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Philophæ Méales Andreatus
Philophæ M. Andreatus
Messages : 102

Feuille de personnage
Age: 45
Pronoms:
Club: Aucun, Prof de transformation et patrouilleur
Pouvoir: Magie rouge: Transformaton en chien et altération des os. Contrecoups: dent toujours transformées et cicatrice à l'oeil. Collonne vertébrale se soudant petit à petit.
Philophæ M. Andreatus
Premier de la classe



Mar 21 Jan - 22:22
Andreatus Philophæ Méales
ft.Reinhard overwatch

Thème : Song of the wolf dog

Âge : 45 ans
Date de naissance : 21/12
Genre : Homme
Nationnalité : Française
Domaine d'enseignement : Professeur en métamorphose théorique et appliquée
Club : Aucun
Séxualité : Pan
Pouvoir : Métamorphose partielle et complète en chien / altération des os
Caractère

"Calme comme loup.
Sombre comme nuit.
Aimable comme chiot.
Doué comme chien.
Sociable comme meute.
Fort comme moi."

Ce poème, petit Philophæ en a écrit la versions finale à 7 ans pendant une crise d'angoisse dans la cours de récré. Il en avait déjà pensé une versions beaucoup plus approximative a 5 ans lorsqu'il fuyait avec Harold et leur mère pour l'académie. Timide et surtout attaché a son quotidien et ses rituels, le changement avait été… violent. Depuis petit, Philophæ a toujours eu du mal avec le contact physique et visuel. Facilement submergé par ses sens, il a dû apprendre à gérer ses sensibilités particulières et, bien que toujours incommodé par un certain nombre de choses, ses crises d'angoisse sont plus rares et contenues. Il faut dire qu'avoir la possibilité d'être un chien, de partir en silence, d'avoir un contact simple avec les gens est d'une grande aide. Surtout depuis qu'il est prof.

Soyons bien clairs à propos d'une chose: Philophæ déteste son métier. C'est quelqu'un de profondément introverti et timide et on le force à parler devant des élèves. A leur apprendre des choses. A leur faire entrer dans leur crâne atrophiés qu'il ne faut pas que les autres sachent. Et c'est très compliqué. Il essaie au maximum d'être pédagogue et calme mais il sait pas leur expliquer comme le faisait sa mère… Il ne comprends pas pourquoi ils ne comprennent pas, il n'arrive pas a être à l'aise devant un groupe aussi grand… alors il devient rude. Il devient sec. C'est plus simple quand ils sont moins nombreux mais ça reste difficile… Vraiment, il déteste faire cours. Parfois, il déteste même ses élèves. Quand ils font du bruit, qu'ils n'écoutent rien, qu'ils gesticulent, c'est trop dur a gérer alors il leur aboie dessus. Littéralement. Il retrousse ses lèvres et il grogne, renverse des tables, fait mine d'attaquer. Il déteste ça mais il sait pas faire autrement… Quand un élève le pousse à bout ou s'en prend à un autre, c'est pire. Il n'hésite pas à se servir de sa force voir de sa magie contre le fautif… et plus sa colère est grande, plus forte est la réaction.
Il sait qu'il leur fait souvent peur avec son manque criant de contrôle et son incapacité à gérer le conflit. Mais il ne sait pas faire autrement.

Enfin il fait peur à pas mal de gens et à raison. Philophæ n'a pas vraiment de code moral, seulement des objectif: protéger l'intégrité de l'école et vivre tranquillement sa vie. Selon lui, la fin justifie les moyens, et c'est avec cette idée qu'il vit sa vie de prof, de patrouilleur, de chien de garde. Rien n'est foncièrement bon ou mauvais. Rien n'est bon ou mauvais. Il y a ceux qui sont avec lui et ceux contre. Ceux avec ses maîtres et ceux contre. Ceux avec ceux qu'il aime et ceux contre. C'est tout.

Après, il y a plein de contextes où il est sympa. Avec certains qu'ils considère comme ses proches il rit, souris… aime même. Avec eux, tant qu'il n'y a pas trop de bruit, trop de lumière, trop de sens en alerte, il est partant pour tout. Ayant une place de choix dans son cœur, son frère Harold est une des rares personnes envers lesquelles il est incapable d'objectivité.
En dehors des cours, il passe énormément de temps en "peau de chien" à arpenter les terrains de l'école et il pratique un certain nombres d'activités. Il aime le sport, surtout les sports de balle, le silence, les grand espaces, les arts martiaux, la méditation… Il chante bien et joue de la flûte aussi. Ses livres de chevets concernent l'altération des corps, la zoologie et la politique... Et par dessus tout, il aime le calme…. Le calme c'est tout ce qu'il demande en fin de compte, avec la chute du système des non mages.
Il est fidèle à ceux qu'il aime et, même si il ne mordra jamais la main qui le nourrit, il sait exposer ses doutes et réticences quant à leur ordres ou attitudes.

Discipliné. Loyal. Impitoyable. Aimant. Protecteur.

Tout ce qu'on attend d'un bon chien de garde.

Physique

Humain, Philophæ est…. Grand. Non, vous ne saisissez pas. Très grand. Deux mètres et quelques. Ouais en somme… grand.
Philophæ est massif aussi. Il l'a toujours un peu été mais l'adolescence l'a fait croître autant en hauteur que largeur et ça n'est jamais parti. D'autant qu'à force de courir la forêt, grimper partout, pratiquer divers arts martiaux et jouer au baseball il a acquis une solide musculature qui semble là pour rester. Comme son bidou depuis qu'il a passé la quarantaine.
Il a eu les cheveux et la barbe blanche assez tôt dans sa vie et il leur donne énormément d'attention pour les garder soyeux malgré ses escapades sauvages. Ses yeux bleus sont fuyant la plupart du temps et, lorsqu'ils acceptent de vous fixer dans les yeux semblent…. Concentrés. Extrêmement concentrés… Son front, tout comme le coin de ses yeux sont marqués de rides qui soulignent son sourire ou ses grognement terrifiants… son oeil gauche est recouvert d'une cicatrice, témoins indélébile de sa première transformation complète au même titre que ses dents, désormais canines et pointues a jamais.
Lorsqu'il lit, il porte de petites lunettes permettant à ses yeux de se reposer un minimum: ses séances bibliophiles peuvent durer des jours avec peu de sommeil et cela a des conséquences. Conscient de l'image qu'il doit avoir, il est propre sur lui la plupart du temps et porte beaucoup de costumes sobres lorsqu'il fait cours. Autrement, des t-shirt unis où avec des motifs rigolos et des blagues sur la magie peuplent sa garde robe.
Au delà des conséquences visibles de sa magie, son dos est de plus en plus douloureux car ses vertèbres se soudent à chaque fois qu'il altère les os de quelqu'un.

Chien, Philophæ est…
Calme comme un loup, il est un chien loup, de grande taille et relativement élancé. Solide, les pattes épaisses, sa gueule peut contenir un crâne humain.

Sombre comme nuit, il a le poil long et, aussi étonnant que cela puisse paraître, noir. Tout aussi étrange, ses yeux canins sont d'un rouge sombre tirant sur le marron.

Aimable comme chiot, il a des trait doux et une allure calme la plupart du temps. Il n'est pas un chien effrayant au premier abord, même si impressionnant.

Doué comme chien, des sens sont alors exacerbés. Il est en mesure de reconnaître l'odeur des gens qu'il croise, d'entendre bien mieux. Le goût par contre… vraiment, même les bouts de bois lui paraissent alors délicieux.

Sociable comme meute, il montre bien plus ses émotions que sous forme humaine. Bien que pouvant parler, il choisit bien souvent de ne pas le faire, laissant parler le langage canin qui avec le temps lui est devenu naturel.

Fort comme moi, comme lui même, sa peau de chien est redoutable. Que ce soit niveau force basique, vitesse mais surtout en combat ou en intimidation, il faut être passablement courageux, inconscient ou désespéré pour se frotter à lui. Ou vraiment savoir ce que l'on fait...

Il lui arrive parfois de ne prendre que certains attrait de sa peau de chien. Dans ses cas la, on peut voir un professeur à tête canine en train de siroter son café dans les couloirs….

Entre chien et loup...

*5 ans, une nuit.*

Philophæ tenait fermement la main de son frère qu'on lui avait interdit de lâcher. Les yeux rivés au sol, il agitait frénétiquement la tête et sa main libre dans une tentative vaine de rester calme. Il fallait qu'il soit un grand frère responsable et vraiment, il essayait de toutes ses forces mais...
Calme comme les loups dans la nuit...
Sombre comme la nuit...
Non, ça faisait trop de fois nuit... Ça ne sonnait pas juste. Il ne fallait pas non plus se taper la tête même si les mots ne marchait pas, même si tout était trop...
Trop précipité, trop intense, trop tout. On avait fait la valise, mais pas comme il faut. Les pull avait été mis avant les chemises, on avait pas fermé correctement les petites sangles intérieures... rien n'allait. Il avait essayé de leur dire mais c'était pas le moment, c'était un moment de grands, les petits n'avaient pas leurs mots à dire.
De ce qu'il avait compris ils partaient tout les trois parce que leurs pouvoirs se voyaient. Papa n'en avait pas, alors il resterait là et il dirait à d'autre de les rejoindre. Maman était peinée de le quitter mais lui, lui... Il n'en montrait rien, essayait de n'en rien montrer mais jamais sa panique n'avait été aussi grande.

*Douze ans, cours de récré, 10h*

Les autres jouaient dans la cour mais lui s'était isolé derrière les arbres. Il n'avait pas envie de retourner en classe, c'était trop compliqué. Il n'arrivait pas à parler avec les autres, ils ne le comprenait pas et c'était réciproque. Il n'arrivait pas à parler tout court quand ils étaient trop nombreux. Non, rectification, il ne voulait  pas parler quand ils étaient trop nombreux. Non, rectification: les deux.

Calme comme loup.
Sombre comme nuit.
Aimable comme chiot.
Doué comme chien.
Sociable comme meute.
Fort comme moi.

Les gens mentent. Il ne disent ce qu'il pense ni directement ni dans leur corps... Les yeux sont les fenêtres de l'âme... Tu parle. Les yeux c'est juste... dérangeant. Regarder les gens dans les yeux, c'est possible mais juste avec certains. Et à chaque fois c'est... Trop.

Calme...
Sombre...
Aimable...
Doué...
Sociable...
Fort...

Souvent, quand l'angoisse monte et qu'il récite ça, Philophæ à les yeux qui rougissent, les cheveux qui deviennent noir, les sens en alerte... Mais pas aussi violemment qu'avant de le réciter. Une fois il a même eu une tête de chien.

Mais là, il sait qu'on l'a moqué. Il sait que son prof ne comprend pas. Il sait qu'il est bizarre, il sait que cette classe ne lui correspond pas. Il angoisse à y retourner... Alors il récite.

Calme...
Sombre...
Aimable...
Doué...
Fort...

La douleur avait commencé dans ses jambes mais cela ne l'avait pas arrêté. Concentré sur tout son corps, les autres avaient disparus. La cours aussi. La récitation avait continué et le mal avait grimpé dans son torse, le long de sa colonne, fondant sur lui. Et la récitation avait continué.... Continué... Jusqu'à ce qu'elle ne devienne qu'un aboiement.
Jusqu'à ce que soit revêtue la peau de chien.

Ce jour là, les surveillants ont vu dans la cours un grand chiot noir aux yeux rouges avec un œil en partie crevé. quand ils ont voulu le chasser, il s'est transformé en un Philophæ perdu, blessé, mutique mais... Passablement heureux.

*26 ans, jour, 14h*

Il courrait la forêt comme jamais il ne l'avait fait. Il les avait senti quelques heures avant déjà mais, sous forme chien, il n'avait aucun moyen de prévenir les autres. Alors il courait en direction des différentes radios qu'il avait planquées à droite à gauche dans les bois. Il fallait qu'il atteigne le vieux chêne avant que les intrus ne soient trop avancés.... Il fallait qu'il prévienne les autres, qu'ils organisent une défense efficace. Les humains qui étaient entrés étaient armés. Une dizaine tout au plus, mais en équipement militaire. Il fallait agir vite.

Arrivé au vieux chêne, il repassa sous forme humaine et s’activa à la radio.

"Ici Philophæ. Intrus en zone 4. Une dizaine, humains, militaires. Demande renforts. Terminé."

Un bruit. Derrière. Il se figea, sentant braqué sur lui des yeux et sans doute une arme. Un humain, seul. Sans doute avec une radio.

"Bouge pas, tu bouge t'es mort. Commandant ? Un homme, commença le militaire, seul, nu. Il a prévenu de notre présence. "

Avec une radio. Et merde.

D'un bond, il lui sauta dessus, toutes dents dehors. Brisant doucement ses tibias par la pensée, il cherchait une zone de libre dans sa tenue tactique. Le coup de feu partit mais trop tard: l'humain ne s'attendait pas a ce qu'un gros chien noir ne l'attaque.
Après avoir peiné, Philophæ fini par lui trancher la jugulaire avant de retomber sur ses pattes. Quand l'autre arrêta de gigoter, il alla fouiller le cadavre du bout du nez. Depuis qu'il était gardien de l'école, soit quasiment trois ans, c'était la première intrusion, il voulait vérifier qu'il ne représentait plus aucun danger.

Quand les renforts arrivèrent, il était en train de se nettoyer le nez dans un ruisseau, l'arme automatique et la photo de famille du soldat a côté de lui.

"Pour les mages noirs, précisa-t-il en grognant. Pour avoir un moyen de pression au cas où ils reviennent."

*40 ans, un soir*

Il était chez lui, dans son appartement de gardien au sein de l'école. L'enterrement avait été difficile mais au moins Harold était venu et ils ne s'étaient pas disputés. Durant leur enfance, quand le ton montait entre lui et leur mère, Philophæ était souvent celui qui mettait un terme a leur dispute. En hurlant. En pleurant. En se transformant en chien spontanément, grognant, aboyant, menaçant parfois de se mordre lui même. Il détestait leurs disputes... Autant qu'il aimait sa mère et son frère.
On lui avait demandé de reprendre le poste de sa mère quand elle était tombée malade. Il avait refusé. Elle était douée, lui ne le serait pas. Sa compagne d'alors avait essayé de le convaincre, lui assurant qu'il était doué dans ce qu'il faisait mais... Mais c'était trop lui demander.

Mais là, maman était morte. C'était différent, elle ne reviendrait pas. Il ne pouvait pas tout enseigner, c'était impossible mais enseigner certaines choses restait concevable. La transformation, ça c'était envisageable.

Il sécha ses larmes et décrocha le téléphone.

"Madame la proviseure ? Bonjour. C'est au sujet de l'enseignement. J'ai des conditions..."

*45 ans, 8h*

"Bonjour. Assis. Tous."

Il était assis en tailleur sur son bureau dans son costume vert bouteille, l’œil fixe sur ses fiches de cours alors que ses élèves entraient.

"J'ai dis assis, Illinaren, dit-il en grognant ce qui eu pour effet l'assise immédiate de l'élève en question. On va appliquer ce qu'on a vu plus tôt cette semaine. Pince de crabe à la place des mains. Première étape, squelette chitineux. Vous avez le protocole sur la table, je vous laisse essayer, je viens vous aider au besoins. Si y'a trop de bruit je vous vire. "

Il avait cinq minutes de répit avant que les premiers élèves ne l'appellent. Il était tôt, ils avait visiblement la tête dans le cul et lui aussi. Alors, comme chaque matin, il alla faire chauffer de l'eau dans un coin de la classe pour son café.

"Et comme d'hab, y'a de l'eau chaude si vous voulez."

A votre propos

Pseudonyme : Jenny, saenus... As you wish.
Prénom : c'est un secret.
Âge : secret aussi, je suis majeure
Comment as-tu connu le forum ? : on m'y a traîné. De force. Brute. (C'est saphirre)
Commentaire : aucun ^^

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Saphirre Lacey
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Club: Art martiaux
Pouvoir: Contrôle hormonale
Saphirre Lacey
Trash Can or trash cannot



Jeu 23 Jan - 13:43
Bonjour bonjour ! Very Happy
Alurs, j'ai remis les codes en ordres ne t’inquiète pas et tout est en règle donc tu est va-li-dé !
Tu peut dés maintenant faire ta fiche d'affiliation si tu a envie, et poster dans le sujet de demande rp pour trouver des partenaires Wink
J’espère que tu te plaira ici et j'ai hâte de rp avec toi un de ces jours ! :DD
Ps : Tu est ajouté au mages rouge ! Wink
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