Chambre 3, nom de code : Ragnarök [PV Mitre]

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Chambre 3, nom de code : Ragnarök [PV Mitre]


Messages : 35 Feuille de personnage Age: 20 ans Pronoms: Club: Art Pouvoir: Soumet les âmes des morts a sa volonté	Kisa'Rah Cancre Sam 25 Avr - 1:04 Kisa' Rah Mitre Nikulaenkovitch Chambre 3, nom de code : Ragnarök Bon. C’est le grand jour. Le jours d’intégrer les dortoirs de Leoska et d’apprendre à vivre avec les autres élèves. Après deux années complètes de réhabilitation, suivis de deux années d’études foirées à Leoska, Lise avait décidé que t’installer dans une chambre parmi les étudiants serait la meilleure solution pour que tu t’intègres. Probablement une grave erreur de la joueuse française, qui semble avoir oublié à quel point tu es socialement inadapté à ce qu’on attend de toi. Quoi qu’il en soit, tu avais fait tes valises. Une classique, pleine de vêtements, une inondée de masque et de chapeau qui te couvre du soleil, une remplie des tenues traditionnelles de ton peuple originel, et une avec tout ce qui était plus utilitaire. Tu es chargé comme une mule et fais deux premiers allers-retours ou tu amoncelles devant la porte de la chambre 5 toutes tes malles. Durant le troisième voyage, tu récupères toutes les âmes que tu as entassées ces dernières années. En temps normal seules celles de ta tribu volent autour de toi, donc une trentaine au maximum, et c’est rare qu’elles soient toutes présentes. Là tu dois aussi traîner toute celle que tu as recueillie çà et là. Et… C’est épuisant. En soi ton contrôle sur les esprits est plutôt naturel, ce qui te demande des efforts en revanche, c’est d’éviter de sombrer dans les méandres de ton inattention pour ne pas les éparpiller sur le chemin. Ah, et surtout de ne pas oublier la présence des âmes qui te déteste, qui, elles, en cas de négligence de ta part n’hésiteraient pas à te posséder pour retrouver leurs libertés. Mais il y avait pire. Il y avait Yere’om, un garçon beaucoup trop… actif, de ta tribu, et Jehl l’âme d’une jeune que tu avais déniché dans les coins plus forestiers de Leoska et qui, en soit, est assez sympa pour un esprit rencontré au hasard. Mais bavaaarde… Seulement tu as gravement la flemme de les faire taire tout les deux, tu dois demeurer attentif au reste. « Tu penses que tes colocataires vont être comment ? Ça se trouve les dortoirs sont encore plus confortable que l’appartement ! Comment j’ai hâte. — Je parie sur un cliché de sportif qui invite plein d’indésirables dans la chambre. Ah et pour l’autre quelqu'un qui au contraire ne sort jamais et qui est grave saoulé par le sportif. — Moef, j'comprend pas le délire, tu ne pourrais pas imaginer des gens plus cool ? — C’est juste des stéréotypes de série américaine, et comme y’en a plein dans cette école. … Ah, mais c’est vrai que vous n’avez jamais vu de série, non, mais dans ce cas je peux rien faire pour vous faites un effort aussi. » Tu soupires en écoutant leurs bavardages incessants. Les murmures des morts ne te dérange pas, sauf eux deux et leurs enthousiasme chronique. Toi, ça t’angoisse ce déménagement. Tu es incapable de partager ton espace correctement avec les autres, et tu te fais tout le temps reprendre parce que tu ne respectes pas leurs limites. Tu es tellement stressé que tu as mis une de tes tenues préférées pour inaugurer cette rencontre, avec un masque que les gens doter d’un sens du goût qualifierais de douteux, un chapeau de jonc tressé auxquels était accroché des sphères de verre dans lesquelles se reposer quelques esprits, et d’un kimono. À tes yeux, tu étais sur ton trente et un, a ceux des autres tu avais juste l’air d’un personnage de dessin animé improbable. Tu entres alors dans la chambrée 5 après une grande inspiration, quand trois individus qui jouent aux cartes se retournent vers toi d’un air incrédule. … C’est pas des chambres de trois justement ? « Heu… Bonjours ? C’est pour ? » Ce n’est pas là. Tu regardes ton papier sceptique, mais tu as trop mal écrit le nombre. Jehl ricane, heureusement les autres humains ne peuvent l'entendre. « Bouleeet. C’était la chambre trois, si tu avais écouté Lise tu le saurais sans avoir à relire ton écriture louche. » Tu fais demi-tour l’air de rien sans les saluer et pousses tes valises deux chambres en arrière. Cette abrutie de Jehl t’a fait perdre du temps seulement pour se moquer de toi, alors que tu dois te trimballer une cinquantaine d’âmes. Furieux tu la réduis au silence comme les âmes plus réticentes à te suivre. Bon là, ça devrait être la bonne chambre. Tu ouvres la porte d’un grand geste. Il y a quelqu’un. Tu croises son regard, restes immobile un instant et refermes la porte dans un claquement brusque. Tu ne fais pas confiance à Jehl, ce n’est peut-être pas la trois après tout… Mais peut-être que si ? … Si ! Cette sorte de bosse un peu moche sur ton gribouillis c’est forcément un trois. Tu ouvres à nouveau pour rentrer et pousses tes affaires dedans sans demander l’avis de la personne présente. À vrai dire, si elle a parlé, tu ne l’as même pas écouté. En silence, tu te mets dans un coin et prends le temps « d’endormir » les âmes hostiles, soit, une bonne dizaine pour éviter les fâcheux accidents. C’est un état qui te permet de les entreposer de façon à ce qu’elle soit inoffensive, elles stagnent juste dans un coin et ne servent strictement à rien, comme de simples feux follets immobiles. Qu’elles sont belles ainsi, tu pourrais les regarder pendant des heures. Les autres, en revanche tu les laisses faire leurs vies, et inspecter la chambre sinon elles vont être invivables. Elles peuvent te posséder aussi, mais ne le fonds pas pour ne pas risquer que tu les endormes. Et quand bien même leurs possessions ne sont pas bien méchantes, souvent tu t'en fiches. Fiouu… Tu peux enfin souffler maintenant que tout ce petit monde est en ordre, une moitié assoupie, l’autre en exploration. Tu en profites pour découvrir la chambre toi aussi et… waw. C’est un véritable écosystème. Les chambres d’internat sont super chouettes finalement. « Dis-moi… Loin de moi l’idée d’être jugeant, mais… Si la personne dans cette pièce est effectivement ton colocataire, il faudrait genre, je ne sais pas… ne pas l’ignorer peut-être ? » Hmm. Pertinente remarque de Ra’em. Tu te tournes vers ladite personne et… merdes tu lui dois lui dire quoi déjà ? Tu avais fait un scénario dans ta tête, mais tu as tout oublié, alors tu sors les notes que tu as faites avec ta responsable de réhabilitation, à utiliser en cas d’urgence. « Bonjours, je suis Kisa’Rah, mage noir de première année, et ceci est mon nouveau territoir- Ah non elle l’avait barré ça. Je reprends. Je vais habiter ici, ravie de te rencontrer. Serrer la main à ce moment. Mince, je n’avais pas vu la parenthèse, c’était une action je n’aurais pas dû le lire non plus, elles ne sont vraiment pas claires ces notes… » Bon range les au pire c’est du pareil au même. Tu restes donc statique à attendre une réaction de sa part, si tu as l’air à l’aise, il ne se rendra peut-être pas compte que tu galères et tout se passera bien. « J'doit me poser où ?» J'écrit en#9999ff

Messages : 133 Feuille de personnage Age: 21 Pronoms: Il/Iel/whatevs Club: Jardinage Pouvoir: Parler aux animaux et aux plantes	Mitre Nikulaenkovitch Premier de la classe Lun 27 Avr - 23:18 Chambre 3, nom de code : Ragnarök Kis'Rah & Mitre Nikulaenkovitch La journée n’avait, en soi, pas si mal commencé : réveillé par une parcelle de mousse inconfortablement installée sur la bouche et le nez, tu as passé une bonne partie de la matinée à donner un cours d’anatomie humaine à tes plantes afin d’éviter une tentative involontaire de meurtre. Une fois la leçon faite, tu as décidé du déroulement de ta journée : mise en place d’un compost magique sous la fenêtre, afin d’avoir un terreau fertiliseur à portée de main lorsque le besoin se fera sentir. C’est tout ce que tu as prévu de faire parce qu’il te faudra d’abord trouver un bac où entreposer des éléments en décomposition, ainsi qu’une petite colonie de vers de terres consentants et un bon paquet de déchets compostables—les poubelles du réfectoire devraient sérieusement faire l’affaire. Ainsi attelé à la tâche, la journée défile si rapidement que tu ne vois pas les heures passer. Recouvert de déchets et d’une odeur nauséabonde, tu rentres dans ta chambre pour y découvrir qu’un nouveau colocataire va s’installer dans les lieux. Super. Tu vas devoir prendre une douche en quatrième vitesse avant que le squatteur ne débarque, afin de t’assurer qu’il ne foute pas le bordel dans ton bordel et surtout, pour lui expliquer les consignes relatives à la salle de bain (shampoings et savon écologiques et innofensifs pour le microcosme de la douche, pas de dentifrice ou de savon dans l’évier lorsque les poissons y font trempette, personne n’écrase d’insectes, personne ne se laisse intimider ou apitoyer par Biskit quand il réclame de la bouffe. Tu ne sais pas exactement à quoi t’attendre, ce n’est pas comme si le mot prévenant de l’arrivée d’un nouvel étudiant fournissait une quelconque description physique ou psychologique… Tu ne sais même pas de quel type de mage il s’agira—pitié par un mage vert, ce n’est pas parce que vos pouvoirs sont de la même famille que vous vous entendrez nécessairement bien ! Tu te laves les cheveux à plusieurs reprises, jusqu’à ce que Biskit, perché sur les toilettes, te signale que tu ne sens plus un mélange des trois dernières semaines de repas proposés par la cafèt, le tout dans un état de pourriture avancée… et passe un certain temps à les brosser pour t’assurer qu’aucun résidu immonde ne vienne polluer ta chevelure, avant d’enfiler un débardeur et un short de pyjama noirs, ainsi qu’un kimono—noir aussi, duh—et d’aller ranger un peu le bordel sur le dernier lit. Tu ne sais pas où est passé ton autre coloc et devra accueillir le nouveau sans lui. Super. Toi qui est si sociable et si friand d’interactions sociales (non). Tu finis par t’asseoir en tailleur sur ton lit pour raconter des légendes grecquo-romaines à tes bocaux de jeunes pousses ; la guerre de Troie est un sujet suffisamment passionnant pour captiver leur attention et tu insuffles assez de magie dans ta voix pour les aider à se fortifier et à pousser plus solidement. Tu es en train de leur décrire le subterfuge de Patrocles lorsque la porte s’ouvre, te réduisant au silence. Le nouveau venu ne frappe pas et ne s’adresse pas à toi ; il se contente de vaquer à ses occupations comme s’il avait toujours vécu ici. Il est auréolé de nombreuses… boules de lumière ? Tu n’as aucune idée de ce que sont ces choses, mais il est apparemment capable d’en immobiliser certaines. Les autres font le tour de la pièce, comme si elles procédaient à une inspection des lieux. Fasciné par les faisceaux lumineux, tu oublies momentanément l’intru, avant qu’il ne rompe le charme en signalant sa présence par les mots. Sérieusement, une rencontre silencieuse aurait été tout aussi envisageable. Mais tu n’aurais pas pu l’intimider pour qu’il se plie à tes exigences en matière de salle de bain… autant se débarrasser des formalités, des introductions et autres banalités en tout genre pendant que vous y êtes. Tu portes ton attention sur lui en l’observant. Il a l’air complètement paumé et… est-ce qu’il a des indications sur comment se comporter en société ? Il a l’air de lire un dialogue de théâtre, didascalies comprises… Mh, peut-être que la cohabitation sera plus aisée que prévue, s’il ne s’offusque pas de ton irrespect des conventions sociales… Et qu’il garde ses petites lumières avec lui. Elles te plaisent bien, même si tu te doutes qu’il ne s’agit pas uniquement de lumières. C’est un mage, et un mage noir apparemment, ça a probablement quelque chose à voir avec l’essence vitale des défunts ou le dernier souffle avant la mort violente de mon meilleur ami, quelque chose de bien glauque. Tu n’as rien contre les mages noirs en tant que tels, mais tu as quelques différends avec l’un d’entre eux qui est particulièrement tête à claque. Cela dit, Biskit ne moufte pas, il ne se sent pas en danger en la présence de l’envahisseur. C’est généralement un bon signe. « Je suis Mitre, mage vert, comme tu peux le voir d’après le absolument tout de la chambre. C’est plutôt mon territoire, d’ailleurs. Enfin, je suis prêt à le partager, et il y a assez de place pour trois. Malgré ce qui est apparemment écrit sur ses notes, il ne fait pas le geste de te tendre la main. Très bien. Du menton, tu lui indiques ses quartiers, rare espace dépourvu de végétaux ou de colonies d’insectes et bocaux à confiture. « Toutes les étagères qui sont pas occupées sont à toi. Le lit aussi, même s’il faudra probablement faire un peu de ménage en dessous avant de foutre des affaires si tu as besoin… évite juste d’écraser mes amis, tu peux te mettre partout ailleurs. » En principe il devrait y avoir assez de place, mais vu la taille de son paquetage… tu es moins convaincu que tu ne le laisses paraitre. awful

Messages : 35 Feuille de personnage Age: 20 ans Pronoms: Club: Art Pouvoir: Soumet les âmes des morts a sa volonté	Kisa'Rah Cancre Jeu 30 Avr - 0:58 Kisa' Rah Mitre Nikulaenkovitch Chambre 3, nom de code : Ragnarök Tu ne sais pas trop quoi penser de la personne avec qui tu vas être amené à partager ton espace personnel. D’un côté il dit qu’il est prêt à partager, de l’autre il semble affirmer que c’est son territoire. Arf, c'est embêtant les contradictions sur un tel sujet. Vraiment tu n'est pas généreux sur l'espace et tu sais que même avec tout les efforts du monde tu va t'étaler. Qu’en penserait le troisième colocataire d’ailleurs ? Non ne t’embête pas avec cette donnée pour l’instant essaie de pas zapper que tu as déjà une personne avec laquelle tu dois discuter pour l’instant. C’est déjà suffisamment compliqué comme ça. « Hmm. Merci de partager ? Je suppose que c’est ce qu’il faut dire ? — Moef. T’y es presque, gardes espoir. » Il te montre du menton ton « espace » qui à ta grande déception est dépourvue de toute compagnie végétale contrairement au reste de la chambre. C’est tristounet. Les étagères et le lit sont en bois, mais c’est d’un vide, il faut absolument que tu aménages les lieux, ça en est stressant. Tu passes un coup de manche sur les bords pour vérifier la poussière et… Ah oui. Bon. Tu pousses ton immense tas de valises jusqu’au dit-espaces et sors une serviette de la valise numéro 4 et époussètes le minimum syndical de poussière des étagères et de l’armoire. Lorsque tu pousses le lit pour enlever vite fait ce qu’il y a dessous, tu croises un charmant mille-pattes et le laisses partir tranquillement, puis récupères un balai pour faire place nette. « Oh. C’était les amis dont tu parler, les insectes dans la chambre ? Ça fait partie de tes capacités de mage vert, enfin, tu peux leur parler ? Ça ne me dérange pas hein de cohabiter avec des plantes et des animaux, je préfère ça a une pièce sans vie. Ça me fait penser à une clairière, c’est beau. » Tu prends un air un peu rêveur à ces mots. Plus habituer à camper dans des prairies pour y élever des chèvres qu’à vivre dans briques emboiter les unes au-dessus des autres, ça t’arrange bien cette ambiance. Tu espères juste que les animaux sont sympas et ne vont pas te faire la guerre parce que tu voles une zone de la chambre. Tu commences alors à entreposer tes affaires sur les étagères. Le linge est ce qu’il y a de moins difficile à ranger, au pire si tu n’as plus de place tu trouveras un coin par terre. Tu commences alors à entreposer les objets inutiles que tu entasses en souvenir. Le premier porte-savon que tu as croisé, une presse livre de ton premier passage à la bibliothèque, des craies de salles de classes, des pierres sympas, bref. Tu accumules un sacré tas de connerie, souvent en souvenir des moments où tu découvres de nouvelles choses, ça t’aide à t’en rappeler. Mais bon collectionner des trucs c’est ce que tu préfères dans la vie. En parlant de collection ! « Ah, et de même pour mes âmes, si tu pouvais éviter de les toucher ça m’arrangerait je ne voudrais pas que tu les ternisses par accident ou que tu en réveilles certaine. » Tu hésite un instant a lui faire croire qu'il sera maudit sur sept génération si il les touches mais peut-être que son bon sens et son respect suffirons. Sur ce, tu reprends ton rangement tranquillement pendant que certains esprits finissent le tour des lieux paisiblement. Sauf une. Évidement. Jehl semble examiner Mitre et au début tu l’ignores en te disant que ce n’est pas ton problème, mais, malheur, elle se met à parler. « Plutôt que de raconter ça tu ne voudrais pas faire les présentations ? Il a trop de flow. Dis-lui que je m’appelle Jehl. Je suis sûr qu’il est plus à jours, ça ne se voit rien qu’à son style. Ça ne me ferait pas de mal de communiquer avec quelqu’un d’un peu moins jet-laguer. » – Ça va peut-être que ça ne va pas le rassurer le monsieur que vous puissiez le comprendre et il n’a peut-être pas envie de discuter avec toi aussi laisse-le. – Oui bon bah maintenant que tu l’as dit à voix haute devant lui c’est un peu mort, fait un effort. » Effectivement, tu avais juste l’air de parler seul comme ça, et c’est pire. Tu soupires, elle ne te laissera probablement pas tranquille si tu l’ignores, donc débarrasses toi de la tâche au plus vite, avec un peu de chance elle arrêtera rapidement de vouloir parler. « Bon, exceptionnellement je vais faire traducteur, la lumière à côté de toi s’appelle Jehl et m’a demandé de te la présenter parce, je cite, “tu as trop de flow” ceci étant dit je n’ai aucune idée de ce que ça veut dire j’espère que tu n’as pas était offensé outre mesure. » Sur ce tu reprends tes activités dans l’espoir d’avoir pris tes marques avant la soirée, tout en constatant que les étagères n’allaient probablement pas être complètement d’accord avec le chargement que tu leur imposer. J'écrit en#9999ff

Messages : 133 Feuille de personnage Age: 21 Pronoms: Il/Iel/whatevs Club: Jardinage Pouvoir: Parler aux animaux et aux plantes	Mitre Nikulaenkovitch Premier de la classe Mer 6 Mai - 17:44 Chambre 3, nom de code : Ragnarök Kis'Rah & Mitre Nikulaenkovitch Tu ne sais pas grand-chose—scratch that, tu ne sais absolument rien sur ce type, mais il a l’air… de correspondre à tes standards. Pour un être humain, c’est plutôt pas mal, vraiment. Il fait attention à Sandrine alors qu’elle va se promener pas loin de son balais—elle est pas futée, pour un mille-pattes… et la laisse partir sans l’embêter. Et puis il a pas l’air très au fait des conventions sociales. Ça tombe bien, tu as tendance à leur marcher un peu dessus aussi, sur les conventions sociales. La plupart du temps arbitraires et bourgeoises, elles te gavent rapidement. Mordred, complètement obnubilé par le respect de son espace privé et de la propreté des lieux ? Pas ton meilleur ami. Lui a l’air beaucoup plus lax question ménage rangement et espace perso. Déjà parce que les plantes ont l’air de lui plaire—c’est bien, ça veut dire qu’elles vont peut-être pouvoir établir un peu leurs quartiers de son côté de la chambre. En plus parce qu’il empile des objets désaccordés les uns avec les autres… tendances kleptomanes ? ça aussi, ça te plait bien, à bas la propriété privée, tout ça… - Ouaip. Ça, c’était Sandrine. Si tu les reconnais pas ils se formaliseront probablement pas. Je peux communiquer avec eux. Des fois je leur parle et des fois on se comprend sans que j’aie besoin de parler, c’est un peu particulier… Mais en gros, ouais, c’est lié à mes capacités. Ils aiment bien ma présence parce qu’ils peuvent pomper mon énergie donc il y en a pas mal dans la pièce. Généralement c’est des insectes ou des poissons, il y a un résident permanent qui est un raton laveur, aussi. C’est rarement de gros animaux. Tu es pas sûr que ça l’intéresse vraiment, par contre. Il a surement posé la question par politesse, donc évite de le barber avec tes capacités de mage. C’est pas comme si tu serais ravi qu’il te fasse un résumé détaillé des siens… Quoique, s’ils sont liés à ses petites loupiottes, tu es carrément pour un résumé détaillé. La main levé et à quelques centimètres de l’une desdites lumières—une âme ?! tu laisses retomber le bras contre ton corps avant d’avoir établi un contact, et tournes la tête vers lui. Message reçu, on touche pas les jolies lumières qui sont en fait… les résidus d’êtres vivants ? Tu vas vraiment avoir besoin d’un résumé détaillé, en fait. Alors qu’il se met à nouveau à parler, tu comprends qu’il ne s’adresse pas à toi. OK, creepy cette fois. Tu essaies toutefois de lui laisser un peu d’intimité en ne le fixant pas avec un air éberlué. Même si c’est étrange, vu qu’il parle de toi comme si tu étais pas là et que tu ne pouvais pas l’entendre. Il a conscience, que tu peux l’entendre ? Il est pas entièrement rassurant, ce garçon. M’enfin, dans une école pleine de mage, personne n’est complétement stable ici, donc rien de bien méchant. En plus il a l’air de collectionner les portes savons alors il doit pas avoir pour habitude de transformer ses colocs en petites lumières… pas vrai ? Il a la gentillesse de faire la traduction, cela dit, et apparemment ses lumières fonctionnent un peu comme tes insectes. Cool. - Ah sympa. Je suis Mitre. Je te serrerais bien la main, mais je crois pas que tu en aies, vu que tu es une lumière… Désolé si c’est vexant, j’ai pas trop l’habitude de parler à des âmes… Tu te tournes vers Kisa’rah, pour t’adresser directement à lui et plus à l’âme—Jehl, dont tu apprécies le bon gout. - Ça marche comment ton pouvoir ? Enfin, tu es pas obligé de répondre, c’est un peu une question privée.. Parce que bon, c’est pas comme si c’était la question que tout le monde pose à chaque nouvelle rencontre. Mais le bonhomme se promène avec des âmes alors, normal, toi tu te poses des questions. Faudrait être sacrément blasé pour pas faire pareil. awful

Messages : 35 Feuille de personnage Age: 20 ans Pronoms: Club: Art Pouvoir: Soumet les âmes des morts a sa volonté	Kisa'Rah Cancre Dim 10 Mai - 17:17 Kisa' Rah Mitre Nikulaenkovitch Chambre 3, nom de code : Ragnarök Pendant que Jehl vit sa meilleure vie, ou non-vie en l’occurrence, à voleter autour de ton colocataire tu commences à faire ton lit et constates avec soulagement que les propos de l’âme n’ont pas l’air de l’avoir contrarié. Ouf. Ça aurait été particulièrement embêtant si cette commère, bavarde comme un merle, avait vexé l’une des personnes avec qui tu vas devoir partager ton espace de vie à l’année. Il a même la gentillesse de lui répondre. « Ah sympa. Je suis Mitre. Je te serrerais bien la main, mais je crois pas que tu en aies, vu que tu es une lumière… Désolé si c’est vexant, j’ai pas trop l’habitude de parler à des âmes… — Évidemment que je n’ai pas de main tch, mais bon il a l’air cool quand même. Maladroit, mais cool. Il aurait pu genre… Inventer un check d’âme au lieu de me rappeler que je ne peux pas lui serrer la main aurait été plus sympa, mais on va mettre cette légère erreur sur le compte de sa condition de débutant en discussion avec l’outre-monde. » Tu lèves les yeux au ciel, exaspérer. On t’avait vite fait parler du principe d’un check, particulièrement inintéressant au passage, et ça ne coller vraisemblablement pas aux consignes que tu avais données vis-à-vis des âmes. Non, mais si même elles, elles ne respectent rien, la vie en communauté risque d’être compliquée. Déjà que tu dois te faire violence pour ignorer toutes leurs questions sur ce nouvel environnement… Tu te concentres donc sur les propos de Mitre lorsqu’il reprend la parole, et tu tournes lentement la tête vers lui, par politesse. Tu as l’air un peu ralenti certes, mais tente des efforts sur les conventions sociales. « Ça marche comment ton pouvoir ? Enfin, tu es pas obligé de répondre, c’est un peu une question privée… » Tu lèves les yeux en l’air, pensif, pour réfléchir à une façon de l’expliquer convenablement. C’est compliqué parce que ça fait tellement partie de toi, ce pouvoir, qu’expliquer « comment il marche » reviendrait presque à expliquer comment aligner un pied devant l’autre pour courir. L’autre problème, c’est que quand tu décris platement l’effet, les gens ont tendance à te regarder bizarrement. Tu t’assieds en tailleurs sur ton lit que tu viens de finir de faire, une main sur le menton en signe de réflexion. « Essaie d’y aller mollo dans ta formulation, t’es souvent vexant pour nous quand tu annonces « je fais ployer les âmes des morts à ma volonté » ect, et c’est flippant pour Marcelino. — Marcelino? Mais il a dit qu’il s’appeler Mitre non ? » Tu aurais mal compris à ce point ? Elle soupire. « C’est un dessin animé sur un gamin qui parle aux animaux. Mais certes, c’est vrai qu’il ne fait pas trop Marcelino après réflexion. Laisse il m’a un peu contrarié, fallait juste que je me venge sans qu’il m’entende, c’est bon on peut repartir sur de bonne base. » Ok, elle t’a vraiment déconcentré pour rien. Reprends à ton rythme. Il t’a posé une question sur le sujet que tu connais le plus et que tu aimes le plus, mais tu traines depuis plus d’une minute pour répondre. « C’est plutôt simple. Je peux commander les âmes de défunt. C’est-à-dire qu’elles obéissent… plus ou moins à ma volonté. Quand j’en croise qui errent, et que j’entre en contact avec elles, elles prennent cette forme de lumière. » C’est plutôt inconscient comme mécanisme. C’est juste que les voir sous forme de lumière est ce que tu souhaites le plus, donc une fois un lien établi tu les perçois de cette façon et les autres aussi. Tu ne comprends pas trop comment ça fonctionne. « Je sais ça peut faire un peu morbide présenter comme ça… » Tu ne le penses pas pour un sou. On t’a juste fait apprendre cette phrase par cœur pour que tu aies l’air conscient du fait que ton pouvoir n’a l’air pas super éthique. En soit toi tu le trouves normal. Si tu ne pouvais pas les faire obéir, les âmes t’empêcheraient de vivre. Tu aimes le silence et les observer flotter, évidemment que les entendre brailler dans tous les sens autour de toi est désagréable. Pour illustrer tes propos tu tends doucement tes mains en avant et leurs intimes intérieurement de se rapprocher, et les lueurs, peu à peu s’approche de tes mains en une myriade de petites flammes. Mais tu les laisses repartir pour parler à nouveau, trop fatiguer pour être attentif à tout ce beau monde tout en parlant. « Mais en soit je n’en fais pas grand-chose je leurs demandes justes de se calmer quand elles sont trop bruyantes ou quand elles veulent hanter n’importe qui. Ça serait fatigant de subir les plaintes des autres. J’endors les plus dangereuses. Celle là-bas. » Tu pointes du doigt le coin ou tu as entassé les âmes endormies à ton arrivée « Elles essaie de me posséder des fois c’est vraiment très handicapant. Si ça arrive, mais ça ne devrait pas, assomme-moi, ou fuis et appel l’infirmière s’il te plaît. Ça peut-être un peu bizarre parfois, je suis désolé si tu n’étais pas prévenue ? J’espère que ça ne te pose pas de problème ? » Tu balances ça d’un air assez neutre. C’est embêtant d’être possédé, mais c’est comme ça, tant pis ça t’est égal tu as presque l’habitude. Tu espères juste que ce paramètre ne soit pas un frein supplémentaire à la cohésion sociale. Tu ajoutes quand même une info en espérant que ça aidera à mieux faire passer les choses. « Désolé c’est long. Je ne suis pas doué pour les explications. Après sinon pour le reste c’est assez similaire au tien, je peux discuter avec elles, mais pas implicitement. Mais bon elles sont un peu prises de tête parfois… faire la conversation avec des animaux et des plantes doit être bien plus intéressant ! C'est sans doute très différent des conversation avec les humains, non ? » Tu dis ça honnêtement, car tu es certain que les animaux sont plus sympas pour converser. Que se soit les âmes ou les humains ça demande de constamment d’user d’épuisante convention sociale qui sont, peut-être, avec un peu de chance, simplifier chez les insectes et cie. Et puis c’est peut-être moins des pipelettes aussi. Évidemment, tes esprits s’insurgent et certains râlent après toi sur ta façon de parler d’eux et tu es obligé de les chasser plus loin pour qu’ils n’entravent pas ta vision et que tu puisses rester attentif à Mitre. J'écrit en#9999ff

Messages : 133 Feuille de personnage Age: 21 Pronoms: Il/Iel/whatevs Club: Jardinage Pouvoir: Parler aux animaux et aux plantes	Mitre Nikulaenkovitch Premier de la classe Mar 12 Mai - 20:00 Chambre 3, nom de code : Ragnarök Kis'Rah & Mitre Nikulaenkovitch Le nouveau venu a l’air aussi engrossé dans ses discussions avec des âmes que tu peux l’être dans des discussions avec des carottes. Bonne nouvelle, vous aurez pas besoin de vous parler pour pas que l’ambiance soit gênante, puisque vous serez occupé chacun de votre côté avec votre ménagerie respective. Tu n’es pas très sûr qu’il réfléchisse à ta question ou se contente d’entretenir une conversation particulièrement intense avec ses loupiottes. Tu continues de l’observer, tu n’es pas pressé d’obtenir une réponse ; tu t’assieds sur tes couvertures après avoir vérifié que personne ne dormait sous les couettes, et reporte ton attention sur lui. Toujours rien. Normal, en un sens, ça doit être un peu plus compliqué que ta capacité à communiquer avec les êtres vivants. La preuve, tu as mis seize ans avant de comprendre que c’était anormal ; lui fait voler des petites lumières autour de lui, les gens ont rapidement lui signaler que tout le monde en était pas forcément capable. Enfin, tu présumes. Tu sais pas trop d’où il vient, il n’a pas l’air au fait des conventions sociales—toi tu les connais pour la plupart et choisi juste de t’en passer parce qu’elles sont ridicules et arbitraires, et des entraves à ta liberté de mouvement et d’expression. « C’est plutôt simple. Je peux commander les âmes de défunt. C’est-à-dire qu’elles obéissent… plus ou moins à ma volonté. Quand j’en croise qui errent, et que j’entre en contact avec elles, elles prennent cette forme de lumière. » Glauque. Mais aussi terriblement cool. Tu cales tes pieds l’un contre l’autre pour t’installer en tailleur et te perds dans le flot de tes pensées. Est-ce que c’est lui qui transforme les âmes en lumière, ou est-ce le stade naturel d’une âme après avoir été rencontrée ? Est-ce qu’il pourrait les transformer en plantes, où est-ce qu’elles sont censées rester des boules de lumière ? S’il les transformait en plantes, est-ce que tu pourrais les controler ? les questions se bousculent. « Je sais ça peut faire un peu morbide présenté comme ça… » Il plaisante là ? C’est pas morbide, c’est génial. Rien à voir avec des cadavres en décomposition. Tant qu’il ne fabrique pas les âmes en allant à droite à gauche assassiner des gens… Et encore, ça prouve que même si le corps meurt, l’esprit demeure, c’est une nouvelle plutôt rassurante. Tu pourras continuer à passer du temps avec tes plantations même une fois décédé. Est-ce que les animaux fonctionnent pareil ? Il tend la main et les lumières se regroupent autour de lui. C’est absolument glorieux. Un concert d’exclamation à ta droite t’indique que les insectes partagent ton opinion. Certain se dirigent même vers la source lumineuse et tu es forcé de les rappeler à l’ordre d’un claquement de doigts. Pas toucher. Tu ne sais pas si la remarque s’applique à eux, mais tu préférerais éviter d’obtenir une réponse par la manière forte. « Mais en soit je n’en fais pas grand-chose je leur demande juste de se calmer quand elles sont trop bruyantes ou quand elles veulent hanter n’importe qui. Ça serait fatigant de subir les plaintes des autres. J’endors les plus dangereuses. Celle là-bas. Elles essaient de me posséder des fois c’est vraiment très handicapant. Si ça arrive, mais ça ne devrait pas, assomme-moi, ou fuies et appelles l’infirmière s’il te plaît. Ça peut-être un peu bizarre parfois, je suis désolé si tu n’étais pas prévenu ? J’espère que ça ne te pose pas de problème ? » Si ça te posait problème, ça ne changerait rien à la situation. C’est pas comme si tu pouvais virer ton coloc parce que « ses pouvoirs sont un peu flippants et j’ai peur qu’il m’assassine dans mon sommeil ». On te dirait juste « jeune homme, ça fait deux mois que vous êtes absent à vos cours » sans porter attention à quoi que ce soit qui serait sorti de ta bouche. Et puis à la vérité, ça ne te pose pas vraiment de problème. Tant qu’il ne s’amuse pas à te posséder. Tu n’aimes pas qu’on joue avec ton cerveau mais tant que tu es prévenu… Les âmes « dangereuses » et confinées à un coin de la pièce, immobiles, n’ont pas l’air plus dangereuses que des âmes ordinaires. En même temps c’est la première fois que tu en vois alors tu sais pas vraiment faire la différence… Tu te demandes ce qu’il se passerait s’il les mettait dans des bocaux en verre. - Mh, OK mais comment je saurai que tu es possédé ? tes yeux brillent, ou ta voix est différente ? parce que je préfère éviter de t’assommer pour rien… Tu peux pas foutre les âmes dangereuses dans des boites en verre ? probablement pas, sinon tu l’aurais déjà fait… J’ai juste un problème : mes insectes ont tendance à être attirés par les lumières, et à … foncer dedans, de façon très stupide et répétitive. Ils sont globalement pas trop cons, mais la lumière c’est un peu leur kryptonite, je sais pas si j’aurai assez d’autorité pour les empêcher de foutre les pattes sur tes âmes. Ça pose un soucis ? Si ça pose un soucis… Mh, même réponse que précédemment, tu ne vas pas pouvoir y faire grand-chose. Tu espères juste que ça ne va pas les cramer ou quoi que ce soit, parce que ça arrive souvent ces conneries. Biskit est généralement ravi d’avoir des insectes grillés à grailler, mais c’est pas super pour ta colonie. « Désolé c’est long. Je ne suis pas doué pour les explications. Après sinon pour le reste c’est assez similaire au tien, je peux discuter avec elles, mais pas implicitement. Mais bon elles sont un peu prises de tête parfois… faire la conversation avec des animaux et des plantes doit être bien plus intéressant ! C'est sans doute très différent des conversation avec les humains, non ? » Faut pas qu’il se fasse de soucis, tes bestioles et tes plantes aussi peuvent être prise de tête. C’est un peu le lot de tous les bienheureux capables de communiquer avec ce qui ne peut ordinairement pas communiquer à l’extérieur : ils sont généralement surchargés par les demandes et l’attention. C’est un peu épuisant. C’est pour ça que tu as décidé de mettre un place un système de compostage de ton propre sang. Si la théorie fonctionne, tes saignements de nez devraient permettre d’alimenter magiquement les plantes, les aider à grandir, tout ça, sans qu’elles ressentent le besoin de se brancher sur tes batteries. C’est plus efficace que le chantage, et ça te permettra de recycler tes mouchoirs et d’approcher du zéro-déchets. - Ouais, je préfère les animaux et les plantes… Les humains ont… des espèces de conventions sociales, des normes et des restrictions morales, ils se choquent de tout et ils s’énervent facilement. Les plantes et les animaux sont… un peu connectés les uns aux autres, ils fonctionnent en réseau, ils ont pas besoin de touts ces codes. Du coup c’est plus libre. Puis j’ai initié mes plantes à Netflix, donc elles sont un peu… Addict… aux séries, et des fois je leur lis des livres. Quand elles m’emmerdent trop, je les menace de les spoiler. Comme elles aiment pas qu’on leur raconte la fin d’une histoire, elles se tiennent tranquilles. Ça m’aide aussi pour empêcher les animaux de se battre entre eux. Bon du coup en ce moment les conversations tournent beaucoup autour de Teen Wolf donc j’avoue que c’est pas particulièrement philosophique ou quoi. Mais c’est toujours mieux que les conversations de couloirs. Plus ou moins. awful [/quote]

Messages : 35 Feuille de personnage Age: 20 ans Pronoms: Club: Art Pouvoir: Soumet les âmes des morts a sa volonté	Kisa'Rah Cancre Jeu 14 Mai - 22:43 Kisa' Rah Mitre Nikulaenkovitch Chambre 3, nom de code : Ragnarök Tu réfléchis à ce qu’il t'a demandé précédemment, car ses interrogations semblent importantes. C’est vrai qu’avec aucune indication sur les « symptôme » en question il ne vas pas pouvoir faire grand-chose. Hmm. Tu n’as strictement aucune idée de si tes yeux sont lumineux ou quoi, tu ne t’es jamais vue dans un miroir dans cet état tu étais un peu trop occupé à… ahem, survivre ? Même tes âmes ne savent pas, tu portes quasiment toujours un masque ce n’est pas comme si tu aller faciliter les choses pour une fois. Quant aux insectes… Ah c’est embêtant ça. Mais tu ne vas pas pouvoir faire autrement. Tu ne peux pas lui demander de foutre ses insectes dehors alors que toi, pour rien au monde tu ne mettrais pas tes âmes à l’abri. En soi tu ne te soucies pas tant de l’équité, mais pour le coup tu sais que le deal ne passera jamais avec un tel déséquilibre. Et puis, entre le fait que des insectes posent leurs sales pattes sur ton précieux trésor, et que ces insectes en question vont devenir fou avec toutes ces lumières… Hmmm. Ça ne va pas être possible. On. Touche. Pas. Il reprend la parole alors que tu t’es perdu dans tes pensées. « — Ouais, je préfère les animaux et les plantes… Les humains ont… des espèces de conventions sociales, des normes et des restrictions morales, ils se choquent de tout et ils s’énervent facilement. Les plantes et les animaux sont… un peu connectés les uns aux autres, ils fonctionnent en réseau, ils ont pas besoin de touts ces codes. Du coup c’est plus libre. Puis j’ai initié mes plantes à Netflix, donc elles sont un peu… Addict… aux séries, et des fois je leur lis des livres. Quand elles m’emmerdent trop, je les menace de les spoiler. Comme elles aiment pas qu’on leur raconte la fin d’une histoire, elles se tiennent tranquilles. Ça m’aide aussi pour empêcher les animaux de se battre entre eux. Bon du coup en ce moment les conversations tournent beaucoup autour de Teen Wolf donc j’avoue que c’est pas particulièrement philosophique ou quoi. Mais c’est toujours mieux que les conversations de couloirs. » Oh ! Le début de son discours remplit tes yeux de petites étoiles. C’est exactement comme ça que tu imaginais la communication animale ! Et l’avis de ton colocataire sur les normes et les restrictions morales te plaît beaucoup. C’est épuisant, tous ces gens qui s’outrent parce que ta façon d’agir ne correspond pas à leurs habitudes culturelles alors que toi tu devrais te conformer à la leur. Et excessivement énergivore. Ça fait longtemps que tu as abandonné. Traquer toute forme de lumière, ou collectionner des objets de chaque nouvelle découverte n’est pas plus bizarre que de prendre sa nourriture en photo ou de perdre une heure par jours en formule de politesse juste pour s'adresser a la hiérarchie. Cependant plus il parle… Moins tu comprends, certaines notions t'échappent sur la fin. « AAAAH. TU VOIS. MÊME LES PLANTES ELLES REGARDENT DES SÉRIES ! » Tu la mets en sourdine et t’en sers comme d’un antistress en la faisant flotter d’une main à l’autre. « C’est vrai qu’elle est chiante avec ça... Quoi ? » Tu lui jettes un regard de travers parce qu’il n’est qu’à peine plus supportable, mais il semble comprendre la menace. Mais pas les autres âmes de ton peuple qui ont l'air d'aussi vouloir connaître ce qu’est Teen Wolf. En revanche les âmes françaises semblent un peu sceptiques à cette idée. Ceci étant dit tu n’as pas grand-chose à faire de leurs avis, tu analyses juste pour savoir s’il s’agit de quelque chose de positif. « Alors. » Il avait dit quoi il y a 5 minutes ? Ah, oui, la possession. « Donc, quand je suis possédé je ne sais pas si j’ai les yeux qui brille ou quoi, par contre, s’il s’agit des âmes dangereuses mon comportement changera, elles essaient de me tuer donc, c’est assez facile à remarquer. » Tu es du genre calme quand rien de particulier ne retient ton attention, alors c’est plutôt frappant lorsque on te voit te jeter par les murs et lutter contre toi-même pour éviter de te faire tuer. C’est légitime de leurs parts de vouloir retrouver leurs libertés, mais c’est vrai que les conserver dans ces conditions est un peu périlleux. « Mais rassure-toi, elles te laisseront probablement tranquille, elles n’ont rien contre les autres personnes. Il arrive que je sois aussi possédé par ces âmes là, mais elles ne sont pas agressives alors ça va. Par contre effectivement je ne parviendrais pas à les retenir dans des bocaux en verre… Et ça ne règlerait pas le problème des insectes qui les apercevraient quand même. Hmm. Il faudrait peut-être bricoler un… cache opaque ? Au moins pour la nuit. Parce qu’autant de jours je peux leur demander de se tenir hors de portée, autant de nuit elles font leurs vies alors si elles pouvaient se planquer hors de vue ça serait cool.… Même pour tes insectes c’est un peu moyen, je veux dire, s’ils passent leurs vies à courir après des lueurs. » … Bon, c’est carrément ce que tu fais de la tienne, mais la différence avec les insectes c’est que ce n’est pas LEURS lumières. Bref. Va falloir bricoler. Parce que sinon ça va t’empêcher de dormir. Tu sais qu’il y aura des abrutis qui vont préférer jouer avec les papillons que de se ranger sagement, mais avec un peu de chance ils comprendront au bout de deux insomnies que c’est non. En plus ça t'embête de t’assoupir dans le noir, mais il vaut mieux ça que de prendre le risque de les voir abîmer par un grillon un peu trop téméraire. ... Par contre tu ne fous pas un peu rien depuis tout à l'heure ? Oh mince t'as oublié de ranger tes autres valises ! Tu entasses vite fait tes vêtements dans l’armoire et bon sang, quelle quantité de tissus avec toutes tes tenues ! Tu jettes ta trousse de toilettes de côté, la salle de bain, tu verras plus tard. « En tout cas mis à part ce problème avec les insectes, je comprends que ce soit plus sympa de leur parler à eux. C’est vrai que les conventions imposées par la société sont probablement aussi complexes qu’inutiles. Enfin je trouve… J’ai du mal à saisir les normes qui semble être naturellement exigé ici. Ça doit être super fatigant pour eux, ce genre de chose, s’ils entendent les autres humains discuter, non ? D’ailleurs ils ne te comprennent que toi ? » C’est vrai ça… Est-ce que les plantes et les animaux écoutent tout le monde depuis toujours, et seuls certains peuvent capter ce qu'ils disent, ou est-ce que se faire comprendre dépend aussi de la magie ? « Oh d’ailleurs… Tant qu’on est dans les questions. Je voulais juste être sûr d'avoir saisi ce que tu as dit. La kryptonite est un insecticide ? Et Netflix… C’est comme Teen wolf c’est bien ça ? C’est des séries ? » Tu es persuadé d’avoir entendue le mot Netflix dans les discutions des autres, mais franchement, le sujet te semblait trop insignifiant pour plancher dessus. Ou alors c’est Jehl qui en a parler, mais elle t’avait saoulé donc tu n’as pas retenu… Bref. Il paraît nécessaire de se tenir un peu au courant pour que la conversation soit possible avec ton colocataire. J'écrit en#9999ff

Messages : 133 Feuille de personnage Age: 21 Pronoms: Il/Iel/whatevs Club: Jardinage Pouvoir: Parler aux animaux et aux plantes	Mitre Nikulaenkovitch Premier de la classe Mer 22 Juil - 21:02 Chambre 3, nom de code : Ragnarök Kis'Rah & Mitre Nikulaenkovitch Tu te passes une main dans les cheveux. C’est pas très malin, tu les as lavés et à force de jouer avec tu seras complètement échevelé, sans compter le fait qu’ils seront super gras pour le reste de la semaine. Ton nouveau colocataire parle beaucoup. Tu te demandes si ce sera un problème. Tu n’as pas l’impression d’être très bavard—mais c’est juste parce que tu as une trop haute opinion de toi-même. Tu es en réalité une énorme pipelette, doublée d’une commère immense. Vous devriez bien vous entendre. Ou pas. Vous ne vous parlerez peut-être juste pas, c’est globalement ce que tu fais avec les autres étudiants, il n’y a pas de raison qu’il dévie de la règle. A moins qu’il soit particulièrement fun et qu’il te donne envie de lui parler. A moins qu’il ne parvienne à te supporter. Ton opinion ne sera définitive qu’une fois que Biskit l’aura rencontré et jaugé. S’il le juge OK, tu pourras envisager d’essayer de commencer une amitié. Envisager. Fonctionner avec d’autres êtres humains, ça demande beaucoup trop de concentration ; cela dit, comme il a l’air aussi paumé que toi, il y a des chances pour que ça marche. Puis tu aimes bien ses lumières, elles sont sympa et elles donnent un peu de peps à la chambre. Même si ça va rendre complètement abrutis les insectes. Déjà qu’ils ont pas une capacité de concentration ouffissime… - Après je pense que si l’école pensait que tes âmes étaient un risque pour les autres élèves, ils t’auraient pas laissé t’installer. Enfin, j’espère. Je sais pas trop comment fonctionne cet asile, pour être honnête et je suis pas entièrement sûr que ce soit l’endroit le plus sécurisé de la région… mais quand même, ils laisseraient pas trainer quelqu’un avec un pouvoir trop dangereux en plein milieu des couloirs… et ils lui donneraient encore moins un coloc. Je présume. Enfin, je sais pas, il y a quand même des gens bien timbrés qui trainent ici. Un psychopathe qui s’amuse à coller des hallucinations à tout le monde par exemple… je l’ai pas encore démasqué, mais quand je l’aurai trouvé, je vais lui faire regretter de m’avoir pris pour cible. C’est vrai que ce serait pas ouf si les insectes passaient littéralement leur courte existence à poursuivre des lumières inatteignables. D’un autre côté, c’est ce qu’ils font quoi qu’il arrive. Ils se collent à l’écran quand tu travailles sur ton pc—pas un boulot scolaire, tu es au-dessus de ça. Non, quand tu surveilles tes fichiers excel et que tu prépares le terrain pour ton entreprise souterraine de vente de drogues et champignons hallucinatoires au sein de l’école. Du coup, tu n’es pas bien sûr qu’ils seraient si ennuyés que ça par la perspective de petites lumières ambulantes à poursuivre… parce que comme tu l’as dit : ils sont globalement pas trop cons mais il y a des limites à tout. Ils se déplacent dans la chambre en fonction de l’éclairage, et leur cycle est basé sur le rythme de la planète, du lever au coucher du soleil. La pollution lumineuse détruit leur compréhension du temps et ils ont tendance à claquer beaucoup plus vite parce qu’ils ne dorment pas. Cette bande de débiles. Tu pourrais aussi mettre en place un système de couvre feu, du type « à partir de minuit tout le monde sous le lit », et reboucher les trous pour ne pas qu’ils aperçoivent les âmes, mais encore une fois, ils ne sont que globalement pas trop cons. Ça reste des insectes, avec des cerveaux taille insectes. Toujours mieux que les humains, mais quand même pas dotés des mêmes facultés cognitives. - J’peux toujours essayer de tous les caser sous mon lit, mais j’avoue qu’entre ceux qui se bouffent les uns les autres et ceux qui se supportent juste pas, je sais pas trop si ça sera suffisant. Déjà que quand je suis réveillé le seul contrôle que j’ai sur eux c’est le chantage, alors quand je dors c’est mort ils font complètement leur vie. Certains dorment, heureusement, mais si il y a de la lumière ils fermeront pas l’œil et ils vivront pas deux jours. ‘fin c’est tout un foin de s’occuper d’une colonie et j’avoue que j’ai absolument rien de prévu dans le cas où quelqu’un arriverait avec des lampions ambulants… Tu penses que tes âmes et mes insectes pourraient se comprendre ? Tu regardes autour de toi, le groupe de bestioles qui fait sa vie. Sur ton bureau, un escargot essaie d’expliquer aux cancrelats, récemment arrivés, le plot de la saison 3 de Buffy Contre les Vampires. Sous le lit, Mireille et Jean-Claude complotent pour programmer la chute de Simon, qui est désigné comme le porte-parole de la ménagerie cette semaine. Il va falloir que tu leur en touches deux mots. Ils n’ont pas l’air fatigués par les humains… Au contraire, à ton contact et devant les séries, ils semblent adopter certains comportements complètement anthropomorphes. Comme quand ils ont décidé de désigner des représentants hebdomadaires, même si la seule chose qu’ils font c’est choisir les films de la semaine et les séries à commencer. Leur durée de vie s’est également allongée, mais tu penses que c’est lié au vampirisme de ton énergie vitale. Puisqu’ils se nourrissent directement de ta magie, ils sont plus résistants. Et ils ne tombent jamais malades, ce qui est un plus. Tu ne connais pas exactement le rayonnement exact de ton pouvoir, mais globalement il a un effet socialisant et humanisant sur les insectes. Les petits animaux sont plus farouches mais finissent aussi par s’habituer à ton contact et à fonctionner en société. Les gros animaux sont plus complexes et tu n’as, de toute façon pas de place pour les accueillir hors situation d’urgence. Les pires restent donc définitivement les humains. - Ils comprennent absolument tout, mais je crois que c’est en partie dû à ma magie. Ils s’éclatent pas mal à observer les humains fonctionner, c’est ma source principale de ragots. Si tu veux des informations sur quelqu’un, tu peux totalement te tourner vers moi, parce que je sais approximativement tout et n’importe quoi sur les gens que je leur demande d’espionner pour moi. Faut juste que je leur demande pas trop souvent parce que ça les gave… AH, et la kryptonite c’est genre… la plus grande faiblesse de Superman. Qui est… un super-héros. Du coup c’est un mot qui veut dire… ta plus grande faiblesse. Et Teen Wolf, c’est bien une série, Netflix c’est un endroit où on peut en regarder. Il a vraiment l’air de débarquer ce garçon. Ne pas connaitre Netflix, Teen Wolf et la kryptonite ? c’est quand même assez invraisemblable à l’âge d’aujourd’hui… ou alors tu passes tout simplement trop de temps tout seul à lire et à regarder tout ce qui te passe sous la main au lieu d’actuellement communiquer avec tes voisins les hommes. - Mais du coup tu sors d'où pour pas connaitre tout ça ? awful HRP:

Messages : 35 Feuille de personnage Age: 20 ans Pronoms: Club: Art Pouvoir: Soumet les âmes des morts a sa volonté	Kisa'Rah Cancre Ven 4 Sep - 14:44 Kisa' Rah Mitre Nikulaenkovitch Chambre 3, nom de code : Ragnarök Ton colocataire reprend sur la présumée absence de risque pour les autres élèves, de tes âmes. Effectivement en principe, ce n’était pas un danger, c’était à toi qu’elles s’en prenaient. Pas aux autres. Et puis ça fait plusieurs années qu’on te formate à t’intégrer à la communauté de Leoska non ? Donc tous ces paramètres ont été pris en compte. De plus ton pouvoir n’est pas particulièrement dangereux pour les autres, tes âmes ne pouvant interagir avec l’extérieur qu’à de très rares occasions. Il parle ensuite de personnes timbrées, notamment quelqu’un qui s’amuse à coller des hallucinations. Oh… Tu en connais plusieurs des mages noirs avec ces aptitudes. Une fille aux yeux gris dont tu ne connais pas le nom, une autre en quatrièmes années… un gars avec les cheveux longs que tu apercevais parfois en cours de magie noire. Ah et Dahyun. Remarque, ça lui ressemblerait. Hmm, tais son nom pour l’instant. Au pire tu lui demanderas la prochaine fois que tu la croiseras. « J’peux toujours essayer de tous les caser sous mon lit, mais j’avoue qu’entre ceux qui se bouffent les uns les autres et ceux qui se supportent juste pas, je sais pas trop si ça sera suffisant. Déjà que quand je suis réveillé le seul contrôle que j’ai sur eux c’est le chantage, alors quand je dors c’est mort ils font complètement leur vie. Certains dorment, heureusement, mais si il y a de la lumière ils fermeront pas l’œil et ils vivront pas deux jours. ‘fin c’est tout un foin de s’occuper d’une colonie et j’avoue que j’ai absolument rien de prévu dans le cas où quelqu’un arriverait avec des lampions ambulants… Tu penses que tes âmes et mes insectes pourraient se comprendre ? » S’occuper de colonie d’insectes à l’air terriblement compliqué à l’attendre. D’autant qu’il ne peut visiblement pas leur imposer sa volonté comme tu le fais avec ton troupeau à toi lorsqu’elles sont trop agitées. Sa méthode est moralement acceptable contrairement à la tienne, mais à tes yeux ça a l’air juste épuisant. Négocier ? Ça serait un coup à ne plus avoir un seul instant de paix. Cependant sa question sur les âmes et les insectes est intéressante et elle éveille les conversations chez elles ; la communication n’est pas possible. Et c’est bien dommages, l’idée était attrayante pour elles et pour toi aussi (si les esprits avaient été trop occupés à parler à des insectes, ils seraient sans doute moins agaçants avec toi). « Ils comprennent absolument tout, mais je crois que c’est en partie dû à ma magie. Ils s’éclatent pas mal à observer les humains fonctionner, c’est ma source principale de ragots. Si tu veux des informations sur quelqu’un, tu peux totalement te tourner vers moi, parce que je sais approximativement tout et n’importe quoi sur les gens que je leur demande d’espionner pour moi. Faut juste que je leur demande pas trop souvent parce que ça les gave… AH, et la kryptonite c’est genre… la plus grande faiblesse de Superman. Qui est… un super-héros. Du coup c’est un mot qui veut dire… ta plus grande faiblesse. Et Teen Wolf, c’est bien une série, Netflix c’est un endroit où on peut en regarder. » Ça te fait beaucoup d’information d’un coup. D’un sa magie en plus de permettre la communication avec les animaux semble leur octroyer la capacité de comprendre les humains. Donc quoi que tu dises ses animaux saisirons ce que tu leur racontes. Ça pourrait être stressant pour certains de se sentir épier. Toi tu t’en fous royalement, tu n’as rien à te reprocher dans les faits et ton rythme de vie de lampe de chevet rend les informations qui viennent de toi très peu fournies. Deuxième chose il te propose d’espionner qui tu veux. Ça aussi en principe on ne le suggère pas en même temps que les présentations, voire on ne l’indique pas tout court, mais toi évidemment, tu trouves ça sympa. Pas utile pour toi ; tu n’as personne à espionner. Mais ça reste gentil de proposer. Tien Dahyun pourrait peut-être être intéressé ? Faudra lui dire, en échange elle pourra peut-être te donner davantage de porte-clefs. Troisièmes choses ; tu y étais presque. L’idée de plus grande faiblesse était presque là. Après, superman ça te dit quelque chose, mais tu n’as pas regardé. Pour Netflix aussi il clarifie les choses, effectivement ça avait un rapport avec les séries, pas celui que tu pensais. En même temps le mot n’est pas très évocateur. « Mais du coup tu sors d'où pour pas connaitre tout ça ? » Bon. Tu es un peu embêté puisque c’est une interrogation qui te demande de la concentration, de la synthèse et d’éluder quelques détails pour bricoler avec. Dès l’instant où il a posé la question, tu as endormi tes âmes dont le mouvement se calme. Tu trafique constamment leurs esprits consciemment pour que leurs souvenirs et quelques autres paramètres ne te posent pas de problème. Si tu parles du passé, tu ne veux pas prendre le risque des mauvaises réactions. Ce que tu ne sais pas en revanche, c'est que même inconsciemment tu les modifie, les sculptes inlassablement si bien qu'il ne reste probablement rien des personnes qu'était ces âmes à l'origine. « Je suis née dans une communauté indépendante de mage qui n’existe plus aujourd’hui, dans le pacifique, sur une île volontairement coupée du reste du monde, en autarcie. J’ai passé la plupart de mon temps à élever des chèvres, à cultiver des plantes, à fabriquer et teindre des tissus, bref ça me change. Vu que j’ai un peu vécu coupée de tout, j’ai eu tout un programme de réinsertions pendant plusieurs années, mais il y a tellement d’information que je n’arrive pas à tout retenir, mais ce n’est pas plus mal quand on parle de chose inintéressante - comme l’économie du pays par exemple, je ne saisis pas-. Mais ça m’est égal de pas trop comprendre tant que ça ne me pose pas de problème. La technologie c’est un peu compliqué de m’y faire ; je n’ai pas grandi avec. » Tu hausses les épaules d’un air assez égal. À vrai dire, jusqu’à aujourd’hui tu n’as pas trouvé grand intérêt à utiliser des téléphones ou des ordinateurs. Mais tu as quand même visionné quelques films et quelques vieilles séries qui passaient à la télé. Tu ne faisais pas trop attention au programme honnêtement. « Les séries que j’ai aperçues à la télé ne m’intéresser pas trop et je n’ai jamais essayé Netflix. Faudrait peut-être ? Tu me laisserais essayer d’en regarder la prochaine fois que tu en montres à tes plantes ? » En vérité pour l’instant tu t’en fiches royalement, tout cela n’a que très peu d’intérêt. Mais tester permettra peut-être d’en trouver un. Et puis ça te facilitera le fait de retenir ces quelques notions pour ne pas être complètement à côté de la plaque là-dessus. Ainsi tu répondras plus rapidement aux gens, et les conversations seraient plus courtes. De plus, ta responsable de réinsertion pourrait voir ça comme des efforts d’intégration de ta part et te laisser plus de liberté, ce qui pourrait t’être utile. Présenter comme c’est même plutôt tentant. Bon tu as finit de ranger tes affaires et fait ton lit. Il reste plus que ce qui concerne la salle d’eau donc tu t’assieds sur le matelas, ta trousse de toilette sur les genoux. « Au fait, partons sur ce que tu dit, pour les insectes. Et si ça marche pas... J'essaierais de trouver des compromis avec les esprits. Et pour te répondre mes âmes ne comprennent pas tes animaux, elles me l’ont dit tout à l’heure, j’ai oublié de te transmettre le message. C’est dommage. Mais je ne sais pas si l’inverse est possible, puisque les humains ne les comprennent pas c’est sans doute compliqué… Peut-être qu’ils peuvent capter des changements d’humeur ou ce genre de chose ? Bref, ça me paraît compliquer. Mais oui ne t’en fait pas, en soit mon pouvoir est plutôt inoffensif vu qu’il ne concerne pas trop les vivants, c’est moins dangereux que les mages dont tu parles par exemple. Enfin, tant que tu le démasques un jour il n’y a pas plus de risque que ça non plus, j’imagine. » Tu songes à une dernière notion qu’on t’a apprise ; renvoyer les questions. Pour faire la conversation. Concrètement il s’agit juste de s’intéresser aux autres, mais l’idée t’est moins familière. Et comme les élèves viennent visiblement des quatre coins du monde vus, le nombre de personnes que tu as croisés en cours de français, la question te semble à peu près justifier pour que ça ait l’air naturel qu’elle soit posée. Dans les faits, c'est quelque chose qu'il vaut mieux éviter de demander à Leoska. « Et toi, tu es d’ici ? » HRP: J'écrit en#9999ff

Messages : 133 Feuille de personnage Age: 21 Pronoms: Il/Iel/whatevs Club: Jardinage Pouvoir: Parler aux animaux et aux plantes	Mitre Nikulaenkovitch Premier de la classe Sam 10 Oct - 21:26 Chambre 3, nom de code : Ragnarök Kis'Rah & Mitre Nikulaenkovitch Wow. OK. Visiblement, il a un passé relativement sympa. Une île en autarcie, le rêve. Bon, s’il est ici et que l’île n’existe plus, ça doit signifier que l’affaire s’est mal finie. Dommage. Est-ce que tu es censé lui offrir tes condoléances rapport à sa vie passée ? D’un autre côté, il ne s’est pas vraiment mis à pleurer, ou à avoir l’air en détresse de devoir raconter ça. Tu ne sais pas. Dans le doute, tu la boucles et tu hoches la tête pour montrer que tu l’écoutes et que tu comprends ce qu’il dit. Une communauté de mages… Sympa. Probablement. Ici aussi, c’est une communauté de mages mais… pas en autarcie de la même façon qu’une île peut l’être. D’un autre côté, et c’est plutôt sympa, il a l’air aussi peu intéressé par toutes les conneries qui ont l’air de motiver les autres élèves. Genre l’économie. Big osef de l’économie. Peut-être que vous aurez de vraies conversations passionnantes. Peut-être aussi que vous resterez juste silencieux l’un autour de l’autre. Dans les deux cas, la colocation n’a pas l’air trop mal partie : ces deux possibilités sont aussi attrayantes l’une que l’autre. Son absence d’éducation face à la technologie par contre… c’est triste. Ça te sauve tellement la vie, internet. Ça pourrait le soulager aussi. - Honnêtement, si tes âmes te saoulent à bavarder tout le temps, la technologie c’est la vie. Quand mes plantes me saoulent, je les colle devant un écran et ça les occupe. Peut-être que ça pourrait fonctionner pareil avec tes âmes. Tu lances une vidéo sur un sujet qui les intéresse et boom, ils se taisent et ils sont obligés de se concentrer sur la vidéo et de te foutre la paix. Tu devrais essayer ! Enfin, s’il réussi à maitriser l’outil, déjà. Et c’est pas avec ta patience que tu seras capable de lui montrer. Il va devoir se démerder pour apprendre tout seul comme un grand. Enfin, il sait surement lire, il a qu’à emprunter des livres qui lui expliqueraient le bordel. - Ouais s’tu veux. Généralement je laisse l’ordi dans la pièce quand je le lance, pour que tout le monde puisse voir, je pense pas que ça va perturber mon fonctionnement que tu regardes aussi. Je présume que tu parles pas d’autres langues ? je regarde souvent des trucs en langue étrangère… ‘fin ya toujours les sous-titres. Ou le doublage. Tu fronces le nez. Il ne comprend probablement pas ce que tu veux dire. Tu reformules : - Des textes pour traduire, qui sont en bas de l’écran, ou juste le même film, mais avec les voix en français. Ouais… c’est pas tout à fait ça, question explication… tu n’es pas le meilleur pédagogue. Et c’est pas ton taff : t’es son coloc, pas son prof. Il continue de ranger ses affaires, tout en poursuivant ses explications à propos de son pouvoirs et des capacités de ses âmes. Tu cherches de quoi t’occuper les mains et attrapes Biskit. Il n’est pas très d’accord pour être porté. Tu ne lui laisses pas le choix. Tu cales un bras sous son dos, l’autre pour l’empêcher de tomber et lui caresser la tête. Il râle pour la forme mais ne se débat pas, et n’essaie pas de bouger. Malheureusement, la communication entre les deux ne sera pas possible. Dommage, ça vous aurait probablement soulagés tous les deux. Tu ne sais pas s’il chope des maux de têtes carabinés ou des saignements de nez intempestifs quand il est entouré de ses âmes, mais tu sais qu’à trop fréquenter les animaux, ton corps te fait ressentir de la fatigue par les premiers moyens qu’il trouve. Même si ton esprit est apaisé par leur présence. Une fantastique dissonance entre les deux facettes d’une même pièce, qui est particulièrement ennuyeuse. Enfin, tu accordes plus d’attention à l’état mental dans lequel tu te situes qu’à tes dispositions physiques ; tant que tu es bien sapé et bien apprêté, tu peux mourir à l’intérieur à cause d’une grippe ou d’une migraine, tu t’en cognes royalement. Dans la mesure du possible, de préférence dans ton lit. But still. - Meh, plus ou moins. J’ai déjà passé quelques années ici, mais je viens de… dehors, je présume. Mes parents m’ont envoyé ici dès qu’ils ont compris que j’étais un mage, et je retourne assez peu les voir. J’ai pris mes marques ici. Dans le bâtiment, je veux dire, pas avec les autres élèves. Mais avec la forêt des environs, et avec les plantes de l’école, si. Elles sont plutôt sympa. Elles connaissent pleins de ragots. Elles sont moins bruyantes que les étudiants. Elles en ont rien à foutre des règles de bienséance, si elles aiment pas ta tête elles te le diront clairement. Et elles savent jouer aux échecs. Tu sais jouer aux échecs ? ça pourrait être cool d’avoir un partenaire qui ne bouge pas à la vitesse de la photosynthèse, ou qui ait pas besoin de taper dans mon énergie pour déplacer ses pions. awful

Messages : 35 Feuille de personnage Age: 20 ans Pronoms: Club: Art Pouvoir: Soumet les âmes des morts a sa volonté	Kisa'Rah Cancre Mar 8 Déc - 19:34 Kisa' Rah Mitre Nikulaenkovitch Chambre 3, nom de code : Ragnarök Oh, donc ça fait quelque temps qu’il est à Leoska et il n’a plus forcément envie de rentrer. Tu le comprends sur certains points, la vie ici est facile, il y a des repas de proposer, un logement, et le reste du temps tu peux te perdre en contemplation. Tu imagines que lui aussi ce gain de temps libre doit lui permettre de se concentrer sur des choses plus importantes. Ah… oui sur le papier il y a des cours, mais en soi ce n’est pas tant un problème qui sonne comme une obligation. Et aux vues de sa façon de parler de l’école, tu soupçonnes sa vision des choses d’être assez similaire. Sur d'autre point c'est moins compréhensible. Sur le bruit ambiant par exemple, cette école est un enfer. Les plantes de l'établissement, en revanche, sont apparemment plutôt sympas, ce que tu ignorais totalement. À vrai dire tu ignorais aussi il y a quelques heures le potentiel amical des ratons laveurs, même si malgré sa bonne tête, celui-ci à l’air passablement blasé d’avoir été porter. Pour ce qui est des végétaux, tu ne peux pas leur parler, mais tu feras attention à éviter de t’allonger dessus à l’avenir. Et puis à ce faire courir dessus toute la journée, tu comprends tout à fait leur optique de faire comprendre leurs désaccords aux gens qu’elles ne peuvent pas voir. Du moins c’est comme ça que tu imagines les choses. Quand aux échecs… C’est pas le fait de rater un truc ? … Non ça te dit autre chose, ce n’est pas cette espèce de plateforme quadrillée avec des sculptures dessus ? Tu t’en souviens parce qu’on t’a engueulé d’avoir voulu prendre quelques pièces un jour, sous prétexte qu’on ne dépareille pas un jeu. Pourtant que n’avais voulue emprunter que 5 pièces, il y en avait d’autres, ça aurait probablement été toujours jouable. En revanche tu es quasiment sûr que ce n’est pas une réponse à apporter. Si ? Comment formuler une réponse ? Trouver les formulations te prend… beaucoup, beaucoup temps. « Dis-moi… Loin de moi l’idée d’être jugeant, mais… Si la personne dans cette pièce est effectivement ton colocataire, il faudrait genre, je ne sais pas… ne pas l’ignorer peut-être ? » Tes esprits se répètent, mais tu ne te rends pas compte que la fatigue te fait briser la cohérence des dialogues de fond que tu mets en place, comme un rouage défectueux dans les mécaniques de l’horloge dont tu as toi-même réalisé l’assemblage sans entendre les dissonances de ta création bancale. Tu as tellement piétiné la mémoire de tes âmes qu’elles n’ont même plus de conscience, leurs dialogues, leurs voix, se base sur ce que tu as assimilé des moins hostiles d’entre elles. Des autres, subsiste au moins la colère. Mais, à vrai dire tu ne sais même pas que tu parles seul depuis des années, c’est pourtant évident, jamais des esprits ne se montrerais aussi dociles envers un geôlier si tu n’avais pas inféodé à chaque fibre de leurs existences à ta propre volonté. Mais comment pourrais-tu te rendre compte des dysfonctionnements de quelque chose que tu ne saisis même pas ? Alors inconscient de tous les mécanismes malsains qui tourne autour de toi et de ta magie, tu relèves à nouveau la remarque de Ra’em, ou du moins de ce que tu penses être Ra’em, comme pertinente face à l’attente, sans même une impression de déjà vue. « Je ne sais pas jouer aux échecs, je trouve les plateaux de jeux jolis, mais je sais juste d’expérience qu’il faut toutes les pièces pour jouer, on m’a interdit d’en récupérer séparément. Mais je peux apprendre, j’imagine ? Je n’ai pas été attentif la dernière fois à cause du cadre scolaire, mais je peux toujours essayer. » Évidemment que non. Tu dis ça parce qu’on t’a dit de « sympathiser » avec tes colocataires et que ça semble être dans l’ambiance. Il pourra te répéter huit fois de suite que le cavalier se déplace en L que tu ne l’auras toujours pas écouté, ce n’est pas parce qu’il a l’air plus sympa que les professeurs que tu vas arrêter de complètement te foutre de ce qu’on peut te dire. Les plantes, même à leurs vitesses limitées, fond sans doute de meilleurs adversaires que toi qui te fiche de l’aspect utile des choses, et ne sais en apprécier que le sens esthétique. « Enfin je pense ? Sinon je pourrais bouger les pièces à la place de tes plantes si elles galèrent trop, tant que ça ne me demande pas trop d’effort. Par ailleurs, merci beaucoup pour Netflix, c’est vraiment sympa de ta part. » Tu hésites un instant à lui proposer un service retour en raison du principe d’équivalence qu’on essaie de t’inculquer, mais ça ne te parait pas pertinent. L’enjeu ne vaut pas la peine de l’effort, les seules choses pour lesquelles tu acceptes de rendre service sont celles qui brillent. Ceci étant dit tu es plutôt confiant pour cette colocation, Mitre est étrangement plus tolérable à tes yeux que les autres humains, sans doute parce qu’il a l’air lui aussi bien à côté des problématiques autour desquelles semble s’agglutiner les autres. À vrai dire c’est son côté « je m’en foutiste » qui te plaît, s’il te laisse tranquille dans ton coin c’est parfait, c’est tout ce dont tu as besoin ; qu’on te foute la paix. Tu as d'ailleurs beaucoup trop parler pour aujourd'hui, et l'exercice t'as éreinter avec le déménagement. « Maintenant qu’on a fait les présentations, on est plus obligé de parler, c’est bien ça ? » Si cette phrase pouvait paraitre sèche dans la bouche de quelqu’un d’autre, elle est seulement un peu rêveuse dans la tienne. Tu ne sais pas trop combien de temps tu es obligé de communiquer pour avoir l’air vivable ni ce que tu es censé dire pour pouvoir vivre te poser comme un candélabre dans un coin maintenant que tes affaires sont installées. Tu préfères encore lui demander quitte à suivre les consignes 5-10 minutes pour passer pour un bon coloc et vivre ton année placidement dans ton coin sans qu'on ne vienne te poser de question. Et ainsi, vous reprenez vos vie de plantes vertes et de lampe, a végéter dans vos espaces respectifs. J'écrit en#9999ff

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