Eizh a parlé d'un live qui devait se tenir, pour interviewer un certains Mordred qui semble faire sensation auprès de beaucoup de monde. c'est pas mal ça. Pratique. Connaitre quelqu'un sans avoir a risquer de dire ou faire n'importe quoi. Sans risquer de blesser quelqu'un.
Pour l'instant par contre, c'est le téléphone qui est blessant. Recevoir son premier smartphone pour fêter son admission a Leoska avait été un bonheur au vu des perspective. Se rendre compte que c'est pas aussi simple que prévu a utiliser par contre, c'est beaucoup moins sympa. L'adresse est inutilement complexe en plu-voilà!
Un bloc note, un crayon, et en avant pour l'analyse.
La présentatrice est a fond dans son rôle, elle force peut-être même un peu trop, mais bon le public ne s'attire pas avec un caractère aussi neutre que le-dit Mordred.ah, un sourire. Même un rire, même léger. Bon pas si neutre alors, peut-être dur a percer. Mauvaise nouvelle, c'est pas ma spécialité. Oh? Un secret? Avec un sourire pareil, tu veut pas juste trouver du potin miss, tu v-





Qu...oi?



Quoi?



non


Mais la prof à l'entrée avait dit... qu'il n'y en avait pas ici...
Le téléphone tombe sur le plancher dans un bruit sourd tandis que son regard se perds dans le vide.
Dans le vide et dans l'ombre.


nonnonnon


Mais le skatedog, il l'utilisait devant tout le monde, personne ne l'a dénoncé ou empêché!
L'image lui reviens en tête alors qu'il entends encore le bruit sourd de la rencontre inopiné d'Al et du plancher du couloir.
La lumière est déformé par l'ombre qui envahit petit a petit l'espace et commence a couvrir la lumière.


nonnonnonnonnonnonnonnon


Mais il courrait à travers les couloirs, il s'échappait peut-être.
Le bruit du grand portail d'enceinte en bois se referme dans sa mémoire avec un bruit sourd.
La lumière de la chambre peine à percer la forme étrange qui se dresse au devant.


nonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnon


Ils ne peuvent pas revenir c'est impossible!
L'ampoule casse dans un éclatement de bois pris par la foudre.
L'obscurité recouvre de plus en plus le petit salon.


nonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnonnon


Lokrhuna, je ne vois plus rien, où est-tu?!
Le bois cède face à la pression.
L'ombre gagne. Envahit tout.