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Un collier de fleur [PV Brynjolf] - FINI
Philophæ M. Andreatus
Messages : 102

Feuille de personnage
Age: 45
Pronoms:
Club: Aucun, Prof de transformation et patrouilleur
Pouvoir: Magie rouge: Transformaton en chien et altération des os. Contrecoups: dent toujours transformées et cicatrice à l'oeil. Collonne vertébrale se soudant petit à petit.
Philophæ M. Andreatus
Premier de la classe



Mer 16 Déc - 17:57
Père Noël secret
Brynjolf Néel
Philophae Méales Andréatus n'était pas très doué pour ce qui était de comprendre les gens. Particulièrement ceux qu'il ne connaissait pas.
Aussi quand son supérieur lui avait annoncé qu'il était sur la liste de la directrice pour le père noël secret il avait eu envie de s'enterrer dans un coin et d'y disparaître.

Attendre le nom de sa cible avait été... Long. Il avait supplié toutes les forces possibles et imaginables pour que ce ne soit pas Saphirre. Ni Mordred. Il avait croisé les doigts pour que ce soit son frère, ou Lucian. Pas madame Dulac... Il la connaissait mais dans un contexte médical et sortir leur relation de ce contexte serait... Non. Ca n'irait pas. Il n'aurait pas su comment se comporter, quel « protocole » adopter.

Il y avait beaucoup réfléchit et quand le verdict était tombé il avait été somme toute démuni. Il avait regardé le papier intensément, réfléchissant à l'identité rattachable au nom, une seule question en tête : qui es-tu ? Il ne le... Lae... La... Bref, avec un nom pareil impossible de savoir le genre, et même si ça se trouve le genre de la personne ne correspondait pas au nom... Et puis faire un cadeau n'avait pas à prendre en compte le genre, mais si il mégenrait cette personne par accident au moment de lui remettre son cadeau ? Et si le cadeau ne lui allait pas ? Et si...

Bon. Déjà trouver l'identité.
Il avait été fouiller les trombinoscopes des élèves dans l'espoir que l'individu recherché en soit um. Arpentant du doigt les photos alignées les unes à côtés des autres, il lisait tout les noms qui défilait jusqu'à tomber sur le bon.

Sa tronche lui disait quelque chose. Il l'avait déjà croisé. Mais où ? Il prit en photo la tronche du gamin sur le trombi et repartit avec, le cerveau surchauffant pour trouver un souvenir lié. Au fur et à mesure des jours quelques bribes remontaient. Ce souvenir avait une odeur de pluie, l'odeur d'un des cabanons de patrouille et le goût... Le goût du bois.
Il avait joué avec lui ! Sous forme canine ! Sous forme canine... Non. C'était probablement une mauvaise idée.
Et au pire quoi ? En ce moment il faisait rien de ses journées. Si le gamin ne le voulait pas, au pire il le récupérerait. Puis il n'était même pas certain de pouvoir trouver donc bon... Il ne perdait rien à essayer !

Au final il avait mis trois jour à se décider d'aller à la Ferme. La sélection avait été au final assez simple... Par chance il y en avait de petits d'à peine quatre mois. Tous adorable... Il avait passé du temps avec eux pour sélectionner celui qui serait le mieux adapté à quelqu'un qu'il ne connaissait pas et à lui même au cas où on lui retournerait. Il avait acheté aux élèves artisans un colliers en cuir gravés de motifs floraux et plusieurs jouets en bois et corde et avait fait un paquet soigneux pour emballer le tout.
Dans le tas, il y en avait un aux bois fins et aux lumières orangées. Un câlin, attentif, curieux et extrêmement doux. Une adorable créature répondant au nom de Merlin.

-Je pense que c'est lui que je dois prendre.


-Okep chef, avait répondu Affoue alors qu'Avalon lui léchait la main. C'est pour le Secret Santa ?

-Brynjolf Néel.


Elle sourit.

-Je suis quasi sûre qu'il va le garder.


-Tant mieux. Vous avez un nœuds en tissus à accrocher dans le collier ?


-Ca peut se faire chef. Bougez pas, je vais vous trouver ça...


Elle s'éloigna, laissant le prof seul, assis devant Merlin. Il prit doucement la tête du chiot-rêve entre ses mains, passant son nez dans ses poils.

-Je viendrais te voir pour être sûr qu'il te traite bien. Et s'il te traite bien, j'adopterais un de tes adelphes et on ira faire des ballades ensemble dans le bois. Et puis on pourra inviter Lucian et son doggo à lui ! Et peut être même que je pourrait prendre un chien des enfers aussi et que vous serez tous copain. Et si vous êtes pas tous copain, je me transformerais et je vous mettrais tous d'accord ! Et on pourra même jouer ensemble, comme ça j'aurais plus à jouer qu'avec des humains... Ca va être trop chouette. Et ton humain va être trop content. Tu vas être un super cadeau et si t'es pas un super cadeau pour lui je te récupérerais et tu sera un super cadeau pour moi. Mais il aimait bien ma forme de chien et il me trouvait mignon alors que je fais super peur du coup toi il va juste fondr.... AIE AIE ! Aie ! Stop stop stop, c'est mes doigts. Stop j'ai dit !


Le chiot arrêta de lui mordiller la main et le regarda avec ses grands yeux noirs. Philophae soupira en souriant. Bon sang qu'il aimait les chiens.

-Bon j'ai pas trouvé de ruban, mais j'ai des fleurs fraîches d'hivers. Ca vous va ?


Il hocha la tête.

-Vaudrait mieux par contre que Bryn vienne le chercher pour éviter le stress de passer par trop de mains différentes.


Il opina du chef, trépignant sur place. Il avait hâte de savoir comment la remise de cadeau allait se passer et en même temps, s'il restait cinq minutes de plus il repartait avec un chien.

-Vous voulez que j'aille le chercher ?

-Oh heu... Je... Dans l'idée je voulais pas rester au moment où il verrait le cadeau, c'est pas... Simple en ce moment de... Ouais.


-Dés que vous partirez, j'irais le chercher.

Il lui sourit, grattouillant une dernière fois la tête de Merlin puis d'Avalon avant de se lever et de tendre un petit mot pour Brynjolf a la jeune femme. Elle avait l'intention d'aller le chercher, de lui bander les yeux et de lui foutre le chiot dans les bras dés qu'il serait arrivé. De le laisser admettre que désormais il avait un chien.
Et seulement à ce moment là lui tendre le mot.

Cher Brynjolf.

Je vous connais peu mais on s'est croisé une fois. Je pense que j'ai fait le bon choix de cadeau mais si le courant passe mieux avec un autre chiot, je vous l'offre. Si vous ne voulez pas de chiot, je récupérerais Merlin, ne vous en faites pas.
Mais je pense que j'ai fait le bon choix. Je pense que ça se passera bien.
J'espère vous avoir fait plaisir.

Amicalement.

Philophae Méales Andréatus

Sur le chemin du retours, Philophae souriait.

Merlin quand il sera adulte:

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Un collier de fleur [PV Brynjolf] - FINI Philop20
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Brynjolf Néel
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Feuille de personnage
Age: 18 ans
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Club: Thêatre
Pouvoir: Affinité avec l'eau
Brynjolf Néel
Premier de la classe



Mar 22 Déc - 23:06
Feat Philophae AndréatusJ'arrive pas à y croire... Je- Haaaa
Un collier de fleur


Une suite de sept petits coups mélodieusement rythmés sur la porte nous interrompt William et moi dans notre atelier cuisine et signalant une présence. Probablement amicale pour se servir de la porte comme d’une percussion. Après avoir crié le classique « OUIII ? » à travers la maison en théorisant sur la présence de Oris ou Saoirse, je vais ouvrir, et me trouve surpris face à Affoue seule, le sourire toujours aux lèvres. C’est inattendu ! Oh non me dite pas que j’ai oublié un truc prévu avec les Carraigs ?

« Bonjour Affoue ! je ne m’attendais pas à te voir aujourd’hui ! On est en pleine cuisine, mais tu veux rentrer te poser un peu ?

— Arrête tout. Mets ça sur tes yeux. » Elle me tend le bandeau « Suis-moi. »


S-salut à toi aussi, oui je vais bien et toi ? C’est gentil de demander, je suis vraiment touché par ta délicatesse pour ne pas me bousculer. C’est gentil de prendre le temps de t’arrêter et de ne pas effectuer l’équivalent d’un kidnapping positif et avec consentement. Et de pas rentrer dans le but de lancer William sur son mode clash, oui, vraiment, c’est gentil.

« JE TE LE VOLE WILLIAM ET SI T’ES PAS CONTENT, TOI, MOI, LA FERME A 18 h, OCTOGONE SANS RÈGLES.
— Fonce il m’a foiré la ganache, j’aurais peut-être plus de chance sans lui. Ce qui y’a de sûr c’est qu’il ne m’aidera pas à devenir pâtissier, mais en le mettant en location je peux peut-être monter un commerce qui marche bien. Y’aura des clients en tout cas. »

Mais. Mais William. Pourquoi tu me vends comme ça ? C’est pas de ma faute si le pot de sel et le pot de sucre ont la même tête, comme tu fais des réserves. Me mets pas en location, s’il te plaît, j’ai même fait la lessive.

« Et t’inquiètes, ne fait pas cette tête, je te garde du gâteau. Et quand tu veux pour l’octogone Affoue. »

Je regarde successivement le bandeau, Affoue, William et bug. Trop d’info, qu’est-ce qu’il passe, j’étais juste en train de cuisiner tranquille moiii.

« Qu’est-ce que... quoi ?
— Je suis la gardienne de ton secret Santa pour la personne qui te l’a offert. Mets ce bandeau sur les yeux. Suis-moi. »

Oh. C’est déjà un peu plus clair. Mais qui ça peut être ? Et qu’est-ce que ça peut être pour de telles dispositions ? Je suis curieux, mais haaaaaaaa !

« Rien que ça ? Très bien, très bien… Bon et bah zoupla boom, c’est parti, j’imagine. Est-ce que je dois avoir peur du fait que ce soit toi qui me fasses traverser la forêt les yeux bandés pour m’amener à une destination inconnue, alors que tu viens tout juste de proposer un octogone à William ?
— MAIS NON ! aller. Zhou. Le bandeau. »

Je lâche un « D’accord », penaud et la laisse me guider à travers la forêt en priant pour qu’il ne s’agisse pas qu’une blagounette d’elle et Moira. On discute bien. Elle n’essaie de me faire aucune frayeur sur le trajet et me rattrape même les nombreuses fois ou je tente de rejoindre le tapis de feuille. Hmm ça ne ressemble pas à une blague de sa part, mais est-ce que ça pourrait en être une de la part d’un secret Santa qui a fait un peu de zèle sur l’humour ? Hmm. HMM.

Lorsqu’elle me signale qu’on est arrivé, elle me lâche et je reste immobile, raide pour éviter de cogner quoi que se soit. J’ai entendu des chevaux pas si loin que ça, j’aurais tendance à penser qu’on est près de la ferme, mais je suis tellement désorienté que je n’affirmerais rien du tout.

« Ok, ok, donc, c’est là ? On est où ? Il faut que je cherche quelque chose ?
— Bouge pas. Ne boooouuuuuge pas. »

J'acquiesce, et le silence prend la suite, entrecoupé de bruit de pas tranquille, et le mélange de hâte et de peur grandit de plus en plus en moi.

« Aie ! Mais vient espèce de patate ! Je vais t’avoir.... Ahahaha ! Je te tiens. Bryn ! Y’a un banc derrière toi. Assieds-toi. Tend les braaaaaas.... Not the face, not the... Pfoua, my noooose. »

Je recule en marche arrière et manque de me casser la gueule par manque d’équilibre avant de trouver le banc à tâtons et de finir de m’inquiéter. Qu’est-ce que c’est. Ça a l’air vivant non ? Oh mon dieu, mais si c’était une mauvaise blague et que c’était quelque chose qui faisait peur genre une petite bête magique effrayante ? HAAAAA. Je tends les bras, la tête de côté, craintif, mon imagination turbinant tout les pires scénarios possibles.

« Haaaaa, qu’est-ce que c’est, c’est gentil Affoue hein ? Dis-moi oui s’il te plaiiiiiit »
Pas de réponse. Juste une boule de poils incroyablement douce qui atterrit entre mes mains et le bandeau qui vole.

« Il s’appelle Merlin. Joyeux Noël Bryn »

Une petite tête dorée encadrée de grandes oreilles tombantes, et un poil sombre marbré de safran. Un… Un chien ?

Mon regard se perd dans ses doux yeux d’ambre expressif surlignés de deux petites taches noires formant des sourcils amusant, tandis qu’il essaie de venir me renifler. Je ne réalise toujours pas, avant de me prendre un coup de langue par la figure.

J’ai un chien. J’ai. Un. Chien. Je sens les larmes me monter aux yeux et des sanglots de joie me prendre. La main sur la bouche à cause du choc, je toise Affoue d’un air penaud, mais tellement, tellement heureux.

« J’ai un chiiiiien ! »

Je fais un bisou sur la tête de merlin et le pose sur mes jambes tandis qu’il roule pour jouer, et je le regarde, profondément attendris, le cœur complètement fondu. Je n’arrive pas à réaliser, non vraiment, ça ne veut pas rentrer dans ma tête.

« Tiens, sweety pony. »

J’attrape la carte que me tend Affoue et manque de la faire tomber tant mes mains tremblent.

« An-Andréatus ? »

Après avoir commencé par la fin, je redécortique le début avec l’identité de l’interlocuteur en tête. Il est si gentil. Et attentionné. Et… il faudra que je fasse quelque chose pour le remercier pour le plus beau cadeau du monde.

« Bien sûr que je vais garder ce petit ange. »

Je renifle à force de pleurer, et essuie mes larmes avec ma manche.

« T’es d’accord Merlin ? »

Je me penche le visage à hauteur du chien qui avance laborieusement dans ma direction avec ses déplacements patauds de chiot, comme si ses pattes étaient trop grosses pour lui.

« J’enverrais un mot au monsieur, et des gâteaux, et il pourra venir voir comment tu vas grandir et tout. T’es le plus beau, tu sais. Tu le sais ça que t’es le plus beau ? »

Je lui fais plein de papouilles, essayant de me remettre de mes émotions et de profiter de la présence de mon nouveau compagnon de vie, avant de bientôt le ramener chez moi.
Le ramener chez moi… OH. La réalité des choses m’attaque d’un coup, si bien que je ne remarque même pas que Merlin mordille ma main. Je m’étrangle un instant et me tourne vers Affoue.

« Et si William était pas d’accord ? Et-et j’ai pas de gamelle et de croquette, est-ce que je vais choisir les bonnes, et une niche, oh mon dieu il faut que je te trouve une niche et tout ce qu’il faut, et-et-et-et je veux son bonheur et bien faire, comment je vais faiiire.
— Oh non, il nous fait une crise de éssiite aigüe.  Caaalme, calme, on va pas te lâcher en pleine nature avec ton nouveau bébé t’inquiète pas on te donne ce qu’il faut.
— D’accord, merci, pardon, fiouuu… »

Ça va aller, ça va le faire, et ça va être bien. Je reste plus d’une petite heure à la ferme, à m’amuser et à découvrir mon nouveau camarade, pour faire connaissance, prendre le temps de réaliser avant de l’emmener. J'apprend que c'est un des petits de Avalon, que je n'avais pas vue depuis un moment cette petite puce. Merlin a des super parent et aura grandit dans une super famille, j'espère que j'arriverais à lui offrir d'aussi belle condition de vie !

Je fait signe à Affoue que je me sens prêt et on charge la remorque du quad ensemble, mon bébé d’amour dans une caisse avec un drap dessus pour être moins stressé par le trajet. Je comprends les jeunes parents qui sont super angoissés et qui ont envie de sécuriser chaque coin de leur maison. Parce que ; pareil. On laisse le tout charger, mais il s’agit pour l’instant de prévenir William.

J’entre l’air un peu penaud en rasant les murs jusqu’à la cuisine, et il sait déjà ce que ça veut dire vue sa tête dubitative.

« William, on, heu, je peux te parler une minute ?
— Qu’est-ce que tu as encore était m’inventer comme merveille…
— T’aimes bien les animaux ?
— Oh non, Brynjolf me dit pas que…
— Mais c’est mon secret Santa qui me l’a offert, et il s’appelle Merlin, il est très chou, et on a beaucoup de terrain, et, et, et… »

Il soupire profondément, mais je ne le remarque même pas.

« Te fatigue pas je suis pas particulièrement contre tant que tu gères, mais prévenez quand vous faites ce genre de connerie les jeunes, ou je mets aussi le chien en location.
— Et en plus c’est un chien rêve, et j’ai tout ce qu’il faut pour m’en occuper, je suis sur qu’il pourrait être heureux et-
— Oh non il est encore bloqué. Bon tu me le présentes au lieu de me faire un exposé ? »

Je cligne des yeux, sonné. Il a dit oui ? IL A DIT OUIIII. Je m’étais préparé au pire et- Waaah… Quel soulagement ! Affoue regarde la scène en souriant, et on part tous décharger la voiture histoire de mettre en place son petit coin de paradis pour qu’il débarque dans de bonnes conditions. La niche, ses gamelles, ses jouets, tout, avant d’apporter la caisse et de le laisser explorer le salon. Je l’aime déjà beaucoup trop, et rien que de l’observer visiter avec son air curieux me remplit de joie. Je m’assieds en tailleur au milieu de la pièce pour qu’il vienne me voir si l’en a envie, et souris béatement. Il faudra que je remercie Philophae. Affoue, William, et tout le monde pour avoir la chance d’élever ce petit chou. Et ça va être bien. Ça va être super même. Hein, Merlin que ça va être super ?


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