital étrange, à moitié infaisable à cause de ses chaussures. Mélangeant plusieurs morceaux de chorégraphies immaginées avec Lisianthus, elle se laissa doucement tomber sur le sol pour y continuer sa dance, se contorsionnant pour se retourner et se relever depuis un pont sur « everything that kills me makes me feel alive ».

Puis sur le refrain, elle prit sa camarade dans ses bras, commençant une dance assez étrange à deux, mélangeant des pas de beaucoup trop de danses de salons différentes pour être vraiment potable. Ou même faisable. Mais iels s'en sortaient quand même... A peu près.
Elle le quitta au retours du couplet, se remettant à chanter les paroles.

C'était étrange... Elle savait que pour certains ici, cette chanson relevait de la nostalgie. Pas pour elle. Elle, c'était le premier truc qu'elle a entendu sur le petit poste radio de la voiture qui l'a amené à Cayenne, une chanson américaine perdue au milieu du reste. Lisianthus avait grogné en l'entendant avant de se remettre à lui hurler dessus.
Pour elle, malgré tout le côté chiant et rébarbatif de cette musique, elle avait un goût de liberté. Depuis ils l'écoutaient souvent avec Lis' et elle avait fini par la conaître un peu par cœur.

Lisianthus venait de passer derrière elle et, ensembles, ils commencèrent à danser. Paulia flottait donc à quelque centimètre du sol, enchainant des pas légers et souriant. Petit à petit les étudiants se dispersaient pour retourner à leurs différents cours mais elleux resteraient : y'avait toute une casette à passer.

D'ailleurs, la musique arrivant à sa fin, elle sourit. La suite allait être... Fantastique. Le silence retomba et le fantôme la reposa, souriant en coin. Dés que les premières notes raisonèrent, Paulia haussa les sourcils en direction d'Alphonse.

-We're talking away... I don't know what to say....


Aller, ramène toi Al'. On va shiner à fond pour tout notre publique restant, même si une bonne part est en train de se foutre de notre gueule.


Paulia parle en #cc9966


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Alphonse De Villeneuve
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Alphonse De Villeneuve
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Sam 3 Avr - 23:29
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Dit-moi Alphonse, tu connais la différence entre  Paulia et toi ? Votre statut d’employé.e bientôt si tu ne repère pas le coup qu’elle est en train de te faire.
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NOTES
Yeh
and then you can put a bunch of notes here, i suppose.


« Elle sont à moi s’pèce de boloss. »

Grosse radine, tu fais semblant de jeter la moulaga sur les autres et tu ne partages même pas les lunettes ? Eh bah super. Le qualificatif qu’elle emploie à ton égard lui en revanche te fait fièrement sourire. Yep, mais lae plus stylé des boloss, n’est-il-pas ?

Paulia qui sautillait déjà sur place par tu ne sais quel miracle de la physique aux vues de ses talons, passe son bras sur tes épaules pour continuer. Tu fais de même et l’image vaudrait de reprendre les mots de Paulia pour plus de précision : ce n’est pas toi le boloss, mais vous deux qui avait l’air d’être, effectivement des boloss bourrés en fin de soirée, pour ton plus grand bonheur.

« I see this life... »

Ta partenaire de dancefloor t’a quitté et s’abaisse sur ses appuis et effectue des mouvements hyper classe, mais inattendus. Pour mettre en valeur le côté novateur du style qu’elle tente, tu préfères rester en retrait, t’effacer en contemplant la performance. Elle se contorsionne, ondule et se relève avec brio, traçant sur ton visage une expression de hype sans nom.

Sur le refrain, elle se saisit de ton bras et tu te laisses emporter.

Votre danse exprime très bien la différence entre danser juste et danser beau, comme pour le chant. Vous avez tous les deux la technique, vous êtes passé au freestyle et maintenant à la nouveauté née de la base de ce que vous savez. C’est un mélange de plein de choses, et ça, tu adoooore. On y retrouve des mouvements presque contemporains, des pas qui pourraient s’attribuer au Paso Doble, d’autres au… swing ? Beaucoup trop de trucs.

Alors oui ce n’est pas la chorégraphie la plus harmonieuse qu’il existe, c’est même assez étrange, mais c’est beau. Un joyeux mélange. Est-ce que c’est pas ça au fond le plus sympa ? Casser les codes pour aboutir à quelque chose de nouveau juste nés du feeling de la chanson et de ta partenaire. En tout cas, c’est le genre de truc qui toi, te fait kiffer.

D’un accord implicite, Paulia chante les couplets tandis que tu te charges des refrains, de toute manière tu ne connais pas toutes les paroles.

Les personnes se dispersent, moins de spectateurs, mais plus de places. Tu regardes admiratif Paulia s’élever du sol en pas léger dans une danse aérienne, donnant à l’ensemble un aspect éthéré. Bien plus solennel que les mouvements précédents. C’est beau. Tu phases un peu, les deux mains appuyées sur l’extrémité de ton ballais, ta tête posée au- dessus d’un air rêveur puis te reprends. Hé ! Toi aussi tu voudrais ton fantôme perso pour pouvoir faire des tangos enflammés dans le vent, Lisianthus ne souhaiterait pas faire une garde partager ? Non, mais tu demandes pour un ami.

Paulia atterrit et lève un sourcil dans ta direction aux premières notes. Tu lui réponds en haussant les tiens d’un air rieur et commences un pas de disco, simple, un peu déhanché, carrément rétro. Y’a que ça de vrai.

Les gens autour de vous rient et tu décides allégrement d’accentuer le côté désopilant en proposant à Paulia de se rapprocher en tirant une corde imaginaire. Ça assassine votre street cred’, imaginaire elle aussi, mais ça a le mérite d’ajouter du comique de situation.

Tu es excellent en chant, tu fais ça depuis petit, tu as eu des cours particuliers, comme en danse. Le problème ? C’est que tu aimes trop faire l’andouille pour rester aussi sérieux aussi longtemps, alors tu fais exprès d’être exagérément faux sur les aiguës les plus puissant du chanteur, pour rire un peu, te moquer de ce passage.

« In a day or TWOooOOooOO. »

Ton but ? Que vous soyez à la fois les queens de la ringardise, et les égéries du waacking.

Tu balances tout et la cherche clairement en lui tournant autour. Gestes techniques faussement ralentis, démarche de mannequin, pas de disco classique avec quelques touches d'humour pour le plaisir. Comme ce geste cliché des 70’s les doigts en V qui passe en visière devant ton regard intense (non), avec une expression de biatch qui chercherais la merde, la tête et les épaules effectuant un droite-gauche précis pour pimper le tout.

Tu achèves ton tour en te baissant sur tes appuis, accroupie avec classe pour gracieusement remonter, tes mains accompagnant ton corps dans un mouvement de pure diva, la cambrure marquée. Enfin dans un léger saut tu te remets parfaitement droit et la pointe du doigt pour qu’elle aussi largue son flow, anime ce couloir pour le faire battre au rythme de ses pas.

« Paulia, j’ai pas balayé ce dancefloor pour le fun… » définitivement si. « … mais pour le rendre inflammable au style. » (ou parce que c’est ton métier et que les couloirs doivent être propres)  « Alors, fais-moi plaisir et balance ton étincelle sur cette piste, chérie. »

Tu veux faire de ce moment un dance battle exagérément sérieux pour qu’il ne puisse pas être pris au premier dégrée. Et elle est parfaite, elle envoie du méga lourd, du drôle, de la punchline chorégraphique intense absolument fabuleuse. Tu fais même mine à plusieurs reprises de prendre des dégâts.

Au passage non chanté, le pont musical caractéristique des pré-conclusions, vous êtes face à face, la jambe pliée en presque chaise tout en tapant du pied, le regard sur le côté, au loin. Tu lui chipes ses lunettes. Elle te les repique. Et ainsi de suite dans le rythme joueur du synthé avant de faire n’importe quoi sur la fin de la chanson.

La suivante conquiert ton cœur immédiatement. Et Paulia le sait sans doute, tu l’as tellement bassiné à raconter ta life qu’elle doit avoir fini par connaître tes goûts de grés ou de force. Ou peut-être qu'elle ne t'écoute pas et que c'est juste du pifomètre? Tragique.

Les paroles, du moins la majorité d'entre-elles, te parlent énormément et tu l’as poncé SI souvent dans la grande maison de tes parents. À mettre le son à fond et à fuir les cours en glissant la rampe d’escalier, te téléportant tu-ne-sais où, mais eux non plus, t’amusant de cette part d’aléatoire pour gagner du temps de divertissement sur ce qui t'ennuyais. La liberté ne se trouve pas à l’extérieur, mais dans ce que l’ont fait de nos envies. Ton choix a toujours été de les suivre.

Bon tu t’es pris des punitions à cause de ce genre de conneries maiiiis qu’est-ce que tu t’es éclaté. Si c’était à refaire, tu ferais pire.

« I feel alive and the world turning inside out yeah! »


Tu prends un air solennel au début, t'approches lentement de Paulia. Puis te baisse un peu, claquant des doigts en rythme a la monté du tempo.

« ’Cause I’m having a good time having a good time, HAVING A GOOD TIME ! »

Et c’est vrai. Tu passe un merveilleux moment. Paulia is, clearly, the QUEEN of this day. Tu fais un tour sur toi-même pour compléter le mouvement et tends la main à la pionne.

« P’tit Jive ? »



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Paulia Caldas
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Paulia Caldas
Camarade



Mar 5 Oct - 20:54

ft. Ce bonne vieille Alphonse!

”Il y a des choses qui sont immortels et parmis elles je pense que le besoins de se payer de bonnes tranche de rire est dans le top 3. Et pour ça, j'ai Al'. ”

I'm so hot... Oooooooh daaamn look at those mooves !

Ah ouais, direct. A peine commencé et ça partait déjà full rétro, c'était ridicule. Qu'à cela ne tienne...
Suivant la corde imaginaire tirée par Alphonse, Paulia se pencha légèrement en arrière comme si elle tentait de résister, avançant au même rythme.

Festival de fausse notes et de provocation étrangement technique pour ce que c'était, Al' donnait tout. Généreux comme personne il enchainait les mouvements impayables en lui tournant autours tandis qu'elle tentait de garder un air sérieux et échouait. Comme pour l'achever, Lisianthus repris le poste radio, le levant bien haut au dessus de sa tête. Puis, avec une grimace méchante, il commença à le secouer en rythme de droite à gauche. Mouvement rapidement initié chez Al' aussi qui s'amusait à frénétiquement faire le pigeon en agitant la tête. Ou la choré de what is love. L'un des deux. Vous croyez qu'on est arrivé au SUMUM du kitch ? Mais mes aïeux, vous ne pensez pas ?

Après un tours sur lui même d'une précision incroyable, l'agent d'entrtient se baissa d'un coup, remontant avec une cabrure... My, My. Sur ce mouv' du feu de dieu, voilà t'y pas qu'iel la pointait d'un doigt confiant, assurant une transmition fluide de l'attention sur elle.

-Paulia, j’ai pas balayé ce dancefloor pour le fun… mais pour le rendre inflammable au style. 


-Mon dieu. Je n'ai jamais entendu une phrase aussi ringuarde ! Le monde ne tiendra pas Paulia, il faut que tu réplique avec l'arme suprême !

-Alors, fais-moi plaisir et balance ton étincelle sur cette piste, chérie. 


D'accord. D'accord, d'accord, d'accord... Iels voulaient du combatif ? Du flamboyant ? Ils étaient pas prêts, à ça non. Certainement pas.
Reprenant le rythme de son talon, elle commença à marcher en tapant des mains pour que le public reprenne avant de tourner sur elle même, trois fois, pieds serrés, pour tomber à genoux dans la foulées. Depuis cette position, elle comença à marcher, en faisant un playback beaucoup trop éxagérer.
Puis, dés que le refrain toqua à la porte, elle laissa ses épaules reposer par terre dans un cambré de l'enfer. Apuyée sur ses pieds, elle fit signe à Lisianthus qui passa derrière elle pour l'aider à se relever dans un arc de cercle parfait. Les doigts pointés en disastrous bisexual (ou fingergun pour les intimes), elle tirait sur Alphonse à grand coup de classe supérieure.

Puis, vint le moment. Dans le clip, c'étaitt le temps ultra cliché de l'affrontement entre le héro et son ennemi Jean-Hubert qui casse des vitres à coup de clef à molette, et l'esprit du moment était de rendre gloire à ce grand moment de cinema. Alors, bas sur leurs appuies comme aux meilleurs années du crabcore, iels s'échangeaient ses lunettes comme si leurs vies en dépendait.
Derrière Alphonse, faisant n'importe quoi, le blondin scandait « FIGHT, FIGHT, FIGHT » en rythme, rendant encore plus délicat pour la pionne de garder son sérieux.

Heureusement, la musique arriva à sa fin avant que le rire n'éclate et la brésilienne essuya une petite larme d'euphorie du coin de sa main. Puis, quand les premières notes et la voix de Freddy Mercury résonèrent dans l'air, elle se tourna vers Alphonse. Là, c'était sérieux. Là, elles allaient briller plus que jamais.
C'était sa de crétin optimiste hein ? Parfait. Un petit morceau de l'enfance chez les Villeuneuves, brin nostalgique. Pour elle, la liberté de découvrir la rapidité de certaines dances à deux. Légères sur ses pieds elle se débarassa de ses chaussures, faisant un clin d'oeil à Lisianthus qui était en train de s'installer confortablement dans les airs, prêt pour le show.

L'autre aussi à de l'idée dans la cervelle. Iel s'approche, sérieux.. Non, pas sérieuse. Cérémonieuse. Oulaaaaa.... Ca sens le grandiose LADIES AND GENTS ! Is this the moment you've been waiting for ? Très certainement.

Al' tourna sur elle même, lui tendant la main.

-P’tit Jive ? 


Elle lui sourit, attrapant sa main pour se coller à elle et la chopper par la taille avant qu'elle ne réagisse.

-Je mène !


Avant qu'iel n'ai le temps de protester, elle l'envoya tourner sur ellui même, lae recupérant au dernier moment pour enchainer plusieurs petits pas proche, sa main gauche entre ses homoplates pour l'obliger à rester proche, claquant les doigts de la main droite. Puis, comme tout jive qui se respecte, vint le moment de la séparation dont lae traitresse profita.
Recupérant sa main, iel reprit le contrôle des choses.

-Hey honey, don’t kill my groooooove ! I’m a free spirit.

Mais free spirit mon cul ! Ainsi, les dés étaient jetés : iel voulait la guerre ? Il l'aurait. Souriant furieusement, Paulia s'activa à récupérer la main comme possible. Mais dés qu'elle récupérait le contrôle Alphonse attaquait de nouveau.
Leur danse restait légère, assez étrangement cohérente malgré le conflit assez évident qui les oposait. Tourbillonant, sautant, lançant leurs jambes toujours plus haut, iels se disputaient le titre de meuneureuse avec ferveur.

Paf, Paulia cambrée en arrière profitait de son poid pour envoyer Alphonse dans un petit tour pas piqué des hannetons. ET BIM ! Alphonse voyait l'opportunité dans ce pas un peu ouvert pour diriger sa comparse dans un porté court mais intense.

Paulia sentait la sueur lui couler sur le front, souriant d'un air professionnel. Mais saon partenaire la connaissait, iel savait que ses yeux abritaient tout le rire du monde. Evidement.

She's having a good time !

Puis, comme le calme de la musique revint, Lisianthus se pencha a son oreille.

-Attrape la par la taille, steupl.


Le regard soudain enflamé, elle saisit Alphonse dans ses bras alors que Lisianthus attrapait ses jambes.

-BORDEL ZETEZ LOURDS. AAAAAAAAAAAAAAAAAH.


Et ainsi, sur un Lisianthus qui avait largement surestimé sa force, les deux danseureuses s'envolère de quelques centimètre dans les airs, plus ou moins gracieusement. Doucement, manquant de les lacher, Lisianthus commença a tourner sur lui même pour les dernière notes. Quand la musique fut définitivement fini, il laissa assez brutalement tomber Paulia qui éclatta de rire en se ramassant sur son collègue.

-Pfiou.... C'était une bonne celle là ! Je sais plus celle qu'il y a après.


Comme pour lui répondre , le synthé commença sa lancinante mélodie et une idée lui traversa l'esprit. Elle passa brievement mais distinctement, à tel point que Lisianthus la vis.

-Quoi que ce soit, arrête toi là Poly. Sérieux, t'as ta tronche des mauvaises idées.

-ALPHONSE !


Elle saisit la pauvre animateurice par le col, un immense sourire.

-Prends ton chariot. Viens avec moi...


Parce qu'après tout certains élèves avait besoins de distraction, d'amour et de lacher prise. Parce qu'elle était un exemple de pédagogie et de considération de l'autre.
Et surtout parce que ça serait drôle.

-On va danser sur les tables du refectoire.


Lisianthus soupira. Elle rit d'un air démoniaque.

Elle était vraiment un génie du mal.


Paulia parle en #cc9966


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Alphonse De Villeneuve
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Alphonse De Villeneuve
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Dim 31 Oct - 22:16
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Dit-moi Alphonse, tu connais la différence entre  Paulia et toi ? Votre statut d’employé.e bientôt si tu ne repère pas le coup qu’elle est en train de te faire.
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NOTES
Yeh
and then you can put a bunch of notes here, i suppose.


Dos droit
soutenu par une main aussi ferme et intransigeante que ta politique en matière de sélection de robe, te voilà en piste avec Paulia. Selon ses choix, ses règles et ses lubies.

« Je mène ! »

No GOD NO. Toi qui as habituellement l’énergie d’un yaourt vanille en termes de force de persévérance (soit environ 80 kilocalories), LÀ c’est pas pareil. Cet instant est l’heure bénie par toutes les divinités de la danse, celui TA chanson. Et tu ne céderas pas. Qu’importe que les vents et marées t’usent à mesure de l’éternelle course du temps qui te rattrape chaque jour, que les TÉNÈBRES infinies t’emportent ou que Beyoncé menace d’arrêter sa carrière, tu ne cilleras pas. Mais no drama hein.

Ton heure viendra. Et tu la savoureras.

Elle se présente lorsque Paulia ose la classique séparation, tu reprends immédiatement

« Hey honey, don’t kill my groooooove! I’m a free spirit. »

Comme disait probablement un grand philosophe du 18e, « Tu sais, je suis marié avec le vent et je parle pas de celui que tu viens de me mettre ». Tu n’es pas sûr que cela représente efficacement l’idée, mais indeed la phrase sonne bien, ce qui n’empêche pas Paulia de tout faire pour prendre le pas.

Tac tac tac tac, ce n’est plus de la danse, mais un jeu de passe comme de passe-passe. La balle se renvoie, cachée sous vos visages théâtraux, dissimulant le vrai jeu de guerre sous celui des jambes.  De toi à elle et de vous à moi, il n’y a pas de vainqueur si ce n’est le public aux vues de la performance.  Armé de chassé en valsé, de cambrée en portée, vous escaladez les échelons de la technique au rythme du martèlement de ce pauvre sol propre.

Le tempo dans la peau, le rire dans les yeux et aux coins des lèvres, tu n’es pourtant pas capable de saisir le changement de regard de Paulia, des braises à l’incendie. Elle t’attrape par la taille et elle te fait décoller. Littéralement, puisqu’elle aussi s’éloigne de quelques centimètres du sol. Votre figure aérienne est tremblante, mais vous semblez mettre un point d’honneur à tenir la pose, gainé comme jaja. WOUHOUUU BABY, YOU’RE SO HIGH ON THE DANCEFLOOR THAT YOU FLY. Tu ne peux pas t’empêcher d'échapper un rire sonore et des exclamations de joie, Lisianthus et Paulia sont des purs génies, les marchands de sable de la piste tant ils vendent de rêve.

La musique s’arrête et le moment de flottement aussi, de gracieuse créature céleste vous évoluer en sacs qui se croute, ça arrive, mais après tout c’est ça la vie. Des bons moment de loose pour rigolbocher, sur le même principe que les mots ridicules.


« Pfiou.... C’était une bonne celle-là ! Je sais plus celle qu’il y a après. »


Un fa-fa-ré te relance immédiatement, ta tête commençant à machinalement suivre l’eurythmic du morceau. Vous la sentez-vous aussi ? La fièvre de la danse. La vraie. Celle des mouv’ de biatch entre potes à 4 heures du mat’ devant des baffes plus grandes que vous parce que c’est la vie que tu as choisie de mener. Ce qui fait soit de toi un gros teufeur, soit un bobo, soit un babos, a vrai dire personne ne sait et ne saura jamais, c’est un peu comme le mystère du triangle des Bermudes.

« ALPHONSE ! »


Une main au col te coupe dans ton intense ressentie du groove.

« Prends ton chariot. Viens avec moi... »


OKAY Chariot et suivre Paulia ! Attends, pourquoi ?

POURQUOI TU FAIS CONFIANCE À QUELQU’UN ÉTANT CLAIREMENT COUPABLE DE L’AFFAIRE DE LA STACHMOU EN POSKA ?

« On va danser sur les tables du réfectoire. »


Ah oui, pour ça. Tu accompagnes son rire démoniaque avec autant d’enthousiasme maléfique. Vous êtes donc officiellement les démons de minuit (14h45, mais chut.)

« LEEEEEEEEEEEZGO. MONTE SUR CE SPLENDIDE BOLIDE. »

Et c’est parti. Évidemment elle suit et grimpe sur la planche avec un leste à se damner my,my ! Est-ce un chat ou une surveillante avec un pas pareil ? Et bien, la question est sans doute complexe, mais tu ne te souviens pas dans quel ordre sont placés les surveillants dans le grand arbre phylogénétique du vivant, les élèves ayant tendance à les mettre avec les ursidés.

« Now it’s time, your time, the final countdown. I’ll be your guide. “

Un peu de cheesyness pour la forme et tu files à travers le couloir à vitesse jazzy, huit pas entre chaque coup de basse entrecoupé de recul et de talon ponctuant le rythme. La piste est votre, temple de la bougeotte, tu te dois d’être escorte pas feuille-morte. Pour autant, l’empressement serait impropre.

L’essence du spectacle a toujours été sur les planches, entre quatre lames de parquet et c’est aujourd’hui aussi le cas même s’il est plus que flottant. Royale, Paulia vous rince tous pendant le trajet avec une performance frisant l’illégal au regard du nombre de heart shot a la seconde. La piste née dans son mouvement, cambrer comme une reine, tout son corps traçant l’arabesque même des lettres d-a-n-c-e.

Tu entres à reculons dans l'ascenseur pendant qu’elle frôle le grand écart, coude au sol, tête dans les paumes, like a perfect sassy biatch. « Oui Honey ? Ah le grand écart haha, c’est seulement pour creuser le fossé qu’il y a entre nous » wink-wink, airflip, ciao Bella~.

De ton côté ÉVIDEMMENT que tu salut, même si tu es chauffeur.euse de chariots the show must be great. Franchement vous avez vu comment sont sapés les grooms ? Non ? Pas grave l’important c’est que ça ressemble à groove et qu’iels ont trop de flow pour ne pas swinguer alors qu’iels tirent aussi des chariots.

Pendant que votre ascenseur fait son petit bonhomme de chemin, tu fais mine de contempler ta manucure en réglant tes comptes suite à son coup bas de la journée. Tu as toujours le cœur brisé à l’idée d’être en tenue de travail pour ce grand moment retranscrit par huit raids de caméra sur au moins 20 chaines télé.

« Wow c’est quoi ce bruit ? Ah oui, celui de la craie du tableau de « Dumbass but big ass » qui note que tu me dois un time to shine en bonne et due forme et que je n’oublierais PAS. J’ai vu clair dans votre jeu lieutenante Pauliatus de la compagnie du chaos, cette attaque, que dis-je cette VENGEANCE » tu mets une main sur ton front et t'appuie sur le côté de l’ascenseur « C’était petit. Mais du génie. Du petit génie ? Non en fait c’était du GRAND GÉNIE, mais sur le même ton que grand banditisme tu voies, comme ça s’inscrit dedans. Ce qui ne veut pas dire que le grand banditisme est petit vu que c’est grand comme ton génie, MAIS pas comme ton – CA S’OUVRE, ACCROCHE-TOI. »

La conversation attendra, vous avez plus important à faire. Enfin non, elle "n’attendra" pas à proprement parler puisque, comme dirait ton cerveau à ta mémoire, ou Simba à Kovu, « Pars, et ne reviens jamais. ». Sage parole créant un mini-coma mental d’une seconde à regarder dans le vide en pensant au roi Lion, cause d’un délai ridicule avant que tu ne repartes à toute berzingue.

« Wouhouuu, grosse, c’est la vitesse ça. Des fois j’sais pas si je cours ou si je suis un vélo. »

Vous passez la porte d’entrée dans un léger dérapage sauvage et vous voilà arrivé. Tu gares ton pick-up et tends la main vers Paulia, l’autre dans ton dos, pour lui proposer de faire une entrée on ne peut plus classieuse pour mettre le feu au réfectoire. After all, sweet dreams are made of this, et il vous reste un refrain et des tables pour les réaliser.


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Paulia Caldas
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Paulia Caldas
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Sam 29 Jan - 23:22

ft. Ce bonne vieille Alphonse!

”Il y a des choses qui sont immortels et parmis elles je pense que le besoins de se payer de bonnes tranche de rire est dans le top 3. Et pour ça, j'ai  Al'. ”

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Ce dont il faut avoir conscience concernant le trio Alphonse, Paulia et Lisianthus c’est qu’il est terrifiant. Non pas qu’iels soient capables des pires horreurs (quoi que, les morts ne racontent pas leurs passé) mais iels avaient cette qualité qui feraient trembler n’importe qui : l’imprévisible. Il n’y avait rien de plus chaotique que leur trois cerveaux  annihilant l'intelligence de chacun d’un commun accord, rien de plus aléatoire que les deux vivants ensemble avec le fantôme pour leur murmurer les pires conseils à l’oreille.

Alors, quand l’une rit et que l’autre la rejoint vous devriez commencer à comprendre qu’il faut tout simplement se méfier, et faire un choix. Les laisser consumer votre âme et votre reste de sanité, celle qui échappe encore à la fièvre de la musique ou fuir. Surtout que, parmis les dernières bribes de bon sens empêchant les conneries les plus magistrales sur un campus il y a souvent un élan d’empathie et de pitié envers les pauvres surveillants et techniciens de surfaces censés ramasser la merde à votre suite. Mais quand les coupables sont elleux même dans ces deux catégorie, quel dernier sursaut de conscience est censé miraculeusement stopper la catastrophe ?
Il faut se rendre à l’évidence : absolument aucun.

Le destin des tables du réfectoire venant donc d’être scellé dans les brumes de la folie passagère de deux agents du chaos, il était temps pour elleux de se diriger en grande pompe vers les lieux de leur délit à venir.
C’est donc sous les harangues d’Al que Paulia se donna en spectacle, filant comme le vent dans son carrosse à balais. Léger comme l’insouciance, Lisianthus voletait à côté d’eux, en position de superman, passant avec joie à travers les murs et les gens en riant. Son conducteur on fire, la brésilienne redoublait de créativité lascive pour épater son auditoire. Tout le jeu consistait à exposer sa souplesse artistique, rendre jaloux les foules pour attirer un max de gens droit devant la scène. Droit à la cantine.

Huit temps par phrase musicale pour briller comme jamais, mettre la misère à l’ennui et manger les rabats joie dans le fab. Ciao les loosers, y’a que les cool kids qui ont le droit de venir.
A ce niveau de planage, l'ascenseur devient soudainement le club VIP des enfants de la night, nées du fun, des paillettes et du show biz. On check sa manucure pour le grand Spectacle, ce soir c’est concert gratuit en charité à vos oreilles delectées. Lisianthus passe derrière Starlette Grand Écart et lui remet les boucles tel un agent concerné par sa pouliche tandis qu’Alphonse, en tant que Co-Star internationale, lui fait ses derniers aveux pré trac avant le grand moment.

- Wow c’est quoi ce bruit ? Ah oui, celui de la craie du tableau de « Dumbass but big ass » qui note que tu me dois un time to shine en bonne et due forme et que je n’oublierais PAS.


Pas big ass, best ass. Dans cette jupe, elle avait un cul à se damner et elle le savait très bien. Pour le côté dumbass, meh, on se refait pas. Et parfait Alphonse, pensa-t-elle. Un de ces quatre on te capturera toi et ta carte bleue d’enfant du capital pour aller dévaliser des boutiques qui vendent une robe contre un organe. On s’occupera de ton style à en rendre jaloux les tailleurs de tes parents.

-J’ai vu clair dans votre jeu lieutenante Pauliatus de la compagnie du chaos, cette attaque, que dis-je cette VENGEANCE. C’était petit. Mais du génie. Du petit génie ? Non en fait c’était du GRAND GÉNIE, mais sur le même ton que grand banditisme tu voies, comme ça s’inscrit dedans. Ce qui ne veut pas dire que le grand banditisme est petit vu que c’est grand comme ton génie, MAIS pas comme ton – CA S’OUVRE, ACCROCHE-TOI
. 


Tout va bien capitaine, l’attention du gamin était partie dans le lever de rideau et celle de Paulia dans le rire franc de Lisianthus. Bras écartés, en pleine prise de vitesse, elle ferma les yeux. Dernier répit avant la représentation, le chaos en tournée dans toute l’école, un spectacle à ne pas manquer. L’équipe éducative en sueurs face à leur manque de tenue et les élèves en délire, c’était un plan parfait.

Les double portes s’écartèrent et les rares personnes qui s'étaient posées là pour étudier tout en mangeant leurs chocolatine comprirent vite qu’avec elleux arrivaient les emmerdes. Première partie du concert, symphonie en soupire mineur et raclement de chaises ! Debout tout le monde, et paf ! A peine sur ses pieds, dominant le monde de ses hauts talons, elle se dirigea droit vers une table pour y monter telle la reine de l’univers. De son piédestal, elle pointa alphonse d’un doigt accusateur en faisant du playback. Lisianthus dans son dos, elle se laissa tomber en arrière pour être rattrapée par le vide, attrapant sa main pour tourner rapidement sur elle-même avec un sourire fou alors que les premières notes de la suite retentissaient.

Bienvenu à l’évènement de l’année Leoska, installe toi ! On va danser comme jamais, ça va être drôle ! Chacun va être le héros de son voisin sur son étalon d’euphorie. Haut les coeurs académie des parias, mains dans la main et le chaos dans la tête on est inarrêtable.
Venez, on fait comme Otis, on danse la vie, on chante la vie !
Se tournant vers Lisianthus, elle l’attrapa par les joue et l’embrassa langoureusement avant de s’avancer vers Al’ et de lui faire de même coup.

Je ne sais pas vous, mais elle, elle avait la pêche. Et la poire, et la pomme, et l’orange et globalement toute la salade de fruit. Sauf qu’elle n’était pas aux fraises et donnait la banane.
Un vrai verger cette meuf.


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Alphonse De Villeneuve
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Dim 13 Fév - 17:37
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Les croches pianotent, tout feu, les synthés s’en flammes dans la fumée des chœurs venus spécialement pour sacraliser la piste. Le tout sur claquement de pc portable qui se referme, clap, raclement de plateau, tchsclam, et pas de danseuse who’s holding out for more, tac, tac, tac. Tyler brise sa voix dans le feu et le sang pour invoquer un héros, Caldas allume la mèche en craquant ses talons sur la table avec aucune intention de sauver qui que soit d’autre que le sens du spectacle.

Elle te pointe du doigt, accuse au héros et tu réponds par une position dramatique, un faux semblant de détresse pour mieux affronter le groove lui-même, en plein cœur de la scène sur laquelle tu grimpes à ton tour. Paulia n’a de pitié pour aucun cœur, et dévore des lèvres les limites des vivants. Bien heureusement pour toi tu es désormais habitué à la voir galocher Lisianthus, il ne t’aura fallu qu’une maigre année pour arrêter d’éclater de rire systématiquement en la voyant rouler des palots dans vide avec autant de ferveur que dans un championnat de mime avec la langue. Comme en témoignera ta formulation des événements, l’absence de rire ne signifie en rien un gain de maturité. Jamais venant de ta part.

De toute manière tes lèvres n’auraient pas le loisir de se moquer puisqu’elle se fond cruellement assaillir la seconde suivante. Remonté à bloc, tu lui rends son baisé dans les formes exigées par la musique. Tu prends les grands chevaux par les cornes, ton bras sur son épaule et attend de ses mains qu’elle trouve d’elles-mêmes le chemin vers ta taille pour que tu te laisses tomber en arrière comme une princesse. Vaste excuse pour exposer ta cambrure à ton tour et lever cette jambe qui ne demande qu’à tracer le mot FAB de sa pointe acérée. Paulia donne l’impulsion pour que tu te redresses et te fait tourner sur la table en gardant l’une de tes mains dans la sienne. Tu tends le bras à la fin de tes circonvolutions puis reviens te ranger face to face, hand to hand. Paulia te regarde et tu y vois la promesse du spectacle et du grandiose, mais pas celle de ta main sur cette danse.

« Ahah je ne crois pas non, c’est loiiiiin d’être fini. »


Sans foi, ni loi, ni gravité, elle te fait à nouveau virevolter et ça te provoque un éclat de rire sincère dans ta poitrine.

« Hey ! J’avais pas compris ça par faire tourner les têtes, rembourse. »


T’as même pas eu le lead sur don’t stop me now, le monde est trop injuste. Tu te décroches à la fin de quelques tours, de peur que Paulia te transforme en toupie Beyblade alors que tu as l’animé en grippe depuis la saison V-Force.

Et puisque tu risques de te perdre en critique cinéma si tu y penses trop, tu laisses à nouveau son esprit s’envoler dans la danse et profites de ta liberté nouvelle pour lui faire face avec du quick step. Lui faire face ? Non, pire, tu lui tournes autour et elle suit le mouvement avec un style complet-disco pour sa part. Ça t’inspire.

Tu souris et innove, improvise pour rendre honneur à l’instant : meet the discostep. Tu aimes fusionner les styles, les activités tant pour ne pas choisir que pour découvrir les résultantes. La danse est l’un des seuls domaines où ton niveau de technicité et de précision donne de cette vieille habitude des résultats intéressants et pas une inquiétude sur une potentielle consommation excessive de LSD contrairement au Roller-Paddle par exemple. Tenir sur une planche sur l’eau demande de l’équilibre, tenir sur des rollers aussi, il te paraissait important de savoir si des rollers par-dessus une planche sur l’eau doublait le besoin d’équilibre ou si le tout s’annulait. Après tout, moins fois moins fait plus. (Pour toute réponse après cassage de gueule multiple tu peux juste affirmer que les rollers dans l’eau c’est pas dingue.).

Paulia se tourne vers la salle et tonne un :

« LE SÉRIEUX EST ANNULÉ, MAINTENANT ON DANSE ! »

HELL YEAH. Pour l’appuyer avec au moins autant d’entrain tu sautes de table en table sans t’arrêter de danser jusqu’à bondir sur un meuble décoratif qui a le mérite d’être plus en hauteur, et tu pointes l’assemblé du doigt.

« WE NEED A HEROOOOO »



Où sont partis les bonnes personnes, les dieux et Hercule ? Mais sur la piste de dance mon ptit pote la chanteuse, où veux-tu d’autre accomplir ce que tu racontes dans tes paroles ?

Bienvenue dans les landes de la cheesyness, de l’héroïsme au sens drama-queen du terme ; repousser les limites, accomplir l’impossible si c’est pour le sensas’ et la gloire. Mais pas au risque de se casser un ongle, ah sah non.

Mettez le feu au réfectoire, illuminez la piste, transmettez la fièvre au… mobilier parce que vous êtes désormais seul, les élèves ont rage quit. Mah, tant pis, ça fait plus de place pour vous, la tragédie tient uniquement à ce qu’iels manquent : Le ménage à trois.

Oh ne vous fiez pas à son nom attendrissant, c’est une arme, que dis-je, c’est une péninsule. Assez littéralement d’ailleurs ! Paulia bondit et tu la rattrapes dans un sublime porté magistralement soutenue par Lisianthus dans la voie des airs pour éviter de créer le ménage à deux Chandeleurs édition. Tu serais la crêpe.  

Vous faites tournoyer Paulia au bout de vos bras, toupie parmi les mortelles, pin-up parmi les avions, le rendu est bien plus prodigieux que tes comparaisons. Vous avez tellement, tellement, teeeellement répété votre attaque spéciale qu’elle est à la limite d’être inscrit en quatrième prénom dans ta carte d’identité. Mais comme il en trois mots ça commencerait à faire trop long, c’est la seule raison pour laquelle ce n’est pas le cas (par ailleurs tu as toujours été assez touché qu’iels aient spontanément mis ton métier directement dans le blaze du mouv’, c’est trop d’honneur.)

Tu la reposes, reprends la danse au pinacle du music-hall, as la consécration de la rythmique et des croisées. No need a superman to sweep you off your feet, only a BFF, Biatch Friends Fever, yeah. Then, move your shakyshakyass, bitchybitchywitch. Vous avez dead ça. Tellement dead que tu es à bout de souffle lorsque la fin s'amorce sur une redescente au synthé qui s’éteint de plus en plus silencieusement. Ça ne t’empêche pas de conclure en complet paradoxe.

Il n'y as plus de paroles mais tu chantes la fin de refrain, bras en l'air, et te laisses glisser sur les genoux sur une des tables avec la ferveur que le même du Longest Goal Celebration Ever, mais pas sur la même musique. C’est ta façon de te le réapproprier, no jugement. Tu dab pour conclure.

Moment de battement. La chanson s’arrête. Et tu laisses tomber tes bras en contraste avec ton sourire qui lui remonte quand tu te tournes vers Paulia.

Cette Queen vient de t’offrir la meilleure fête d’anniversaire sans fête ni anniversaire.

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