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Bah oui t'es beau ! [PV Philophae, Oris, Démiurge] - FINI
Brynjolf Néel
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Brynjolf Néel
Premier de la classe



Ven 31 Jan - 22:23

Philophae
M. Andréatus

Brynjolf
Néel

「 Bah oui t'es beau ! 」


Cet après-midi, j’avais décidé de consacrer mon temps à ne rien faire. J’étais allongé au milieu d’une clairière, bercer par le son du vent et les rayons filtrer par les branches. Des brins d’herbe viennent chatouiller ma peau, m’arrachant un sourire tandis que je fixe le ciel d’un air pensif.
Cette sensation d’être seul au monde… C’était agréable.
Un bruit.
Je me lève en sursaut, pensant à une présence pourtant je ne vois rien. Je reste immobile, attentif au bruit jusqu’à ce que je me rende compte que ce n’était qu’un chien. Immense, noir, majestueux et... Oh non il est trop chou.
J’ai toujours trouvé que dans cette école il n’y avait pas assez d’animaux. C’est vrai quoi, ce campus est si grand qu’on dirait une mini-ville et pourtant on croise peu de bêtes. Enfin si, il y a les animaux de compagnie des autres, les animaux de l’animalerie des professeurs, et les animaux sauvages, bref, aucun que je ne puisse approcher. C’est dommage, ça rajouterait tellement de bonne humeur par ici.
C’est pourquoi quand je l’ai aperçue, j’ai eu une de ces réactions stupides qu’on a tous quand on voit un chien. J’essaie d’attirer son attention en sifflotant, légèrement penché.

« Hé… Hé t’es beau toi ! Bah oui t’es beau ! »

Je perds vraiment l’intégralité de mon QI quand je vois un animal, mais je ne pouvais pas m’en empêcher !

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Philophæ M. Andreatus
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Philophæ M. Andreatus
Premier de la classe



Lun 3 Fév - 7:24
A la base, Philophæ était simplement partit en patrouille dans les bois. Il devait faire un tours, dans sa peau de chien, et puis rentrer. Mais voilà, il avait décidé de flanner et de profiter du fait d'être un chien pour la journée.
Un peu plus loin que là où il était se trouverait un ruisseau dans lequel il avait l'intention d'aller patauger mais pour cela, il lui fallait traverser une clairière dans laquelle se trouvait... Un élève, endormi. Zut.

Si il avait d'abord prévu de l'esquiver, il ne fut pas assez discret car le rouquin releva la tête et le dévisagea avant de... Ah. Bon. Son cerveau venait de le quitter. Gaga, il lui parlait plus par son que par mot, comme s'il s'adressait a un vrai chien : de toute évidence, il ignorait qui il était.

Parfait. Il avait trouvé un camarade de jeu.

S'aplatissant par terre en remuant la queue, il poussa dans la direction de l'élève un bâton avant de le regarder, les deux oreille en avant, en aboyant joyeusement.

Que c'était chouette d'être un chien.


Bah oui t'es beau !  [PV Philophae, Oris, Démiurge] - FINI Philop20
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Oris Akina
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Localisation : Pas loin de sa soeur ou de Brynn

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Oris Akina
Camarade



Sam 1 Aoû - 15:35
[Attention. Ce post ne demande que peut de neurones pour sa compréhension (ou alors beaucoup si vous êtes très cartésiens).]

Oris aime bien Janvier. Déjà le moi à un nom rigolo qui porte au jeux de mot mais en fait non car il en à pas trouvé. Ava était en cours avec M Procréatus un truc comme ça. Du coup le garçon avait décidé d'aller se balader vers la forêt, un endroit que Ava aurait sans doute jugé trop dangereux pour lui mais bon.

Le problème avec Oris c'est qu'il ne prévoit rien. Il pensa à prendre des vêtements de sports et des baskets une fois seulement que son pantalon écru et ses mocassins en cuirs furent couverts d'humus.

Tant pis. Je dirait à Ava que je me suis fait attaquer par le grand chelou avec sa mousse partout (insérez ici Saoirse Carraig).

Ah le "calme". Oris avançant avec satisfaction dans l'herbe semi haute en claquant la langue et en frappant ses jambes avec ses mains. TDAH sur patte.

Soudain une voix. Mince! Ava l'a vu depuis la fenêtre et a voulu descendre l’engueuler car il devrait faire ses devoirs? Dratus a pas voulu, elle lui à fichu une tatane et elle est en train de rejoindre Oris, une claquette à la main? Ah non c'est juste un gars! Un grand mais pas grand. Genre il est grand mais pas vieux. Non pas qu'à vint ans tu soit vieux mais... Il est jeune. t'as capté? Jeune et très grand. Si la mémoire d'Oris était bonne (faux), ça devait être un gars de son année.

Mais...

Mais attendez...


CHIEN

Oris se précipita vers le duo jouant. Débordant d'envie de prendre le grand chien noir dans ses bras pour le couvrir de papouilles. Elle avait dit quoi Ava avec les gens? Ah oui! Calme, pondéré, poli. Balékouille ya un dogo on fonce!

Hé salut euh... Blynnis! Il est trop choupi ton chien! Jpeut lui faire un câlin?

Oris remis nerveusement sa chemise dans son pantalon et redressa ses lunettes. Il trépignait d'envie d'aller voir le chienchien.
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Brynjolf Néel
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Brynjolf Néel
Premier de la classe



Dim 2 Aoû - 12:56

Philophae
M. Andréatus

Brynjolf
Néel

「 Bah oui t'es beau ! 」


JGFIDSI il a amené un bâton, comment il est trop chou ce dogo je fooond. J’ai toujours eu une petite préférence pour les animaux câlins et joueur, en faite je les aime tous, mais eux ils me mettent plus en confiance que les divas ou les ronchons que j’ai toujours peur de déranger. Heureux comme tout, je saisis le bout de bois, et joue 30 secondes à laisser le chien sur ses gardes avec des faux lancer avant de le jeter au loin pour de bon. Le bout de bois pas le chien. Même si certes, l’un va avec l’autre. Je le gratifie d’une vague de gratouille sur la tête et l’encolure en récupérant son trophée.

« Merci mon graaands t’es le meilleur ! ».

Cependant, prêt à récidiver mon lancer, j’entends un bruit et sursaute en lâchant le bâton, effrayé. Qu’est-ce que - Ouuuuuf… Un autre élève, pas un danger. Je mets une main sur le cœur en soufflant comme si j’avais frôlé la crise cardiaque. Un p’tit gars châtain mims avec de grosses lunettes. Mais petit. Vraiment petit. Oris, je crois ? Étant donné les nombreuses collaborations du club théâtre et du club d’art j’avais eu l’occasion de déjà le croisé. Mon pouls revient peu à peu à la normal après mon coups de flippe, tandis que Oris, lui, semble trépigner sur place.

« Hé salut euh... Blynnis! »

Je regarde le chien et Oris à tour de rôle. Blynnis c’est le toutou ?

« Il est trop choupi ton chien ! Jpeut lui faire un câlin ? »

Ah non c’est moi visiblement le hors-d’œuvre dans l’histoire, j’éclate de rire, plus détendue.

« Salut Oris ! Alors, en faite je m’appelle Brynjolf, mais tu peux m’appeler Bryn je sais que c’est un nom embêtant. Ou Blynnis si tu veux hein, tant que tu ne me jettes pas de la crème et de la ciboulette dessus je devrais bien le vivre. »

Oris était un gars simple dans mes souvenirs, et puis on était au milieu de la forêt et pas de la foule, c’était beaucoup plus simple de refouler ma timidité. Je lui adresse un sourire d’accueil tout en caressant le dogo. Ah, mais ce n’est pas mon chien, faudrait peut-être lui dire. D’autant plus que aussi mignon soit-il je ne suis clairement pas assez adulte pour adopter un animal pour l’instant. Mais d’ailleurs où sont ses propriétaires ? S’il en a. Haaa de l’aide sera la bienvenue si on doit chercher des gens, il tombe à pic ce petit gars.

« Viens y’a pas de soucis je pense, mais ce n’est pas du tout mon chien même s’il est trop choupie. Je ne sais même pas comment il s’appelle, tu l’as déjà vue aux alentours peut-être ? On pourrait lui donner un nom provisoire peut-être le temps qu’on retrouve ses maîtres ? S’il en a ? T’en as, dis, le dogo ? »

Je le regarde comme s’il pouvait répondre et me décale pour que Oris puisse venir lui faire des câlins. Ceci étant dit ça serait bien pratique qu’il puisse parler, il y a l’air de n’avoir personnes aux alentours, ça aurait été utile de savoir d’où il vient. Hmm. On pourra chercher un peu et voir pour le ramener à l’école au besoin !
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Philophæ M. Andreatus
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Philophæ M. Andreatus
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Lun 3 Aoû - 16:59
Le grand roux avait décidé de jouer le jeu et de lui lancer le bâton. C'est donc avec plaisir que Philophae le lui ramena, affichant un enthousiasme canin a toute épreuve.

Alors qu'il le félicitait pour son rabattage de bâton l'odeur d'un autre humain arriva à ses narines. Se dernier, loin d'être discret, fit sursauter son camarade de jeu en arrivant.

- Hé salut euh... Blynnis! 

Le grand le regarda d'un air confus et le chien fit de même. Blynnis ? Étrange comme comme nom. Il ramassa le bâton pour s’occuper, le mâchouillant en écoutant la conversation des deux élèves distraitement.

-Il est trop choupi ton chien ! Jpeux lui faire un câlin ? 

Comment ça son chien ? Il était un dogue libre et indépendant monsieur ! En tout cas, ça eu l'air de faire rire son "propriétaire" qui répondit d'un air enjoué.

-Salut Oris ! Alors, en faite je m’appelle Brynjolf, mais tu peux m’appeler Bryn je sais que c’est un nom embêtant. Ou Blynnis si tu veux hein, tant que tu ne me jettes pas de la crème et de la ciboulette dessus je devrais bien le vivre. 

Pourquoi est ce qu'il lui aurait jeté de la crème et des herbes dessus ? A cause du nom qu'il lui avait donné ? AH ! Oui, les blinis, les petits toast. Enfin bref. Le prof s'en foutait, il était pas là pour parler bouffe. Il était là pour courir comme un idiot et, trop occupés à parler, personne ne lui lançait le moindre bâton.

-Viens y’a pas de soucis je pense, mais ce n’est pas du tout mon chien même s’il est trop choupie.

Trop choupi ? La dernière fois on lui avait dit qu'il était terrifiant. A dire vrai on lui disait souvent qu'il tait terrifiant, beaucoup moins qu'il était choupi. Et puis il aurait préféré qu'on lui lance le bâton que de se faire gratter la tête... Il finit par lâcher le bâton au pied de pus grand, le poussant du bout du nez.

-Je ne sais même pas comment il s’appelle, tu l’as déjà vue aux alentours peut-être ? On pourrait lui donner un nom provisoire peut-être le temps qu’on retrouve ses maîtres ? S’il en a ? T’en as, dis, le dogo ? 

Oups. La tuile. Déjà pour le nom provisoire qui 'enchantait moyennement. Ensuite pour les maîtres... Peut être que il pouvait tenter une sorte de communication dissuasive ? Mais il n'avait pas envie de parler...

Il se tourna donc vers Brynjolf et fit non de la tête. Avec un peu de chance il s'agissait d'un mage vert pouvant parler aux animaux qui ne relèverait pas plus que ça.

-Oh, d'accord c'est plutôt rassurant !

Parfa... L'élève s'arrêta, surpris, regardant de nouveau le chien. Philophae compris à ce moment là son erreur. Le grand gaillard avait l'air extrêmement surpris. Trop surpris.

Et merde...

-T'as dit non ? Tu... T-t-tu parle ?! Attend... Tu parle, parle, genre a tout le monde ou...J'ARRIVE ENFIN A PARLER AUX ANIMAUX ?

Okay. Abandon de la mission immédiat. Ramasser le bâton et partir par... Par là. Ainsi, une branche dans la gueule, le chien noir s'éloigna en direction de la forêt pour échapper aux questions et futures désillusions du renard.


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Oris Akina
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Oris Akina
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Lun 3 Aoû - 20:03
Ah en fait il s'appelle Brine Waulf.

Waw! Trop cool ton prénom! Ça veut dire un truc stylé genre "le loup des steppes de la terrible Russie des Tsar"? Moi c'est Oris du coup! Ça veut rien dire et c'est un peu chelou aussi.

Le jeune garçon mit un certain temps à comprendre la blague sur le Blinnis. Il rigola frénétiquement avant de se reconcentrer sur le chien. Il était vraiment très joli avec son pelage tout noir et ses grands yeux. Et son bâton aussi mais ça c'était totalement secondaire. Quoique ce bâton était très joli...

...pourrait lui donner un nom provisoire peut-être le temps qu’on retrouve ses maîtres ? S’il en a ? T’en as, dis, le dogo ?


Vla t'y pas que le chien se met à faire non de la tête. La bouche d'Oris se bloqua de stupeur en un O parfaitement rond.

-T'as dit non ? Tu... T-t-tu parle ?! Attend... Tu parle, parle, genre a tout le monde ou...J'ARRIVE ENFIN A PARLER AUX ANIMAUX ?

Le chien commençait déjà à partir. Son baton dans la gueule. Oris sortait de sa stupeur, surexcité et exalté.

C'est DINGUISSIME! Il peut nous comprendre! Il faut le proteger sinon des méchants scientifiques vont venir le voler pour faire des expérience comme dans le film où ya un perroquet qui s'appelle Poli et qui parle ("Poli le perroquet qui parle"). Vite suis moi!

En deux temps trois mouvements le garçon était debout et tirait son voisin parle le bras.

Il faut lui trouver un nom! Genre un nom trèèèès stylé. C'est l'année des R non? Rantanplan! Ou Ratatouille!

Oris était déjà parti, fonçant pour rattraper le chien. Cependant il avait mal calculé la taille de Brynn et sa force de mouche. En tirant sur le bras il s'étala de tout son long, perdant ses lunettes dans l'herbe.

Ah! Flûte caca boudin ! Reviens Ratatouille!
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Brynjolf Néel
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Brynjolf Néel
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Sam 15 Aoû - 17:00

Philophae
M. Andréatus

Brynjolf
Néel

「 Bah oui t'es beau ! 」


Comme réponse à ma question, le chien fait non de la tête.

« Oh, d'accord c'est plutôt rassurant ! »

Donc pas de maître à chercher ! Ça, c’est un chien courageux, à se démener seul pour vivre dans la nature ! Et puis ça sera plus simple à gérer, puisque trouver des personnes dans cette forêt n’est pas toujours chose aisée, il ne manquerait plus que ce soit un des chargés des pièges qui travaille là où l’on ne peut pas aller…

Je plisse les yeux un instant après un éclair de lucidité.

Est-ce que le chien avait… Répondu à ma question ?

Mes yeux s’écarquillent sous la surprise.

« T'as dit non ? Tu... T-t-tu parles ?! Attends... Tu parles, parle, genre a tout le monde ou...J'ARRIVE ENFIN À PARLER AUX ANIMAUX ? »

ÇA FAIT DES MOIS QUE JE PATAUGE. J’AI TOUT ESSAYÉ. Les poissons, les lézards, les oiseaux, les phasmes, et mon essai le plus concluant avant été un insecte qui m’avait jeté de l’acide dessus. Impossible de savoir si c’était gratuit ou parce qu'il n'aimait pas que je lui parle, mais en soi c’était déjà une forme de feed-back supérieur au regard vide d’un poisson qui ne vous comprend pas.
Et là. Et là. Et là. UN CHIEN, MON DIEU, UN CHIEN QUI COMPREND CE QUE JE DIS. JE VAIS FAIRE UN INFARCTUS TELLEMENT JE SUIS HEUREUX. Monsieur Rahman vas être si fier !

Malheureusement le dogo ne partage pas mon bonheur, et part avec son bâton dans le bec sans demander son reste. Mais… J’aurais voulu discuter plus. Mais bien, il faut respecter le choix de toute créature de la nature, s’il refuse de parler, je dois le laisser partir, peu importe ma curiosité.

« C'est DINGUISSIME! Il peut nous comprendre! Il faut le proteger sinon des méchants scientifiques vont venir le voler pour faire des expérience comme dans le film où ya un perroquet qui s'appelle Poli et qui parle ("Poli le perroquet qui parle"). Vite suis moi ! »

Oups. Oris ne semble pas avoir compris que les créatures de la nature ont besoin d’air pur comme dirait Pocahontas. Et puis, c’est Leoska non ? Enfin les mages verts ne laisseraient pas des personnes mal intentionnées faire des expériences sur un chien non ? Oris me tire par le bras et je me relève doucement pour éviter qu’il ne se mette a convulsé d’impatience.


« Il faut lui trouver un nom! Genre un nom trèèèès stylé. C'est l'année des R non? Rantanplan! Ou Ratatouille !
- Mais Oris, c’est un immense chien majestueux, on pourrait plutôt l’appeler Fenrir non ? C'est pas grave pour les R ! »

Oris commence à foncer comme une sorte de Smart au moteur poussé à fond avec le frein à main. Élan qui le pousse donc à se crasher au sol.

« Ah! Flûte caca boudin ! Reviens Ratatouille !
- Du calme Oris, je sais que tu essaies de te communiquer avec la nature, ce n’est pas une raison pour ne faire qu’un avec le sol. Tu ne t’es pas fait mal au moins ? »

Je lui adresse un sourire bienveillant et l’aide à se redresser en espérant qu’il va se remettre du départ de… de Ratatouille. Ce n’est pas plutôt un nom de rongeur ? Bref, admettons dans ce cas… Attendez.

Y’avais Oris alors pourquoi y’a plus Oris ?

ÇA VA TROP VITE. BON TANT PIS LA NATURE, JE LE SUIS, C’EST PAS COMME SI J’AVAIS LE CHOIX. Comment il fait pour courir aussi vite avec de si petites jambes ? … Enfin je ne veux pas dire qu’il est petit, mais… moins grand… BREF il est dur à suivre. Comment le convaincre de laisser le chien tranquille ? Je hèle derrière lui pour tenter d'être entendue.

« ORIS, SI ÇA SE TROUVE RATATOUILLE EST PROTÉGER PAR UN AUTRE GROUPE DE SCIENTIFIQUE. OU NON MIEUX. DES MAGES. T’INQUIÈTE. »

… Mais si ratatouille connaissait peu la forêt et qu’il se mettait en danger ?

« On va juste vérifier que - Fiou, ralentiiiii pitié- Il-Il -ARF J’AI PLUS DE POUMONS- il sache ou il va puis on rentre et… »

Hmm.
Je m’arrête un instant. À force de courir comme un dératé derrière eux je n’ai pas notifié le chemin outre mesure.

« Je… Je ne voudrais pas poser des hypothèses trop hâtives ou insinuer que c’est la panade, mais… Tu sais où on est Oris ? Parce que, hum, j’ai peut-être perdu le fil et, heu je sais pas, peut-être qu’on est un poil paumé ? »

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Philophæ M. Andreatus
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Philophæ M. Andreatus
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Lun 17 Aoû - 16:37
Alors qu’il s’éloignait en trotiinant il entendait encore leurs voix derrières. Ils avaient l’air de parler de lui mais il n’écoutait se contentant de s’éloigner. Dans son dos il y eu un bruit de chute. Il s’arrêta, tendant l’oreille mais aucun cri ou pleur de suivit il se remis donc en route, le nez en l’air, à la recherche d’un chemin praticable à quatre pattes.

Il n’avait pas fait dix mètres qu’il dû de nouveau s’arrêter. Pourquoi avait-il l’impression que quelqu’un courait dans sa directiooooooooooooooooon, oh non. Le gosse à lunette courrait dans sa direction. Il soupira, lâcha son baton et se faufilla dans un buisson de ronces, courant droit devant lui pour lui échapper. Il était rapide ce con ! Et il avait de la chance qu’il soit pas un vrai chien sinon il se serait probablement déjà fait mordre !

Derrière eux résonna une voix qui semblait un peu à bout de souffle.

-ORIS, SI ÇA SE TROUVE RATATOUILLE EST PROTÉGER PAR UN AUTRE GROUPE DE SCIENTIFIQUE. OU NON MIEUX. DES MAGES. T’INQUIÈTE.


Ratatouille ? Qu’est ce qu’il se passait avec ratatouille ? C’était quoi cette histoire de scientifiques là ?
Tournant la tête, il repéra un buisson et se précipita à l’intérieur pour échaper à son assaillant. Il parvint à s’y glisser avant d’être vu et, s’applatissant, resta tapis dans l’ombre alors que le plus petit (Oris?) lui passait devant. Sur ses talons arriva le grand roux et les deux s’arrêtèrent.

-On va juste vérifier que - Fiou, ralentiiiii pitié- Il-Il -ARF J’AI PLUS DE POUMONS- il sache ou il va puis on rentre et… Je… Je ne voudrais pas poser des hypothèses trop hâtives ou insinuer que c’est la panade, mais… Tu sais où on est Oris ? Parce que, hum, j’ai peut-être perdu le fil et, heu je sais pas, peut-être qu’on est un poil paumé ?


Non. Non vous savez très bien où vous êtes et…

Et merde. Vu où ils étaient, ils n’étaient pas loin de la deuxième ceinture et donc… Des pièges. Ils avaient cinq cent mètre de rab avant d’aller marcher dedans… Bordel. Il soupira. Si il les laissaient, ils trouveraient bien le chemin non ? Y’avait un mage vert dans le tas, il était forcément doué dans la forêt ? Non ?

Soyons honnête, il était évident qu’ils allaient courir dans un piège. Ils étaient perdus, c’était évident mais surtout le plus petit était en train de rassembler tout et n’importe quoi pour, je cite « faire un feu ». Pourquoi au grand pourquoi devait-il toujours tomber sur les plus frapadingues quand il interagissait avec des élèves ? Pourquoi ?

Il rampa hors de son buisson avec un air… Dépité sur la gueule. Au revoir petit moment tranquille en tant que chien. Adieu course après un baton à travers les clairières. A plus tard rapports sociaux simples et non-conflictuels.

-Vha a ar là. Y’a gué pièges.

Foutues dents. Il grogna.
Il ne pouvait pas se retransformer sous peine d’être nu devant des élèves et il n’avait vraiment pas envie de ça. Il fallait donc qu’il les guide sans pouvoir parler convenablement. Ca allait être pratique cette histoi…

Non loin, un coup de tonerre retentit et il ferma les yeux en soupirant. On était ce jour là n’est ce pas ? Il rapella les images du planing à lui et oui, on était ce jour là. Il revoyait son aînée arriver dans la salle pour les prévenir qu’un orage était prévu pour… Et bien maintenant. Il bassa les oreilles, d’un air exaspéré et penaud.

-Chuivez oi.


Ils allaient se prendre la saucée du siècle, avec beaucoup de bruit et des possibles éclairs alors autant être à l’abris. Il y avait un cabanon non loin avec sans doute des fringues. Elles seraient probablement trop petites, mais c’était déjà ça de prit.
Il se mit donc en route en direction du cabanon, espérant que les deux zigotos le suivraient sans trop poser de questions...


Bah oui t'es beau !  [PV Philophae, Oris, Démiurge] - FINI Philop20
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Oris Akina
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Oris Akina
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Mer 19 Aoû - 19:45
Courir vide la tête. Mais alors quand on cour avec une tête vide ça la remplie? Négatif. Oris courait comme un dératé et ça lui vidait littéralement l'esprit. Il avait vaguement entendu Bryn derrière lui lui crier un truc. Le "gamin" était trop occupé à poursuivre le pelage noir du chienchien. Ayant perdu sa trace il s’arrêta, frai comme un gardon, attendant un Brynn en sueur.

Ah mince il est parti. Ratatouille! RA-TA-TOUUUUILLE!

Je ne voudrais pas poser des hypothèses trop hâtives ou insinuer que c’est la panade, mais… Tu sais où on est Oris ?

Ben on est dans la forêt.


Il aimait bien ce Brynn. Il faisait des longues phrases alambiqués et élégantes pour pas dire grand chose. Il parlait comme maman quand elle est en "mod avocat activated go ranger ta chambre" mais en beaucoup plus gentil. Et puis c'était rigolo comment les gouttes de sueur faisaient un effet mouvant en roulant le long des taches de rousseur.

Dans tout les cas ils étaient perdu. Le grand rouquin commençait à paniquer en cherchant son téléphone. Oris commenca à amasser des brindilles et des cailloux. C'était trop stylé! Ils allaient devoir survivre comme des sioux.

Il faut faire un feu comme ça on peut nous repérer, ensuite on commence à couper des branches pour faire une espèce de hutte avec des branchages. Il faut qu'on trouve de l'eau douce aussi. Et surtout il faut qu'on se fabriquer une canne à pêche pour survivre. Je pense on peut tenir une semaine en mangeant des framboises. Ça pousse bien dans la forêt les framboises ?


Attend, attend, je pense pas qu'on soit obligé d'en arriver à de la survis en forêt. Peut-être que... marcher pour retrouver la piste serait... plus sur ? Quoique ont pourrais encore se perde.  Je sais paaaas. HAAAA. Tu aurait pas une boussole ? Ou une capacité qui pourrait nous permettre de nous repérer ?

Oris se tourna vers le gentil géant avec de grands yeux. Muet pour une fois. Ne remarquant même pas le chien sortant du buisson.

Mon papy il saurait... Il peut voler en plus. Mais j'ai promis...


Vha a ar là. Y’a gué pièges.


Oris regarda le chien avec des yeux ronds.

KRYNJOLF! LE DOGO IL PARLE! Ya des pièges? Ah mais faut qu'on te suive alors! Vous suive... J'en sait rien.

Oris trottina derrière le grand chien. Tapotant du coude le bassin de Brynn (seul endroit atteignable) il chuchota.

On est sauvé! Si ça se trouve c'est un esprit protecteur des élèves un truc du genre.


Bah oui t'es beau !  [PV Philophae, Oris, Démiurge] - FINI Oris-s10
Merci infiniment à Saphouille pour ce kit Thème du personnage
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Brynjolf Néel
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Brynjolf Néel
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Lun 14 Sep - 11:53

Philophae
M. Andréatus

Brynjolf
Néel

「 Bah oui t'es beau ! 」


Oris avait commencé à réunir de quoi faire un camp, mais… Ahem. Ce n’est peut-être pas la solution non ? À moins qu’il ait de grandes connaissances en survie ? Ce n’est pas mon cas donc je compte sur lui-même si… est-ce qu’un feu c’est une bonne idée avec un ciel aussi gris ? Non vraiment faut qu’on rentre, c’est trop risqué d’être perdu dans la forêt de l’école, surtout s’il va pleuvoir. Oris semble tout à coup beaucoup moins fou lorsqu’il reprend la parole.

« Mon papy il saurait... Il peut voler en plus. Mais j’ai promis... »

Je reste bouche bée quelques instants, pas vraiment sûr de comprendre ce qu’il me dit. Et je n’ose pas formuler des hypothèses, qui pourraient paraître farfelues, alors que le sujet semble lui tenir à cœur.

« Ton papy ? Comment ça, je ne saisis pas trop Oris, c’est un mage qui habite dans la forêt ? »

Les questions qui naissent sur le bord de mes lèvres s’évaporent sans réponse, lorsque le chien ressort. Et nous parle.

« Vha a ar là. Y’a gué pièges.
— KRYNJOLF ! LE DOGO IL PARLE ! Ya des pièges ? Ah, mais faut qu’on te suive alors ! Vous suive... J’en sait rien. »

Oris le comprend, et puisqu’il est certain que mon camarade à lunette n’est pas un mage vert puisque je l'aurais croisé en cours… Manifestement, je ne communique toujours pas avec les animaux. La situation est tellement particulière que je ne suis même pas déçu de ne pas avoir réussie, non l’important c’est d’appréhender correctement ces événements. Il faut supposer que c’est soit un mage transformer, soit un chien magique, mais j’ignore qu’elle hypothèse est la plus probable, il se passe tellement de choses étranges ici. En tout cas je suis soulagé s'il peut nous sortir de là, j'angoissais vraiment d'être coincé. D'autant plus si il y a des pièges !

Un coup de tonnerre gronde au loin. Un frisson d’effroi né du bas de ma colonne et la traverse de haut en bas dans un grésillement désagréable. Ça ne va donc pas qu’être une petite pluie. Je déglutis, un peu inquiet. On verra après, peut-être que grâce au chien on sera rentré avant.

« Chuivez oi. »

J’allonge ma foulé pour suivre le chien en marchant tandis que Oris trottine et me donne des coups de coude volontaire qui me fond sourire.

« On est sauvé ! Si ça se trouve, c’est un esprit protecteur des élèves un truc du genre. »

Un esprit ? Après tout, je n’y avais pas pensé, ça pourrait être possible que ça existe dans les alentours de l’école parmi toutes les créatures qui grouille. Après, on a peut-être… trop regarder de fiction. Oui… Oui vaut mieux demander histoire d’être sûr de ne pas le vexer.

« Peut-être Oris, je ne sais pas. »

J’accélère le pas pour talonner le flanc du chien en lui adressant la parole, il est difficile à déchiffrer à l’arrêt alors je n’imagine pas vraiment comprendre ce qu’il dit si on est derrière lui.

« Excusez-moi monsieur le… monsieur, ou madame, heu, je veux dire, vous… » Je reprends une inspiration laborieuse « Qui êtes-vous ? Vous êtes un mage, un chien, un esprit ? Nous ne sommes pas sûrs et nous ne voudrions pas vous manquer de respect.

— mon'hieur. Et... »

Ok, donc il faut le genré au masculin. Il marqua la pause et je continue d’accélérer le pas.

« huis profh »

Profh comme… PROF ? Je m’immobilise un instant et m’étouffe dans un hoquet de surprise et m’accroche aux épaules de Oris d’un air effrayer lorsqu’il arrive à mon niveau. On a hurlé Ratatouille après un prof, je lui ai jeté un bâton, et-et-et les scientifiques, et tout ! Rien ne va dans ce qu’on a pu dire ou faire. Ma panique sociale me fait même oublier le ciel gris, j’ai tellement honte. Holalalala j’aurais tellement dû me taire, quelle andouille, j’espère que ça va bien se passer et qu'il ne nous en voudras pas ! Rongé de stress, rien d'autres que des excuses n'arrive à s’échapper de ma bouche, si bien que je n'arrive même pas à lui demander si l'on sera rentré à temps tant je suis confus.

« Désolé monsieur, on ne savait pas, on n’aurait pas dû, enfin, pardon ! »


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Philophæ M. Andreatus
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Philophæ M. Andreatus
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Jeu 5 Nov - 22:51
Les deux élèves le suivait, vraisemblablement peu emballés à l'idée de mettre les pieds dans un quelconque piège. Tant mieux. Il avait vraiment la flemme de leur courir après.
Un peu perdus ils émettaient des hypothèses sur son identité, semblant chercher à savoir qui il était. Il soupira.

-Excusez-moi monsieur le… monsieur, ou madame, heu, je veux dire, vous… Qui êtes-vous ? Vous êtes un mage, un chien, un esprit ? Nous ne sommes pas sûrs et nous ne voudrions pas vous manquer de respect.

Sérieusement gamin, mange le ton respect. Il était bien gentil de vouloir respecter ses pronoms mais il aurait aussi simplement pu le laisser partir sans poser de questions ni, littéralement, lui courir après.
Mais bon, comme le dogue était un minimum poli...

-Mon'hieur. Et... huis profh.

Il avait hésité avant de rajouter son métier. Les élèves étaient rarement enchanté de se rendre compte qu'ils avaient lancé un bâton a un prof transformé, ça soulevait souvent énormément de question et de gène (chose qu'il avait d'ailleurs du mal à comprendre). Cette fois-ci ne fit d'ailleurs pas exception.

-Désolé monsieur, on ne savait pas, on n’aurait pas dû, enfin, pardon ! 

Bingo. Le chien l'ignora royalement, continuant son chemin alors que le tonnerre résonnait de nouveau . Dans les branche il y eu une bourrasque et, le nez au vent, il inspira longuement en fermant les yeux. Les odeurs de la forêt se chargeaient d'attente. Il savait que quelque part, probablement debout sur un rocher, Jenny attendait patiemment que l'orage réponde à son appel et vienne abreuver la terre de ses pluies, briser les cimes de son vent et agiter les dormeurs.

Trottinant d'un pas sûr sur la litière végétale, sans un son, il écoutait les murmure de la vie entre deux éclats cacophoniques venant des élèves. Il se frayait chemin, tendu à l'idée de se retrouver prit sous le flot, dans le bruit et sous le feu de la foudre. Pour avoir déjà manqué de se la prendre en patrouille, il ne faisait jamais le fier en cas d'orage.

Les premières gouttes commençaient à tomber quand le cabanon fut enfin en vue. Il avait presque semé les élèves aussi du-il les attendre, assis à côté des battants, incapable de les ouvrir seuls. Il pointa la porte en silence du bout du nez pour qu'ils l'ouvrent et le plus grand s'exécuta.
Il s’ébroua en rentrant à l'intérieur pour se réchauffer. L'habitacle était sombre, entièrement en bois, craquant sous les assauts du vent. Mais c'était un abris fiable et solide.

Dés qu'il fut à l'intérieur il alla ouvrir plusieurs tiroir et placard à la recherche de vêtements. Il ne trouva qu'un pantalon de travail susceptible d'être à sa taille et une couverture dans laquelle il pourrait s'enrouler. Bon.

-Hournez ous.

Il attendit que les deux gosses lui obéissent et se détransforma. Il avait des traces de boue partout sur la tronche et les morceaux d'écorces entre ses dents étaient... Dégueulasse sur sa langue humaine. Il fit la moue, cherchant à chasser les éclats de bois avec sa langue sans grand succès. Il secoua la tête pour chasser la sensation et enfila le futal de secours avant de se tourner vers les gosses en se pinçant les arrêtes du nez.

Attrapant la couverture il se mit en route vers la porte et vérifia qu'elle était bien fermée avant de se diriger vers la radio en s'emmitouflant dedans.

-Allo, ici Andréatus. Vous recevez ?

-Oui Philo, on reçoit. A vous.

-Je suis au cabanon 05 de la ceinture de sécu. J'ai deux élèves avec moi, on est prit par l'orage. On va y rester un moment. A vous.

-Pas de soucis, c'est noté. A vous.

-Rien à ajouter, terminé.

Il replaça le combiner. D'un pas lent il alla ouvrir un placard et en sortit un roman de gare usé. Il alluma le chauffage électrique et se recroquevilla à côté en ouvrant le livre, le tout dans un silence épais. Il ne prêtait plus aucune attention aux élèves. Il était posé, l'orage allait passer, c'était tout ce qui comptait.


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Oris Akina
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Ven 11 Déc - 11:23

Oris avait volontairement esquivé la question sur son papy (merci le dogo). L'idée c'est pas que en parler le mettais mal. Mais ça faisait flipper les gens souvent. Débarquer en mode. "Ouais j'ai déjà discuté avec Richard Nixon mais comme jparle mal anglais j'ai pas tout compris. mais tfaçon c'est lui qu'est venu il devait s'ennuyer. Y'a ptet pas beaucoup de républicain chez les morts." faisait flipper c'est sur.

Changement de sujet. Brynjwolf est vraiment sympa. Déjà il souri quand on lui parle et les gens comme ça c'est des bon gens. Bon par contre il a eu une réaction de panique quand super-dogo à dit qu'il était profh... Oris lui a été déçu. C'était juste un prof. Un prof cool et trop stylé mais ça veut dire que c'est un adulte responsable gnagnagna. Il avait terriblement envie de faire des calin au chien mais c'était un prof.

Et on fait pas de câlin aux profs.

L'orage tonna de nouveau. Oris était vraiment pas rassuré. Sans s'en rendre compte il se rapprocha un peu d'Bryn sur le chemin. Juste assez prêt pour que leurs hanches se touchent. Enfin plutôt la cuisse du grand et les cotes du petit.

Le dogrof (dogo+prof) les amenait à une cabane trop chanmé.

Fallait se tourner... What? Oh... Le prof allait être à poil et du coup fallait pas qu'on regarde. Okay. Oris se tourna vers le mur en bois et attendis. Il tapota ses genoux, ses joues, claqua sa langue, trépigna sur ses pieds et tapota du doigt l'écorce a peine dégrossi du mur. Une minuscule insecte se mis à fuir le séisme de l'index. C'était un bautriche (Bostryche en Orisien). Presque sur. La maman d'Oris aimait bien les insectes et elle lui avait montré comment la maman bautruche creusait des labyrinthe dans les écorce pour pondre des œufs. Après les bébé mangeaient l'écorce et le labyrinthe s’élargissait quand ils grandissaient et pouf! A un moment le tunnel s’arrête sur une petite cheminée ou le bostruche adulte s'envole vers un autre arbre à "décorer". C'était trop ouf que des insectes fassent de l'art. Bon ils le faisait en mangeant huit fois leur poids. Ce qui était encore plus cool!

Lorsque Oris releva la tête du bois ou il était courbé en position gollum depuis au moins cinq minutes il se tourna vers bryn avec un grand sourire. Ils avaient pas fini leur conversation ça le stressait.

Et du coup ouais mon papy c'est un mage. Il est décédé y'a super longtemps je l'ai pas connu. WAH! Mais vous êtes monsieur André Tus?

Comme le prof avait l'air de lire un livre (wtf qui fait ça en plein orage) Oris lui ficha la paix. Il commença à tourner dans la maison en farfouillant un peu partout. Peut être le prof aimait pas parler. Oris se tourna vers Brynn. Il avait tout fouillé il s'ennuyait. Et ce gars avait l'air sympatoche. Il fallait casser le givre (c'est comme ça qu'on dit?). Une musique incessante qu'il mettait en réveil le vendredi recommençait à tourner toute seule dans un coin de sa tête. Du coup Oris essaya d'engager la conversation d'une manière naturelle.

T'aime bien le jus de raisin?


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Brynjolf Néel
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Brynjolf Néel
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Lun 11 Jan - 20:27

Philophae
M. Andréatus

Brynjolf
Néel

「 Bah oui t'es beau ! 」


Le tonnerre hurle de nouveau et une frayeur instinctive me glace un instant et me pousse à fermer les yeux, les mains sur les oreilles. C’était juste le tonnerre. Lentement je retire mes mains de mon crâne, honteux d'être toujours aussi effrayé par les bruits brusques, fort. Une crainte traduite par un frisson électrique traverse la colonne. Fugace, mais présente. Tout va bien. Il ne pleut pas encore. Les nuages sont en stase. On souffle.

J’en ai presque oublié la conversation précédente, c’est vrai, le prof, il nous mène en lieu sûr. Oris n’a pas l’air serein lui non plus et se colle à mon flanc. Je ne le connais pas énormément, mais un contact humain amical n’est pas de trop. Les courbes ocres d’un petit cabanon se dessine sur le tableau gris et vert du paysage, et j’ouvre la porte lorsque le ch-prof m’en indique la poignée. J’imagine bien que ça doit être très inconfortable avec une gueule canine. Je veux dire, le concept de porte.

L’abri est obscur et a le profil type des nids de secours en cas de tempête en montagne dans les films de drame. C’est peu rassurant, mais toujours plus que d’être dehors. Le chien attrape quelques vêtements et nous demande de nous tourner, probablement pour des questions de transformation. Je m’exécute en maltraitant le bas de mon T-shirt sous les assauts du stress, tendant l’oreille pour recueillir le moindre bruit de battement aqueux sur le sol. Heureusement toute ma bibliothèque sonore fut bientôt remplie par des tapotements, des claquements de langue et compagnie. Je jette un coup d’œil à Oris et remarque qu’il observe des insectes dans l’écorce. Sourire fugace. Peut-être un grand amoureux de la nature ?

Le professeur semblait être ok puisqu’il est allé vérifier la porte et... OH. CE PROFESSEUR-LÀ. Enfin je ne l’ai pas eu en cours, mais je me souviens l’avoir croisé dans les couloirs. Il est quand même plutôt… mémorable et... intimidant ? Oui, intimidant. Très.

Lorsqu’il transmet des informations radiophoniques à ce qu’on peut supposer être la sécurité, je reste sur place comme un imbécile à hésiter à aller lui parler et lui poser des questions sur les dispositions actuelles, histoire d’avoir de quoi éviter d’inventer les pires scénarios. Mais pour une raison pas si obscure que ça, son « Rien à ajouter, terminé » semble presque répondre d’avance à toute tentative de communication, et effectivement il part bouquiner.

Je scrute la cabane pour m’occuper et y observe de petits détails, comme des restes d’effort de décoration pour rendre l’endroit un poil plus accueillant, pas forcément réussie. Je remarque aussi heu… Oris. Qui me sourit en accroupie et penché sur le sol. Accroupenché ? Bonjour Oris ? Je ne sais pas s’il veut pas dire quelque chose ou paaas.

« Et du coup ouais mon papy c’est pas un mage. Il est décédé y’a super longtemps je l’ai pas connu. »

Je cligne rapidement des yeux. Il est mort sans qu’il l’ai connu et… il voulait lui parler ? Oh… ça doit être sa magie.

« Oh ! Je suis vraiment désolé si…
— WAH ! Mais vous êtes monsieur André Tus ? »

J’ai… une petite voix. Mais ce n’est pas plus mal, je vais éviter de poursuivre le sujet ça pourrait le stresser. On va plutôt le laisser parler à… André c’est ça ? Non monsieur Tus c’est plus correct. Ou alors ne pas l’appeler c’est plus correct.

J’attrape un bouchon de liège et une sorte de reste de fil de fer pour creuser le plat du capuchon avec la pointe.

« T’aime bien le jus de raisin ? »

Pour changer : je sursaute. Pour ma défense il est réapparu si vite dans mon champ de vision qu’on aurait dit un screameur. Adorable screamer, mais screamer quand même. Sa question à la fois absurde et adorable me donne le sourire.

« J’adore le jus de raisin ! Comment tu as deviné ?
— Trop cool ! On est d’accord c’est LE jus. J’pourrais en boire pleeeein je s’rai jamais soulé. »

Non vraiment, c'est un petit rayon de soleil. Il est charmant et drôle, quitte à devoir être enfermé avec un autre élève pendant l’orage je suis content que ça me permette de faire une chouette rencontre occasionnelle.

« C’est avec le vin qu’on est saoulé Oris, pas le jus de raisin, c’est ça le secret !

— Ouais il paraît c’est drôle, mais faut faire gaffe. Après t’oublies ou t’habites et tout.
— C’est vrai, le jus de raisin pas de risque, juste du bonheur ! »

Continuant à essayer de graver une rose dans le bouchon de liège avec le fer, on se met à parler. Beaucoup parler. De jus de raisin. Oui, on dérive sur les procéder de fabrication qui permette d’obtenir plus de gout, les méthodes des producteurs chez qui on a déjà pris du jus de raisin, bref, on en parle tellement que je ne pense même plus au bruit des gouttes d’eau qui abreuve la terre et percute le toit.
Jusqu’à ce que la poignée se tourne.
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Démiurge
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Mer 27 Jan - 22:58

Sous ses pas ou même l'humus craquait, iel avançait. La pluie, goutte après goutte, s'était chargée d'alourdir ses ailles-vitrail et iel avait la flemme d'aller contre. Soit. La tempête voulait lae garder au sol ? Qu'il en soit ainsi.

Iel n'était pas um danceureuse mais um combatante. Pour autant son pas était léger sur la litière forestière, suivant un rythme qu'iel seule pouvait entendre. C'était un rythme calme et profond, joyeux, celui des battements de son cœur entraîné et lourd. Un pas après l'autre, une chanson dans la tête, iel avançait vers sa destination : un abris. Chaque goutte tombant sur ellui l’alourdissait délicieusement tandis que la forêt ramenaient des souvenirs obscurs et enfouis. L'odeur de la poudre et le goût du sang. Le poids des larmes, la poisse chaude sur les mains. Le regard de ses parents. La première apparition de l'Ancêtre.
Strictement rien à regretter en sommes. Sauf peut être le son de leurs flûtes chantant le vent leurs mélodies étranges.

Mais là n'était pas le sujet. Le sujet était que le bois était très agréable, même sous la pluie. Surtout sous la pluie Le tonnerre était de plus en plus proche, puissant, grisant.
Il lui disait qu'iel n'était rien et iel riait de cet élément qui se pensait supérieur tout en laissant ses enfants éclairs être irrémédiablement leurrés par les paratonnerres.
Rien qui ne lae tuait pas n'était puissant.
Donc, pour l'instant, rien en dehors d'ellui ne l'était.

Iel fini par arriver au cabanon qu'iel visait. La lumière était allumée. Iel ne serrait pas seule.

Iel ouvrit la porte sur un petit groupe de trois personnes dont Andréatus. Se dernier se leva dés qu'il l'aperçu, se mettant au garde à vous. En plus de lui se trouvaient là deux jeune gens, probablement des élèves.

-Repos, repos.

Iel devait avoir une sacrée dégaine... En treillis et blouson trempés, les ailles traînant derrière ellui drainant de l'eau de partout. Toujours un sourire amusé en coin, iel secoua ses cheveux alors que le colosse se rasseyait. Puis iel se débarrassa de son blouson, se retrouvant en débardeur.

-Dites vous deux, dit-iel en s'adressant aux élèves, y'a pas de miroir ici, vous voulez bien me dire ce que j'ai entre les ailes ? C'est désagréable.

Iel ne pouvait pas le voir mais à travers les vêtements même perçait une plaque de verre bleue, poussant depuis sa chair vers l'extérieur. Un fragment de quasiment vingt centimètres à l'apparence tranchant qui faisait perler du sang du bord de la plaie qu'il avait ouvert.

-Ca fait pas super mal mais ça démange, de dieu.

Iel avait toujours eu un peu de mal à évaluer ce qui était douloureux ou pas et c'en était une énième preuve.

Démiurge, maître du Jeu
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Philophæ M. Andreatus
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Philophæ M. Andreatus
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Ven 29 Jan - 14:32
Les deux élèves parlaient. Non, vous avez pas compris.
Ils. Parlaient. Sans s'arrêter. Juste pour parler, pour combler le silence et pas pour dire quoi que ce soit d’intéressant.
Et c'était insupportable.

De quoi parlaient-il ? De jus de raisin. Qui parle de jus de raisin pendant... Trop longtemps ? Absolument personne. Le jus de raisin on le sert puis on le bois, personne ne disserte dessus.

Il essayait de se plonger dans son roman mais vu la qualité de l'ouvrage, il n'était pas d'une grande aide. Là, James l'américain tenait Maria par la taille et tentait de la convaincre de laisser son père qui avait trahi son meilleur ami pour une affaire d'héritage qui ne tenait pas debout. C'était... Ennuyant. Et ridicule. Et...

Les deux en était à se poser la question de s'il y avait des crus de jus de raisin. Philophae passa sa main sur son visage d'un air désespéré : fallait-il vraiment qu'il soit coincé avec ces deux là ? Ce jour là ? A un moment où sortir voulait dire être trempé ? Il fallait bien se rendre compte que oui, mais vraiment, parfois, il se demandait ce qu'il avait fait et à qui pour se retrouver dans ce genre de situations.

Plongé dans ses réflexions bougonne, il aperçu du coin de l’œil la poignée de porte bouger avant de voir lae commandante Orlov. Le chien se leva aussitôt, se mettant au garde à vous.

-Repos, repos.

Il ne se fit pas prier et se rassit, se replongeant dans sa lecture. Il n'avait pas vraiment envie de parler et lae commandant des brigades aériennes était pas toujours la personne avec laquelle la communication était la plus simple. Notamment parce que, ne nous mentons pas, iel était un peu frappée mais surtout parce que qu'iel parlait fort, vite et avait beaucoup trop d'énergie pour ce monde.

-Dites vous deux, dit-iel en s'adressant aux élèves, y'a pas de miroir ici, vous voulez bien me dire ce que j'ai entre les ailes ? C'est désagréable. Ca fait pas super mal mais ça démange, de dieu.

Philophae releva un sourcil et remonta doucement la tête et QU'EST CE QUE C'ETAIT QUE CA !? Il reposa son livre, se levant pour s'approche de saon commandant.

-Vous avez un morceau de verre planté dans le... Qui pousse dans votre... Bougez pas.


Il fit demi tours, allant directement chercher de quoi désinfecter. Yuri était décidément intenable.


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Oris Akina
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Sam 6 Fév - 19:50
Honnêtement l'orage a beau tonner la pluie tomber comme un folle ben Oris n'est pas pour le moins stressé. Pourquoi? Parce qu'il vient de tomber sur une personne super sympathoche et vraiment calée en jus de raisin. Brinlowf a l'air d'être un gars un peu plus que juste sympa m'voyez? Il parle d'un sujet sans le juger. Il taille une rosace dans un bouchon, preuve manifeste de goût again. C'est quelqu’un avec qui Oris est parvenu à se poser en tailleur par terre et a discuter tranquillement. Comment Ava elle serait trop fier de lui. Habituellement il a du mal a ne pas aller faire des gaufres ou ouvrir une BD pendant une page de chargement sur pokémon (ouais elles sont courtes t'as compris l'astuce). Du coup l'idée c'est que ce petit... grand avec sa bouille sympa et ses si jolies taches de rousseurs, Oris a vraiment envie de le garder pas loin, c'est un type vachement sympa. Mais dans ce cas faut faire quoi? Comment ils font les gens normaux pour garder un contact? Oris pris son courage à deux doigt (il est ptit donc c'est plus facile qu'à deux mains).

Hé euh... ça te dit on continue a se croiser pour parler de trucs sympa? Stadir pas juste en se voyant pendant les orage... Fin jveu dire... T'as un numéro de téléphone? Ou un mail comme ma tatie si jamais.

Oh heu bien sûr pas de soucis ! Ça me ferais plaisir qu'on puisse se revoir !

Le rouquin tapota ses poches de veste, de Jean avant de faire une tête triste. Il a pas sa machine a candy crush, dommage.

Je... Le connais pas par cœur, les chiffres et tout c'est compliqué haha. Heu tu as de quoi noter mon mail ?

Oris sortit son Wiko F300 à clapet. Il ouvrit l'onglet contact. Il en avait cinq. Apparemment c'est maigre samer comme contact. Ava, Papa, Maman, la maison, le mail de tatie Monique.

Roule! J'écoute.

Tu notes ? OK alors brynjolf.neel@gmail.com.


Il réfléchit un instant

Tu habites au dortoir Oris ? Je demande au cas où ils pleuve encore même si l'orage est terminé... J'habite pas loin doooonc.. mais c'est si tu veux venir hein !

Oris répondit évasivement, trop occupé à savoir si ça s'écrivait Brinnjolfe ou Brynjaulf. Il releva la tête avec un désarmant sourire.

Euh ouais chui en colloc avec ma sœur. mais j'ai rien de prévu cette aprem. Grave chaud pour la passer avec toi! Au fait t'aime bien aussi le...

L'info des penchants pour le gouda ne nous sera jamais révélée. Par la porte venait d'entrer un ange de lumière de fifou. Ouais c'est compliqué de décrire ce truc autrement. Oris se leva, la bouche grande ouverte de stupeur. Les yeux se perdant dans les milles détails des ailes dégoulinantes de pluie. Il avait une furieuse envie de toucher. De voir de quoi c'était fait, de prendre des mesure pour dessiner un costume grandeur nature et peindre les milles facettes colorées. Ah... Il avait un truc qui le démangeait? Oris osa un truc.

Vous êtes troooooop magnifique Monsieudame.

Le prof s'était levé pour aider. Oris se senti soudain hyper intimidé. Genre il allait pouvoir aider un ange? Il parti en courant fouiller les tiroirs et placards.

Si vous êtes blessé il vous faut du sucre. Un truc pour tenir et a manger des bonnes choses. Jtrouve rien... Y'a ptet une trousse de secours dans un coin non? C'est pas un peu comme une cachette de survie ici? Brynnj.. Jpeu t'appeler Brynn? Je trouve ça plus amical. Tu peut m'aider a chercher des trucs qui redonne des pv?


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Brynjolf Néel
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Brynjolf Néel
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Dim 7 Fév - 22:36

Philophae
M. Andréatus

Brynjolf
Néel

「 Bah oui t'es beau ! 」


Oris est… un chaton. Non, mais pas que l’expression qui désigne les personnes beaucoup trop chou. Littéralement un chaton. Avec la bouille que ça implique, l’adorablitude, et le taux d’énergie. Mais connaissances sur le jus de raisin en plus.

Je n'ai pas l’habitude de parler autant, généralement j’écoute les autres, je leur réponds, mais je suis rarement « Actif » dans les conversations. Alors… c’est étonnant, mais agréable, d’être suffisamment à l’aise pour que cette interaction ait les allures d’un véritable échange. Et puis… il est vraiment le type de personne à être une petite lumière de bonne humeur dans la vie des autres.

Ainsi, lorsqu’il me demande si l’on peut se recontacter, c’est avec plaisir que je lui affirme que oui. Cent fois oui, ça serait tellement dommage de ne plus trop se croiser.

Problème : j’ai évidemment encore perdu mon téléphone je ne sais où. Solution : Puisque visiblement beaucoup de personnes caricaturent mon style de vie en style de grand-mère, il est temps d’assumer et d’embraser pleinement cette voie des pulls en laines et des petits gâteaux en donnant mon mail a quelqu’un pour garder contact.

Ceci étant dit… J’imagine que lorsque l’orage va se calmer, un peu de pluie n’empêchera pas les autres de commencer à rentrer. De mon côté je verrais, j’espère ne pas rester coincé ici trop longtemps…

Dans tous les cas, l’idée est que le chalet est au maximum à une dizaine de minutes d’ici, je pense. L’école est… plus loin. Donc peut-être qu’il pourrait être sympa de proposer à Oris de se poser à un endroit accueillant, proche, avec de quoi récupérer des affaires imperméables au besoin. Et puis on pourra continuer à discuter !

Ça requiert un peu de courage de lui demander, mais il accepte, mais je n’ai pas le loisir d’écouter la fin de sa phrase qu’on se retrouve couper. Par...

Wouaw.

Je.

Wouaw.

Je n’avais jamais vu quelqu’un comme ça. Une peau bleutée, des cheveux orange, d’immenses ailes en vitrail dans son dos. Dire de quelqu’un qu’iel a l’air d’une œuvre d’art est, j’imagine, étrange ou cliché et pourtant je n’arriverais pas à formuler autrement.

ATTENDEZ. Pourquoi monsieur Tus se lève ? Il faut qu’on se lève aussi ? Mais la personne dit repos donc on ne se lève pas ? Si un professeur se lève, c’est forcément quelqu’un d’important. D’autant que j’ignore de qui il s’agit, mais iel dégage quelque chose d’au moins aussi intimidant que le géant.

« Je… heu… Bonjour. »

Mes marmonnements se sont probablement évanouis avant de rencontrer un quelconque tympan, et je secoue la tête pour fixer le sol. C’est malpoli de regarder les gens, et je n’aime pas quand les autres le font avec moi alors… Il faut que j’arrête de lae dévisagé, même si je suis surpris.

L’ange nous demande une petite aide, vis-à-vis de son dos, et je bondis en arrière. ARG QU’EST-CE QUE C’EST ? Ça doit faire terriblement mal ! Je… Comment peut-iel rester aussi calme ? Ça a l’air… d’être de la même matière que ses ailes, mais….

Je mets mes mains sur ma tête d’un air choqué tandis que le morphiste parle de plaque de verre dans le dos et part chercher du désinfectant avec… calme.

Oui, reste calme, la panique ne mène à rien.

J’inspire, j’expire, mais ne parviens pas vraiment à trier les informations avec le débit de parole de Oris. Trousse de secours, oui. Antiseptique en cours de recherche.

Il me pose une question et j’hoche la tête pour le surnom « Brynn ». Je ne vois pas trop de quoi il parle par la suite… Je… heu, je verrais après. Il faut que je demande quelque chose à la personne, avant. Courage. Aller, je peux le faire.

« E-E-Excusez-moi. » On inspire « Monsieur Tus a été chercher du désinfectant, mais la blessure a l’air vraiment heu, douloureuse. »

Enfin, d’apparence. Parce qu’iel parler de démangeaison. Or... une "démangeaison" c’est des piqures de moustique. Pas des plaques de verre dans le dos normalement.

« Alors, heu, est-ce que vous voulez que l’on cherche des antidouleurs ? »

Je reste interdit un instant, la vue de la plaie commencer à être un tout petit peu plus supportable. Le professeur avait parlé de morceau de verre qui « pousse », et non « planté ». La matière ressemble à celle de ses ailes. Hmm.

« Vou-vous pensez que ce sont d’autres, heu, comme des ailes ? Vous vous souvenez de ce qui vous avez soulagé.e si vos premières ailes ont poussé elle aussi ? »

Oh non. C’est terriblement indiscret. Je savais qu’il y avait des mages avec des ailes, des mages avec corps très différents que celui que l’on connaît à l’humain de base. Mais j’en ai si peu croisé… Je n’ai aucune idée de si c’est de naissance, ou en grandissant, si c’est de la transformation, une modification des corps… J'aurait du suivre les cours mais c'est difficile pour moi. Je me doute cependant, que dépendamment des gens ca peut être un sujet délicat !

« Je suis désolé, c’est peut-être très malvenu de demander ça, je voulais juste avoir connaissance des gestes a appliqué… »

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Philophæ M. Andreatus
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Philophæ M. Andreatus
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Sam 6 Mar - 22:25
Philophae avait envie d'emplatrer le plus petit des deux. Il parlait fort, vite, pour ne rien dire. Comme un Saphirre sous coke, le cerveau en moins. Et vu la tronche du cerveau de Saphirre, il aurait jamais cru ça possible.

Toujours était-il qu'il fallait du désinfectant et de quoi bander. Le chien se dirigea vers la pharmacie du cabanon, fouilla dedans et attrapa ce qu'il lui fallait. Quand il revint sur ses pas, lae commandant.e écoutait attentivement le rouquin, un sourire aiguisé accroché aux lèvres.

-...comme des ailes ? Vous vous souvenez de ce qui vous avez soulagé.e si vos premières elles ont poussé elle aussi ? Je suis désolé, c’est peut-être très malvenu de demander ça, je voulais juste avoir connaissance des gestes a appliqué… 


On était face à un apprenti médic ? Vu la tronche qu'il tirait en regardant la plaie, le dogue n'aurait pas parié la dessus. Soit ça, soit il était effectivement très indiscret.

-Aller Bambi, bouge.


C'était pas très sympa mais l'autre débiles avait eut raison de sa patience.

-Commandante, est-ce que vous pouvez vous tourner et dénuder complètement votre épaule s'il vous plait ?


Iel sourit, s’exécutant regardant le rouquin d'un air de fouine. Yuri était... Bizare. Vraiment. De toustes les commandant.es iel était cellui que le patrouilleur parvenait le moins à cerner, c'était dire. Sa manière de regarder le gosse était pas vraiment menaçante mais elle était fourbe. Son sourire semblait dire : tu ne veux pas la réponse à cette question. Ce qui tombait bien : vu les rumeurs, Philo n'avait aucune envie de le savoir.
-Le secret, rouquin, c'est de s'être déjà prit une balle pas loin d'un nerf. A côté de ça, tout à l'air d'une caresse. Donc oui. Ca gratte. Ne t'inquiète pas, je voulais simplement savoir à quoi ça ressemblait parce que j'ai pas des yeux dans le dos, mais je pense que le Monsieur Tus est bien plus à même de gérer la situation.

Philophae se désinfecta les mains, grognant à l'utilisation de Monsieur Tus et commença à s'occuper de la blessure avec soin et attention. Au fur et à mesure de son labeur, il entendait la pluie se calme, la tempête passer. Jenny venait de finir son office apparemment.

-C'bon.


Il alla jeter les compresses et se lava de nouveau les mains. L'autre souriait, l'air satisfait.e d'ellui même comme s'iel venait de faire une bonne blague. Evidement, comme d'habitude. Être blessae lae faisait rire, alors quand c'était causé par sa propre magie c'était encore plus drole.

Iel était vraiment beaucoup trop frappae, même pour Philo.


Bah oui t'es beau !  [PV Philophae, Oris, Démiurge] - FINI Philop20
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Démiurge
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Sam 6 Mar - 22:31

Le premier à l'ouvrir pour lui répondre fut un espèce de petit zébulon frisé, et pour dire un compliment.

-Je… heu… Bonjour. 


Bonjour à toi aussi pauvre chaton. Il avait l'air terrifié alors que Yuri avait encore à peine parlé... Ca l’attrista un peu. Pour une fois que son intention n'était pas de paraître terrifiant de prime abord.

-Vous êtes troooooop magnifique Monsieudame.


Bien évidement. Yuri était très fier de son apparence et du contraste que celle ci présentait par rapport à son attitude. C'était probablement son pire orgueil mais aussi le plus délicieux. Iel sourit donc au bambin, d'un air satisfait et noble.

-Vous avez un morceau de verre planté dans le... Qui pousse dans votre... Bougez pas.


Très bien, très bien, iel n'avait pas l'intention de s'en aller. En tout cas pas immédiatement, surtout si iel avait un truc planté dans le quipous'danvot'. La sécurité avant tout n'est ce pas !

-Si vous êtes blessé il vous faut du sucre. Un truc pour tenir et a manger des bonnes choses. Jtrouve rien... Y'a ptet une trousse de secours dans un coin non? C'est pas un peu comme une cachette de survie ici? Brynnj.. Jpeu t'appeler Brynn? Je trouve ça plus amical. Tu peut m'aider a chercher des trucs qui redonne des pv?


Nous avions donc Philophae Andréatus, Bryn et hyperactif numéro 2, Yuri se comptant comme hyperactifve numéro 1. Bien. Avoir une idée des noms de chacun était tout de même la base des politesses. Iel se tourna vers la grande perche qui semblait prêt à s'arracher les cheveux. Pâle au possible, sa blessure avait l'air de le contrarier bien plus qu'elle ne contrariait Yuri.

-E-E-Excusez-moi. 


Son état était... Incroyablement comique. Il avait l'air sur le point de perdre ses moyens entièrement, incapable de faire face à la plaie. Discrètement, Yuri s'amusait à faire jouer les muscles de son omoplate pour que l'entaille saigne un peu plus, histoire de voir quelle nouvelle couleur prendrait son interlocuteur lorsqu'il le remarquerait.

-Monsieur Tus a été chercher du désinfectant, mais la blessure a l’air vraiment heu, douloureuse


Monsieur Tus ? Lae commandant pouffa. C'était un surnom parfait pour Philophae ça, monsieur Tus. Merci, Ô inocent petit ange de lui avoir donné une telle arme de moquerie. Quand à la douleur... Pas particulièrement. C'était vraiment léger, iel avait connu bien pire. Bien pire du type : sur une échelle de 1 à 10 ton cerveau grille et à part hurler tu fais rien. Alors ça... C'était un 3 : bien plus drôle que désagréable.

-Alors, heu, est-ce que vous voulez que l’on cherche des antidouleurs ? 


-C'est pas la peine.

-Vou-vous pensez que ce sont d’autres, heu, comme des ailes ? Vous vous souvenez de ce qui vous avez soulagé.e si vos premières ailes ont poussé elle aussi ?


Le visage de lae commandante afficha un « aaaaaw » silencieux. Il était vraiment adorable. Un peu plus et il lui aurait donné mal au cœur à force de sucre. Franchement, qui avait laissé un chaton pareil foutre un pied à Leoska ? Il fallait le rapatrier ailleurs avant que les gens comme ellui ne vienne mettre des coup de pieds dans son innocence.

-Je suis désolé, c’est peut-être très malvenu de demander ça, je voulais juste avoir connaissance des gestes a appliqué… 

De nouveau Yuri retint une onomatopée infantilisante mais presque irrésistible. Mais que faisait ce bout de chou ici ? Franchement...

-Aller Bambi, bouge. Commandante, est-ce que vous pouvez vous tourner et dénuder complètement votre épaule s'il vous plait ?


Aaaaaaah Monsieur Tus reprenait les choses en main. Yuri retint une remarque très peu professionnelle à base de : oh oui, Monsieur Tus, pour vous je dénude n'importe quoi. Ca aurait été drôle mais après il aurait fallu essuyer les foudres de Safi et iel avait franchement la flemme. AU lieu de ça, iel s'exécuta. Un instant, iel croisa le regard un peu perdu de « Bryn » et lui sourit. Iel avait un peu envie de le titiller, de piquer son innocence avec aiguille de sa réalité. Peut être que ça permettrait aussi de conclure sur la dites innocence.

-Le secret, rouquin, c'est de s'être déjà prit une balle pas loin d'un nerf. A côté de ça, tout à l'air d'une caresse. Donc oui. Ca gratte. Ne t'inquiète pas, je voulais simplement savoir à quoi ça ressemblait parce que j'ai pas des yeux dans le dos, mais je pense que le Monsieur Tus est bien plus à même de gérer la situation.

Le surnom fait grogner l’intéressé qui commença doucement son œuvre. La pluie de dehors se calmait et Yuri inspira grandement. Iel allait avoir une deuxième paire d'ailes ! Si c'était pas merveilleux.

-C'bon.

Iel se redressa, parfaitement satisfaite de ce moment. Dans une demie heure la pluie aurait probablement cessé et iel pourrait repartir tranquillement. En attendant, iel alla s'asseoir, passant sur la pièce un regard félin.


-Hey, Hyperactif numéro deux, une bataille navale, ça te tente ?

Quite à avoir une demie heure à tuer, autant en profiter.
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Oris Akina
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Dim 4 Avr - 23:19
Nan mais y'a rien. Genre rien. Oris a fouillé dans les placards et sous le lit. Retourné le matelas et regardé dans une taie d’oreiller. Il avait même feuilleté le livre de Monsieur Gratus en décornant la page cornée (C'est pas beau et ça abime les livres. Papa disait "Faire ça à un livre c'est du travail de sagouin. Tu aimerais que je corne le bout d'Oris où j'ai arrêté de te chatouiller?") Au milieu de sa recherche dans le livre il s'est rappelé qu'il cherchait un truc gros. Fin qui tient pas dans un livre... ni dans une taie.... C'était quoi déjà? Mince. C'est nul quand ça lui arrive. Genre il descend à la cave, et paf l'ardoise! (la tuile) Il se souvient plus de ce qu'il est v'nu chercher. Du coup il mange des madeleines en planquant les emballages derrière le frigo et il appelle sa mère dans l'escalier pour qu'elle lui rappelle ce qu'il faut qu'il monte. Fin ça c’était avant mais now faut se concentrager sur un truc et quand on sait plus ce que c'est ben c'est pas évident. Heureusement le grand prof/dogo/joueur de basket/Type baraque dans Overwatch a l'air de prendre les choses en main avec la... TROUSSE DE SECOURS MAIS OUI ENFIN VOYONS ORIS! Le frisé s'autorisa un mini facepalm. Il en faisait pas à chaque fois, paraît qu'au bout de trois par heure ça fiche des migraines.

Monsieur si vous avez besoin j'ai des ptites mains qui passent partout.

La syntaxe Oris! La syntaxe! Ah non ça va en fait. Le prof a l'air de gérer. Il l'a appelé Bambi ça doit être un compliment vu que c'est un faon.Il doit être champion de top chirurgie. Vous connaissez pas? Regardez Golden Moustache bande de

je vous aime hein mais bon. D'ailleurs coté Bambi on dit fan ou faon?

Bref. Le grand monsieur a l'air de gérer la blessure, Oris se retrouve donc comme un poireau à poireauter en se balançant d'avant en arrière. Faisant claquer ses mains contres ses cuisses avec des bruits de pets avec les joues. D'un coup il remarqua le visage pâle de Grignolf. Enfin plus pâle que d'habitude quoi. Ses tâches de rousseurs virent au jaune impérial là. Faut faire kékechose nan? L'archange vitraillé.e voulait jouer à la bataille navale et genre Oris est hyper tenté c'est trop marrant mais là Brignoche va pas bien donc faut faire un truc.

C'est vraiment super gentil! En plus la bataille navale c'est plus marrant à deux. J'ai essayé tout seul mais on sait déjà où sont les bateaux adverses si on les mets. Et si on les mets pas... Ben y'a pas de bateaux. Une autre fois peut-être? Je doit aller... Ouais.

Le frisé s'approcha donc de monsieur le prof de... De quoi d’ailleurs? Oris le regarda de loin avant de réfléchir une nanoseconde et de se faire secouer par son cerveau.

Nan mais Orisson réveille toi! Il s'est transformé en dogo sous tes yeux, c'est un prof mage rouge donc de magie rouge.

T'en sait quoi d'abord? Si ça se trouve il est juste hyper doué et en fait il est prof théorique de magie verte car il a une thèse en cycle de l'eau ou chaipa. En plus je l'ai vu se dé-transformer! Nuance.

Tu m'énerve. Va gérer ton pote moi je me met en veille.

Oris tapota l'épaule le bras de monsieur Dratus qui se lavait les mains.

Monsieur. Mon copain là il va pas très bien à cause du dos de monsieurdame là bas donc je vais le poser dans le lit. J'ai la situation en main vous pouvez continuer à lire. Il est bien votre livre au fait?

Il entendra bien sa réponse en s’éloignant vers Brynn nan? Il posa doucement sa main minuscule sur le point le plus haut atteignable, le biceps. Pourquoi ils sont tous grands là? Mangez de la soupe qu'ils disent. Vous vous cognerez mieux aux portes vous verrez c'est fun. Au moins vous respirerez pas les prout des gens dans la queue du self.

Coucou Brynn. Vient on va se poser sur le lit.

Comme le grand Norvésuédiein dit oui de la tête, Oris l’accompagna par la main jusqu'au lit, à l’autre bout, de la cabane avant de le poser doucement dessus. On fait un suhsiplaid comme avec Ava? Houston on va manquer d'algue. Ne sachant pas trop quoi faire pour qu'il aille mieux, le mage blanc fit comme avec sa sœur dans ses crises. Objectif changeage d'idée. Il s'allongea à coté. Vous voyez la scène avec Shifu et Po qui se reposent à la fin de kung fu panda? Niveau échelle on est dans l'idée ouais.

Détends tes jambes et regardes les poutres. C'est rigolo comme nom poutre. C'est le bruit que ça fait quand on les scies? poutre poutre poutre nan je crois pas en fait. Bref. Tu choisi une veine du bois d'un coté et moi de l'autre et logiquement on se rejoint. Je prend à gauche. Là où t'as le pouce à droite.

Honnêtement ce truc ne marche pas. Faut juste occuper Brynj.. Binkj... Brynn. Et ça marche. Le grand lui pointe une ligne de son long bras deux fois plus grand que celui d'Oris. Il commence à sourire doucement. Évidement au bout d'un moment les deux bras se croisent et s’emmêlent sans logique. En même temps ça a l'air d'être du châtaigné. C'est veineux comme the Rock. Le gamin se tourna vers son nouveau pote avec un big sourire.

Oups. T'as bien la ligne avec la fente qui ressemble à une licorne sans cornes?

J'aurais dit un furet de profil.

Il parle! Cooool! L'Oris-thérapie fonctionne! En plus il lui rend un sourire hyper encourageant. Alors évidement faut surenchérir.

Attend... Tu parle de la cuvette de toilette avec un smiley?


Tu arrives a voir des choses aussi détaillé dans une poutre ? Oooh. J'aurais plus dit... une sorte de gros œil.

Le concept des dessins dans le bois c'est que personne voit les mêmes. C'est sa pysco.. psycoh... psychomorit... La dame qui lui a appris a jongler qui lui avait dit.

Ouais c'est l'idée. Juste toi c'est plus poétique. T'aime bien être poétique?

Wah paye ta question. En même temps c'est pas si bête (si).

Je heu, je sais pas. Je pense que oui ? J'aime bien réfléchir aux choses et à leurs formes en tout cas... Enfin ça ne fait pas forcément sens dit comme ça.

Le sens dans les phrase c'est comme le sel dans les plats. On en met trop.


Bingo le grand rigole doucement. Un rire trop chou avec sa voix un peu grave. Pourquoi Oris il avait pas une super voit grave? Ah oui c'est vrai.. Le coffre toussa.

De fil en bobine le temps passe et les deux commencent à parler d'un peu de tout. De quel coté on conduit en Norvège. Si la maison du père Noël est vraiment là bas. Pourquoi les rennes sont que dans le grand Nord. Dit des mots en Norvégien pour voir? Oui bon vous l'aurez compris c'est principalement Oris qui tient le crachoir. Il écoute néanmoins Brynn avec de grands yeux curieux et attentifs comme rarement ils l'ont été. Ce futur pote va ptet devenir un futur copain. Il a l'air vraiment super gentil. Et les gens super gentils méritent de trainer ensemble non?

Brynn... Écoutes...

Mmmh?

A pu les gouttes!

Oris se redressa d'un bon et couru vers la fenêtre. La pluie venait de cesser. Il trépigna d'impatience en attendant que le grand rouquin soit prêt. Le frisé se tourna vers les deux vrais adultes.

Monsieurdame c'est au plaisir de vous revoir sur terre! Monsieur vous êtes vraiment quelqu’un de super gentil pour nous avoir aidé et vous êtes su-perbe en chien et encore merci pour tout j'espère qu'on se reverra!

Ouais l’absence de pluie ça casse la timidité cherchez pas. Le grand poil de carotte s'était levé pour regarder par la fenêtre lui aussi. Il se mis à soupirer vraiment soulagé.

Ouuuf... C'est... Rassurant ? Tu... Enfin je vais rentrer, tu voudrais toujours venir chez moi?"

Haha Bien sur! On se débarasse pas d'Oris comme ça. T'es prêt à me montrer ta cabane? Ça a l'air beaucoup trop cool pour ce monde. C'est dans quelle direction?

A peine un doigt pointé que le mage blanc s'élançait déjà à fond. Bien sur il faisait attention a ce que Brynn suive le mouvement? Il revenait en arrière toutes les deux minutes pour demander l'itinéraire aussi. Mais il était tellement excité à l'idée d'avoir trouvé une pépite de pote qu'il ne tenait plus en place. Enfin... Encore moins que d'habitude.

Le plus marrant c'est que Oris ne s'était pas encore rendu compte que, grâce à un dogo-prof, il venait de rencontrer son meilleur ami. Et que c'était parti pour durer aussi longtemps que la durée se mesure.


Bah oui t'es beau !  [PV Philophae, Oris, Démiurge] - FINI Oris-s10
Merci infiniment à Saphouille pour ce kit Thème du personnage
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Brynjolf Néel
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Brynjolf Néel
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Lun 5 Avr - 12:45

Philophae
M. Andréatus

Brynjolf
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「 Bah oui t'es beau ! 」


Je me sens pâlir devant la blessure qui saigne encore davantage suite à un mauvais mouvement d’épaule. On voit les chairs déchirées. Je… je ne peux pas. Ou du moins, plus.

«  Aller Bambi, bouge. »

Je m’écarte de justesse du chemin du professeur, sauvé de cette vision par son intervention. C’est peut-être lâche, mais… j’en profite vraiment pour me retirer complétement de l’affaire. Le surnom me passe au-dessus, même si j’imagine très bien les raisons pour lesquelles il a été donné. Je m’éloigne pour m’asseoir contre une des parties à pierres visibles du mur. S’éloigner de l’action, des causeries, rester tranquille. Ne pas penser aux blessures aussi marquées. Se sortir des images de la tête, travailler à nouveau le liège.

Le but est de passer outre les conversations, mais lorsque l’on m’interpelle, je ne peux pas faire autrement.


« Le secret, rouquin, c'est de s'être déjà prit une balle pas loin d'un nerf. A côté de ça, tout à l'air d'une caresse. Donc oui. Ca gratte

Un frisson parcourt froidement ma colonne et je ferme les yeux en déglutissant difficilement. Non je ne veux pas imaginer, je ne veux pas imaginer quelle est la sensation d’une balle près d’un nerf. Ni les circonstances. Ni le bruit. Le bruit des balles. Le bruit des cris.
Non, non, non. Qu’iel se taise, par pitié qu’iel n’en rajoute pas. Iel ne peut pas dire que « ça gratte ». Iel ne peut pas dire que le secret pour ne pas avoir mal quand sa peau est transpercée par du verre, c’est de s’être pris une balle.

Parce que la majeure partie du temps on en meurt. Quand on a vécu dans des camps en tout cas, on n’a pas le temps de se demander si le nerf était proche ou non, personne ne se pose ces questions et personne n'est en mesure de se les poser. On ne prend ce genre de chose à la légère.

« Ne t'inquiète pas, je voulais simplement savoir à quoi ça ressemblait parce que j'ai pas des yeux dans le dos, mais je pense que le Monsieur Tus est bien plus à même de gérer la situation.»


J’entrouvre les yeux d’un air méfiant et hoche difficilement pas tête pour confirmer sans lae regarder. Un simple geste qui me coûte l’énergie d’une vie. Ma gorge se serre, écrasée sous le poids accablant de l’angoisse.

Cette personne… me fait peur. Je ne saurais pas expliquer pourquoi. Peut-être que son attitude, ses paroles jouent. Mais ce qu’iel dégage… c’est bien pire. Je ne suis pas à l’aise, même si c’est probablement quelqu’un qui est ici pour notre sécurité au vu de son titre. J’ai envie de me cacher, de disparaître jusqu’à ce qu’iel parte.

Alors je me recroqueville, lentement, les bras posés sur les tibias, la tête dans les genoux. Un balancement répétitif, rassurant. Des larmes silencieuses. Puis le geste simple de travailler de ses mains en tressant et détressant les franges de fils de mon écharpe pour accaparer toute mon attention. Oublier le reste. Ne pas penser, se réduire à des actions mécaniques simples, respirer et s’occuper. Inspire. Droite, milieux, gauches. Expire. Et on recommence. Encore. Encore. Et encore.

Pour me préserver au possible, je n’écoute pas les conversations et je n’en ai de toute façon, pas l’énergie. Lae commandant.e m’effraie. Pas le Professeur Tus, mais il est rude, et je sens bien que la communication serait trop complexe alors j'éviterais les interraction au possible, mais il me semble que lui aussi. Tant mieux. Quant à Oris, je n’ai pas eu le temps de me poser de question.

Parce que  c’est lui qui se montre. Je sursaute lorsque il me salue, mais le suis quand il me propose d’aller dans le lit. Je pense que… ça pourrait m’aider. De passer un moment avec Oris. De l’écouter. Alors j’accepte.

On s’enroule dans la couette trop petite, tous deux tournés vers le plafond. Quand il commence à parler, c’est quasiment impossible de ne pas esquisser un début de sourire au coin de la lèvre tant il est attachant et drôle. Je vois bien qu’il fait de son mieux pour me changer les idées et… ça marche. Je joue le jeu et montre le côté de la poutre que ma main suit. Ça n’a pas le moindre sens et effectivement nos bras se rejoignent et c’est amusant.

« Oups. T’as bien la ligne avec la fente qui ressemble à une licorne sans cornes ? »

Je répond à son énorme sourire par l'esquisse d'un geste similaire, discret, sur le coin de mes lèvres. Je mets un moment à répondre. Prends le temps de dénouer les liens qui se sont formés dans la gorge pour couper court à toute parole. Puis progressivement, d’une petite voix, les mots que je souhaite transmettre à Oris sorte, s’envole enfin de mes lèvres.

« J’aurais dit un furet de profil.

— Attend… Tu parle de la cuvette de toilette avec un smiley ? »

L’avantage c’est que la conversation est si légère, qu’elle me permet de peu à peu m’esquiver à mes inquiétudes. Pas complètement. Mais graduellement. L’humeur de Oris est terriblement communicative. Je prends le temps d’examiner la forme qu'il décrit, sillonnée dans le vieux bois et visualise ce que j’en ressors.

Pas la même chose visiblement.

« Tu arrives à voir des choses aussi détaillées dans une poutre ? Oooh. J’aurais plus dit… une sorte de gros œil.

— Ouais c’est l’idée. Juste toi c’est plus poétique. T’aime bien être poétique ? »

Être poétique ? Ça voulait dire quoi être poétique ? Aimé jouer avec les mots pour tracer des poèmes ? Ou seulement cette image que l’on a de quelque chose de beau et que l’on dit « Empreint de poésie », lyrique ? Si c’était la seconde option, c’était peut-être le cas. Se perdre en contemplation et en réflexion, je le fais souvent.

« Je heu, je sais pas. Je pense que oui ? J’aime bien réfléchir aux choses et à leurs formes en tout cas… Enfin ça ne fait pas forcément sens dit comme ça.

— Le sens dans les phrases c’est comme le sel dans les plats. On en met trop. »

Je lâche un timide gloussement, discret, mais présent. Il a raison. Et en même temps trouver des sens aux choses pouvait être divertissant aussi, comme interpréter les rainures du bois. C’est d’ailleurs le début de nos débats. Puis les questions de Oris nous font dériver de chemin en chemin pour perdre notre direction initiale et c’est…

Confortable. Agréable. Amusant ?

En tout cas, je me sens mieux. Je ne tiendrais probablement pas la conversation toute l’après-midi, trop fatigué pour cela, mais… c’est un vrai plaisir de parler avec lui. Et il s’y est pris avec brio pour me changer les idées et je sens mes muscles se détendre un à un, avec une sensation diffuse de sécurité à côté de lui. Comme si sa légèreté avait quelque chose de foncièrement contagieux.

On discute jusqu’à ce qu’il me fasse remarquer que la pluie c’est calmé. Pendant qu’il parle aux autres, je vérifie les extérieurs par la fenêtre et lâche un soupir de soulagement. Je vais pouvoir rentrer. Chez moi. Au calme. Je renouvelle mon invitation pour Oris qui suit, et salue poliment d’un geste de tête les deux adultes, fuyant du regard de l’ailé des deux, et restant discret avec le plus canin pour ne pas l’importuner outre mesure.

L’enthousiasme de Oris met du baume au cœur et c’est avec plaisir que je le vois courir d’un côté à l’autre comme une flèche. De mon côté je prends le temps, marche calmement pour profiter de l’air encore très frais de la forêt. C’est aussi nécessaire pour me repérer et lui donner les bonnes indications pour éviter de réitérer nos précédentes erreurs. On retrouve le chalet, poursuivant notre après-midi au chaud, à l’abri, le remerciant au passage pour son aide précieuse par un chocolat viennois, c'est plus simple que les mots. Je ne parle pas beaucoup, mais ça n'as pas l'air de le déranger ce qui fini de me faire souffler. De trouver quelqu'un de compréhensif qui respecte la façon dont je fonctionne et accepte de s'adapter. Ca... fait vraiment plaisir.

Cette journée a été… intense. Mais je suis content d’avoir rencontré Oris.

Il est vraiment adorable, attentionné, et touchant. J’espère qu’on ne se perdra pas de vue après tout ça.


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Philophæ M. Andreatus
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Philophæ M. Andreatus
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Sam 29 Jan - 23:07
Il l’avait entendu arriver mais avait au départ choisi de l’ignorer, de faire comme si de rien n’était. Mais c’était sans compter l’ardeur de l’espèce de pile électrique se faisant passer pour un humain qui décida de ne pas respecter sa bulle et de venir lui taper sur le bras. Il grogna, profondément, comme un avertissement qui pour autant ne fut pas entendu.

-Monsieur. Mon copain là il va pas très bien à cause du dos de monsieurdame là bas donc je vais le poser dans le lit. J'ai la situation en main vous pouvez continuer à lire. Il est bien votre livre au fait?

Il arrêta aussitôt l’eau pour se tourner vers bambi tandis que zébulon s’éloignait sans attendre de réponse. Le dogue regarda les deux jeunes gens prendre soins l’un de l’autre, soupirant pour chasser la montée de remords. Le plus grand avait vraiment l’air chamboulé par ce qu’il venait de se passer et lae comandant.e s’en délectait comme un parasite. Iel était… Il se tourna de nouveau vers son lavabo et son savon, reniflant en faisant la moue.

-Il a dû vivre lenfer, reprit lae commandant.e d’une voix enjouée. Cétait pas la première fois quil voyait ce genre de trucs.

Le dogue fixa la faïence obstinément, sentant lae commandante bouger les épaules à côté de lui.

-Ils méritent mieux que Leoska.

Philo grogna une ultime fois avant de s’essayer les mains et de retourner s’asseoir pour lire son livre, tandis que derrière lui saon supérieur.e reprit.

-Vous finirez par vous en rendre compte, Andréatus.

Il secoua la tête, s’asseyant en tailleur. Cherchant l’endroit ou il savait corner la page, il ne le retrouva pas et grommela, feuilletant le roman pour retrouver tant bien que mal là où il s’en était arrêté. Il tenta tant que faire se peut de se concentrer sur sa lecture malgré les deux mioches et les cent pas constant de l’être ailé.

Le bruit de la pluie. Le bruit des pas. Les chuchotements. Le bruit de la pluie. Le bruit des pas et d’une chanson fredonnée. Les chuchotements.
Le bruit des pas et de la chanson fredonnée. Les chuchotements. Plus de pluie.

-Monsieurdame c'est au plaisir de vous revoir sur terre! Monsieur vous êtes vraiment quelqu’un de super gentil pour nous avoir aidé et vous êtes su-perbe en chien et encore merci pour tout j'espère qu'on se reverra!


Le dogue releva la tête. Les deux élèves partaient. Il les salua vaguement de la main avant de se tourner vers l’autre adulte une fois que les deux furent partis.

-Je vais y aller, te lève pas, cest pas la peine. Je sais que tu ne m'apprécie pas et tas raison, mais réfléchit quand même un peu. Généralement je dis pas des trucs trop cons.

Iel lui fit un clin d’oeil avant de partir à l’extérieur et de disparaître entre les arbres. Le dogue se racla la gorge et se replongea dans son bouquin. Il allait au moins en finir ce chapitre.


Bah oui t'es beau !  [PV Philophae, Oris, Démiurge] - FINI Philop20
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Démiurge
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Sam 5 Fév - 16:17

Yuri sourit de toute ses dent à la réponse d’hyperactif numéro 2.
Se prendre un vent n’est pas agréable pour la plupart des gens, mais Yuri avait l’habitude. Lae pauvre bout de chou avait du mal à trouver des camarades vibant sur les même choses qu’ellui, et ça lae faisait rire. Donc iel ne faisait aucun effort et ça lae faisait encore plus rire. A tel point qu’iel avait fini par se faire un petit bingo mental des vents : cochez cette case si la personne à l’air terrifiée, si elle bredouille, si elle trouve une excuse à la con. Des fois, iel essayait même d’orienter la conversation pour pouvoir cocher certaines options, ca faisait un bon entrainement en matière de manipulation.
Mais ce vent là n’avait pas encore de case, ce qui le rendait d’autant plus exceptionnel : tenté mais trop responsable malgré un niveau de chaos supérieur au raisonnable. Iel aimait bien ce gosse, il était vraiment hilarant.

Iel le regarda rejoindre Bambi, souriant en biais. Ca lae désolait de savoir ces deux petites perles de gentillesse sous la responsabilité d’O’Brien. Le grand avait vraiment l’air… Abîmé. C’était assez comique d’ailleurs de le voir faire comme si de rien était, à se tortiller les mains sans savoir où les foutre. Mais bon, tout cela ne dura qu’un temps, jusqu’à ce que pile sur patte ne lui change suffisamment les idées. C’est à ce moment-là que Yuri se désintéressa des deux : le spectacle qu’ils offraient désormais était plat au possible, absolument plus divertissant. Iel se tourna vers le colosse qui se lavait consciencieusement les mains. Le dogue avait été relativement épargné mais vu que son jouet était parti et que s’iel insistait l'acharnement finirait par se voir, il était temps que lui aussi y passe. Diversifier les cibles, un très bon entrainement social ça !


-Il a dû vivre lenfer,

Iel marqua un temps de pause. Pourquoi sa voix était-elle aussi enjouée ? Boarf. Probablement une histoire de : je me sens moins seule cdans mon malheur, couplée à une espèce de ressentis sadique. Ou peut-être pas. Qui sait ? Certainement pas ellui.

Cétait pas la première fois quil voyait ce genre de trucs.

Iel se remit à rouler son épaule, souriant à la sensation. Ca piquait, tendant tout les nerfs de son bras, c'était agréable. Monsieur Tus refusait de le regarder, à son grand damn. Iel était si terrible que ça ? C’était moins drôle quand on l’ignorait, bien que, reflexion faites, c’était probablement pour ça qu’il l’ignorait. Il voulait lae priver de son fun. Qu’à cela ne tienne.

-Ils méritent mieux que Leoska.

C’était gratuit, mais c’était vrai. Et parmis les trucs circulant sur Andréatus aîné, y’avait cet idée qu’il était vraiment un iench à la botte de sa maîtresse. Il manquait de recul, en témoignait son grognement, ce qui justifiait le fait de lui dire pour deux raisons : un, l’amusement était total, deux c’était utile pour lui. Ca ramenait de la perspective.

Son collègue se leva pour retourner lire tranquille et Yuri le laissa partir. Le but était pas de le pousser à bout, juste de mettre des pichenettes précises là où il ne fallait pas. Pare contre, il fallait tout de même en rajouter une couche pour être satisfait, alors iel lui lança pendant qu’il partait :


-Vous finirez par vous en rendre compte, Andréatus.

Voilà. La prophétie à deux balles était lancée, maintenant il fallait la regarder germer et voir si elle prenait. Iel avait pas beaucoup d’espoir : quasiment personne ne lae prenait au sérieux en la matière, mais sait-on jamais. Peut être que s’iel le disait suffisamment, ça finirait par rentrer. Certaines personnes n’étaient pas dupe mais de manière générale, Leoska avait l’air d’un tel havre de paix que imaginer que les choses soit en réalité autres pouvait être… Difficile.

Iel regarda le chien se remettre à lire, puis les deux jeunes discuter. Encore. Et encore. Et encore. Iel s’ennuyait. Comment les gens faisaient-ils pour rester assis, sans rien faire ? C’était vraiment possible ou c’était une sorte de mensonge généralisé. Au bout d'approximativement une minute, lae comandante se mit à faire les cents pas avant de fredonner sur la pulsation de sa marche. Une minute. Deux minutes. Cinq minutes… Longtemps.
Puis, enfin, la pluie cessa. Les deux élèves se levèrent et ce fut le plus petit qui les salua d’une manière somme toute très incongrue. Ouais. Définitivement, Yuri l’aimait bien. Il était drôle, comme une hirondelle parmi les moutons. Pas une proie qui l'intéressait à chasser mais c’était drôle de le regarder passer.    

Bon, il était temps de repartir. On l’attendait et surtout iel s'ennuyait.  

-Je vais y aller, te lève pas, cest pas la peine. Je sais que tu ne m'apprécie pas et tas raison, mais réfléchit quand même un peu. Généralement je dis pas des trucs trop cons.

Iel agrémenta sa salutation à Andréatus d’un clin d'œil avant de sortir. Dehors, l’air était humide et la terre saturée d’eau. Écartant les ailes, la morsure de la pousse repris et iel sourit, s’envolant en direction du PC.
Iel avait passé un excellent moment.
Démiurge, maître du Jeu
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