Sooner or later everyone sits down to a banquet of consequences

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Sooner or later everyone sits down to a banquet of consequences – ft Phil & Saph


Messages : 206 Feuille de personnage Age: 20 ans Pronoms: Club: Lecture Pouvoir: Pyromancie	Aprilynne Beaufort Premier de la classe Lun 19 Fév - 19:33 023.5 Hell Hath No Fury Sooner or later everyone sits down to a banquet of consequences Avec Saphirre & Phil Tu es une personne… rancunière. Tu n’as pas eu le choix : en camps, en vouloir à ta famille pour ce qu’ils t’ont fait t’a maintenue en vie. Tu pars donc désormais du principe qu’en vouloir à quelqu’un qui t’a blessée – émotionnellement comme physiquement – est un bon moyen de t’assurer que tu n’auras pas trop de mal à sortir de ton lit le matin. Et comme tu as grandi avec Lucas, tu as appris très rapidement qu’on se venge lorsqu’on en veut à quelqu’un. C’est comme ça que votre amitié dysfonctionnelle et forcée fonctionnait, alors c’est comme ça que le monde en règle générale fonctionne selon toi. Tu n’as pas appris à te débarrasser de ce mode de pensée, tout simplement parce que tu n’as pas commencé à le questionner. Tu t’es donc vengée. Filandrys a provoqué Mordred, ce qui aurait pu très mal finir pour eux deux, et tu n’aimes pas l’idée que Mordred aurait pu avoir des problèmes avec l’école à cause de lui. En plus de ça, il a complètement ruiné le plancher de ton appartement avec sa magie verte, un endroit où tu te sentais enfin en sécurité. Maintenant, le sol qui porte encore quelques marques de cette altercation te rappelle que tu as des colocataires – joie sans cesse renouvelée – et que leurs fréquentations peuvent t’atteindre jusque dans l’intimité de ton chez toi. Sale arrière-goût amer que ça te laisse dans la gorge. Ton grief principal reste le fait qu’il aurait pu atteindre Mordred et ruiner votre équilibre. Et tu sais à quel point Mordred tient audit équilibre. Et comme tu serais capable de beaucoup de choses pour Mordred, tu étais particulièrement énervée contre le prénommé Phil. Tu ne remets pas non plus en question le fait que tu te venges pour quelque chose qui aurait pu atteindre quelqu’un d’autre. Ou le fait que Mordred n’ait pas décidé de se venger et qu’il n’appréciera pas forcément la démarche à sa juste valeur. C’est toi que ça concerne, et uniquement toi, parce que s’en prendre à Mordred, c’est s’en prendre à toi. Surtout quand ça se passe chez toi et que ton appartement en porte la cicatrice. Saph, que tu chéris autant que Mordred, en revanche, te met des bâtons dans les roues, en fréquentant l’ennemi, notamment. Et en refusant de t’apprendre une prise ou un mouvement qui pourrait te permettre de mettre Phil par terre. Pas de gifle, pas de balayette, rien de physique. Alors il a fallu improviser. Tu n’es pas la meilleure en improvisation, d’autant que Saph était en train de t’épuiser physiquement pendant que tu réfléchissais à une autre vengeance possible. Tu apprécies vraiment que Saph n’ait pas mis un stop définitif à toute tentative de vengeance, et ait simplement essayé d’en changer le mode d’action. Et l’intensité, possiblement. Iel a même accepté de participer, à ta demande, à ton plan pour le moins foireux : pendant qu’iel distrayait son amoureux, tu as profité de son absence pour t’introduire chez lui, bruler une bonne partie de sa garde-robe, laisser une carte blanche avec une impression amateure de lèvres au rouge à lèvres, un « XOXOXOXO » gribouillé par-dessus, avant de faire un aller-retour rapide entre chez toi et l’appartement cible, les bras chargés de vêtements hideux mais à la taille de Phil – encore une fois, merci Saph – et de ranger les abominables vêtements à la place des anciens. Cette vengeance aura couté de l’argent à Lucas, mais le résultat est parfait. Tu as donc quitté la scène du larcin un peu plus apaisée, soulagée d’avoir pris ta revanche. Tu es donc tranquillement posée chez Saphirre et Mordred, en la charmante compagnie de Saph – Mordred est encore en cours – à siroter un thé oolong, assise sur le canapé de tes meilleur.es ami.es. Délestée de tes soucis, tu es confortablement calée, la tasse de thé fumante dans les mains, en train de discuter avec Saphirre. Tu en as presque oublié ce que tu viens de faire, tant la dopamine libérée par ton cerveau contre toute forme d’angoisse possible. Cactus

Messages : 170 Feuille de personnage Age: 23 Pronoms: Il Club: Musique / Bricolage Pouvoir: Modification du cycle naturel des plantes	Alyn Premier de la classe Lun 19 Fév - 20:57 SOONER OR LATER EVERYONE SITS DOWN TO A BANQUET OF CONSEQUENCES – FT April & Saph Je jette mon sac sur mon épaule et sort de l’atelier, content de ce que j’ai pu construire aujourd’hui. Des petites babioles en tout genre, surtout des objets pour aider dans les finitions de la cabane dans les bois et pour le jardinage de manière générale, de quoi me simplifier la vie. Je sifflote tranquillement, me demandant comment je pourrais bien passer le reste de ma journée. J’ai bien envie d’aller emmerder Saph, histoire de lae taquiner un peu comme on aime tellement le faire. Iel m’a déjà invité à un superbe date à midi, mais j’ai comme un goût de pas finis. Ouai, ça me parait être une bonne idée. Je prends juste le temps de faire un détour par l’appartement pour me laver, mettre des fringues propres et on est parti. Ça me laissera le temps d’inventer une énième connerie. J’arrive dans l’appartement et je sens qu’un truc cloche. Mais littéralement, il y a une vieille odeur de brûlé qui vient de ma chambre. Je laisse tomber mon sac et m’y précipite avant de me figer sur le seuil. L’odeur vient de mon armoire et il ne faut que très peu de temps pour voir le tas de cendres. J’aurais pu croire à un incendie accidentel s’il n’avait pas été aussi précis pour s’arrêter à mes vêtements, puis surtout quelqu’un avait eu l’idée perverse de les remplacer par des bouts de tissu hideux, laissant même une carte de visite. Il faut être sacrément dérangé pour faire ce genre de choses aux gens. Je tente de calmer les tremblements de nerfs. La colère est là, mais la tristesse aussi. Pour certains ça ne seraient que des fringues, pour moi c’est toute ma vie. Ma nouvelle vie. J’ai enfin pu commencer à m’habiller de manière correcte en partant de ma maison, mes tous premiers vêtements ont une forte valeur sentimentale. Je me suis reconstruit au fur-et-à-mesure que ma garde-robe se remplissait, j’aime prendre soin de mon apparence et mes vêtements sont un prolongement de ma personne. Il y en a que je ne pourrais jamais retrouver, jamais remplacé. Ça ne se trouve pas à tous les coins de rue des fringues stylées que je ne pourrais pas transformer en buisson au moindre accident. On m’enlève une partie de ma vie comme ça et en plus on a l’audace de me laisser une carte. Je regarde les vêtements d’un mauvais œil avant de les faire passer par la fenêtre en en gardant seulement quelques-uns pour les jeter à la tête de leur propriétaire. Ok Phil, focus. Si on me laisse une carte, c’est que la personne veut être retrouvée, et je ne vais pas me priver. J’arpente la chambre un moment, réfléchissant aux personnes qui me voudraient du mal. Finalement, croisant les vêtements, l’incendie et mes rares ennemis, la personne d’April me vient rapidement en tête. Je prends mon téléphone et envoie un rapide message à Saph. « Où est April ? - Chez ouam, pk ? - Ne bougez pas. J’arrive. » Je n’en avais tiré rigueur à Saph d’être amie avec elle, après tout ça s’est amélioré avec Mordred, pourquoi pas avec elle ? Enfin, ça aurait pu. Maintenant il n’y a plus aucune chance qu’elle tire la moindre sympathie de ma part. La colère me guide et je pars en direction de l’appartement de Saph, heureusement très peu éloigné du mien. Je rentre sans même frapper à la porte, vêtements dans les bras, empli de haine. « Pourquoi ? »

Messages : 450 Age : 23 Feuille de personnage Age: 20 ans Pronoms: Club: Art martiaux Pouvoir: Contrôle hormonale	Saphirre Lacey Trash Can or trash cannot Lun 19 Fév - 21:44 La PLS Saphirre Lacey 「Going Dark」 Franchement, on va dire que je suis sur du coup à 97%. Hmm. 98 % même. Parce que, voyez-vous ; je suis un putain de génie du mal. Le plus gros cerveau de pranker de cette école mon gars, franchement ça ne c’est retourner contre moi que 8 fois sur 10. Et cette fois-ci c’est sur qu’on améliore le ratio mes ptits potes parce que j’ai parfaitement calculer l'affaire pour minimiser les conséquences, dégâts, et dommages collatéraux, contrairement aux fois précédentes. J'ai pensé à tout. April abandonnerais jamais une vengeance ; solu ? L’aider à en réaliser une moins pire que de laisser libre court à son imagination en solo. Elle lui aurait cassé les genoux, et vu l’rapport à la violence de Phil, NOP. Ayant moi-même tenter de le prank, j’suis renseigné sur la cible. Il m’a dit que ses plantes c’était un no go donc deuxième no go. Mais April à eu une bête d’idée : LES FRINGUES. Ça j’ai la certitude que ça fera un peu chier mais sans plus, il m’a dit qu’il s’en foutait, qu’c’était pas un gars matérialiste ou j’sais plus, un truc mystérieux comme ça. Bref on est bien d’accord que c’est que des bouts d’tissus pour pas être à oilp, hein. Donc, April les crame, et, le must, c’est qu’elle remplace le tout par des fringues grave cheum. Du genie. Merveilleux. Wonderfull. Qui ne voudrait pas voir Phil dans du Desigual ? Ça sera peut-être la seule occaz’, pas moy’ de le convaincre sinon. Donc ptit restau ce midi avec mon mec pour l’occuper, et ce soir je chill avec ma zouz après une affaire rondement menée. Quelle vie on mène franchement ? Phil a du résoudre l’équation puisque j’reçoit quelques SMS. J’préviens April qu’il risque de débarquer à tout moment et…. Oh dang, il a l’air vraiment supra vénère mais je m’en formalise pas plus que ça. Réaction normale quand on vient d’se faire bouffonner hein, j’serais le premier a ragé. Je regarde April en me demandant sa réponse à la question, puis me tourne dans la direction de Phil pour lui fournir la mienne, les bras croisé appuyé sur le dossier du canapé. Et avec le sourire. « Ben. Parce que c’est super drôle ? » Hep, new thème ici J'écrit en cette belle couleur, jalouse pas trop stp#0099cc

Messages : 206 Feuille de personnage Age: 20 ans Pronoms: Club: Lecture Pouvoir: Pyromancie	Aprilynne Beaufort Premier de la classe Lun 19 Fév - 23:08 023.5 Hell Hath No Fury Sooner or later everyone sits down to a banquet of consequences Avec Saphirre & Phil Oh. Ohohoh, il a l’air de particulièrement mauvaise humeur. Non. Pire que ça. Visiblement, tu as tapé là où ça faisait mal avec l’aide inconsciente de Saphirre qui essayait très probablement de minimiser les dégâts en t’orientant vers des chemins plus apaisés. Tu es désolée pour Saph, qui est complice dans cette sombre affaire, mais pas pour Phil, dont la réaction réactive la production de dopamine dans ton cerveau. Ou d’ocytocine, tu n’es pas neurologue. Tout ce que tu sais, c’est que ça a marché, bien mieux que tu ne l’avais envisagé. Et il a l’air furieux. Tu peux gérer la colère, la haine, ce genre de chose. Tu as passé dix ans de ta vie dans un endroit où ceux qui n’étaient pas occupés à juste survivre te détestaient. Et parfois même ceux qui étaient occupés à juste survivre, parce qu’ils savaient qui étaient tes parents et le rôle qu’ils avaient joué dans leur misérable fortune. Donc sa colère ? tranquille. Tu poses ta tasse sur un sous verre, sur la table basse et te tourne pour lui faire face, chaque geste désinvolte. Tu le regardes droit dans les yeux, avant de sourire. Pas un sourire gai, ou amusé. Un sourire venimeux, qui s’étire sur un côté plus que sur l’autre, sans laisser percevoir tes dents, un sourire qui ne monte pas jusqu’à tes yeux. La réponse de Saph, à laquelle tu ne t’attendais pas, vient remettre de l’huile sur le feu. Tu lui lances un regard bourré d’affection, avant de te reconcentrer sur Filandrys. Qui est très mécontent. - Mmmh, parce que tu as détruit mon appartement et que tu aurais pu me mettre dans une position particulièrement inconfortable avec ton petit numéro de chevalier servant ? Je ne crois pas au karma, je pars du principe que si je veux rétribution, je dois me débrouiller toute seule. Tu fais mine de réfléchir un peu, te tapotes le nez deux fois avec un air songeur, avant de reprendre, avec un sourire élargi, qui dévoile cette fois tes dents : - Ah, oui, et aussi : parce que c’est super drôle ? L’humour a très peu à voir là dedans à vrai dire. Mais Saph a lancé quelque chose, et, même si ce n’est pas ¬– à l’inverse du reste de ton discours – préparé en avance, tu penses que ça peut ajouter un peu de sel sur les plaies. Entrer en connivence avec Saph met Phil dans une position déséquilibrée où il se retrouve à être seul contre vous deux. Ton objectif n’est pas de créer des problèmes dans leur couple, tu aimes trop Saph pour lui faire subir ce genre de choses, même s’iel a visiblement des gouts douteux, mais tu es ravie d’être en position de supériorité par rapport à Filandrys, qui est tout seul avec ses vêtements et sa colère. Cactus

Messages : 170 Feuille de personnage Age: 23 Pronoms: Il Club: Musique / Bricolage Pouvoir: Modification du cycle naturel des plantes	Alyn Premier de la classe Mar 20 Fév - 15:37 SOONER OR LATER EVERYONE SITS DOWN TO A BANQUET OF CONSEQUENCES – FT April & Saph Je suis figé dans l’entrée avec les vêtements dans les bras. Bon, à ce stade ce ne sont plus des vêtements mais des lambeaux de fleurs desséchées qui ont décidé de prendre vie quand Saph s’est retourné avec un immense sourire sur le visage. Super drôle. Iel trouve ça super drôle. Je n’ai pas le temps de réagir qu’April enchaine avec un petit air suffisant qui me donne envie de lui arracher les yeux. C’est ça, regarde taon complice avec amour, j’ai bien compris de quel côté iel s’est placé, pas besoin d’être aussi subtile. Je la regarde, entends plus qu’écoute, j’ai envie de la détruire. De faire disparaitre ce sourire de vipère de son visage. Le souci, c’est que je ne m’énerve vraiment que pour les choses nécessaires et celles qui peuvent être arrangées. Or, son cas à elle est désespéré, elle est née mauvaise et le restera. Des connasses comme celle-ci qui se nourrissent de la souffrance des autres ne valent rien à mes yeux, et surtout pas de mon énergie et de mon temps pour être sauvée. Je ne m’abaisserai pas à lui rappeler que c’est elle qui a commencé à faire du mal à Eizh, que j’ai juste perdu le contrôle à cause d’eux. Inutile, elle le sait déjà. Je lâche ce que je tiens dans les bras sur le sol, comme une offrande et affiche un visage froid. Une touche de dégoût traverse mes yeux alors que je la regarde, ne me cachant du mépris qu’elle m’inspire. « Je vois. Content que tu te sois amusée. » Je braque mon regard sur Saph, toujours aussi froid. Iel a droit à sa dose de dégoût aussi mais surtout de déception. Immense, qui me laisse presque vide. Mais je me laisserai aller plus tard, pour le moment je veux juste qu’iel réalise. « Le repas ce n’était même pas par plaisir alors hein ? C’est juste drôle de se jouer de moi avec ta copine ? Tu voulais me blesser ? Et bien je te félicite, c’est fait. Et laisse-moi te dire que t’es vraiment une ordure, jte croyais tellement mieux que ça. Que tu aurais au moins eu la gentillesse d’attendre que je sois parti pour afficher ton grand sourire. » Je m’interromps pour lui jeter un dernier regard, lui faisant clairement comprendre qu’iel était allé trop loin, avant de tourner les talons. Je me dirige vers la porte et m’arrête juste avant de passer le seuil. « Tu ne méritais pas ma confiance. » Je sors en laissant la porte ouverte derrière moi. Je retourne dans mon appartement, cloisonnant la tristesse au fond de moi pendant que je commence à tout nettoyer dans des gestes mécaniques, impassible. Ils ne m’avaient rien laissé ces fumiers, même pas un putain de bout de tissu potable. A côté de ce qu’ils avaient fait Mordred serait presque passé pour un ange à mes yeux.

Messages : 450 Age : 23 Feuille de personnage Age: 20 ans Pronoms: Club: Art martiaux Pouvoir: Contrôle hormonale	Saphirre Lacey Trash Can or trash cannot Mar 20 Fév - 20:37 La PLS Saphirre Lacey 「Going Dark」 Je… Ouai, ben, j’aurais préféré qu’il me gifle, quoi ??? Déjà parce que ça aurait physiquement justifier la sensation de choc. Et parce que le ressentie aurait été nettement moins désagréable que ça. Genre. Haha. Certainement pas. Nop, nop, nop. Pas ça. Haha, c’est un grand non. NON. C’est ma limite. Tu ne fais pas ça, tu fais vraiment pas ça, tu me r’garde pas comme si j’étais une déception, qu’une pauvre merde qui mérite pas ta confiance, avant te barrer sans même me laissé le loisir de répondre. Non. Tu me fous une patate de forain si t’as envie. Tu crame mon armoire et on est quitte, j’m’en branle. Mais pas ça. J’ai super mal au cœur pour aucune raison. Enfin si, pour des tas de raison. Mais la plus simple à admettre étant que ledit palpitant m’est remonté dans la gorge quand l’ascenseur à fait une chute libre depuis l’étage de ma bonne humeur jusqu’à celui d’la sauce. Quel goût ? Flou total. Et contrairement au piment, ça passe pas avec un yaourt. Je m’attendais à ce qu’il râle. Pas à ce qu’il soit en colère. Je m’attendais à l’emmerder. Pas à le blesser. Chier. Je comprend pas sa réaction, ce qu’il s’est passé. Je sais que j’ai un sens de l’humour relativement, hmm, insolite, certes. J’entends que crée des mouvements de panique générales ou traumatisé des lycéen.ne ce n’est du goût que de quelques heureux.ses élues avec qui je partage cette passion. Mais ce coup-là… je pensais sincèrement que c’était pas… au-delà de la limite ? C’est. Bizarre. Je supporte très mal l’idée d’avoir blessé directement quelqu’un que j’aime profondément. Les cibles auquel j’ai vraiment fait du mal m’étais plutôt neutre donc… mon empathie était un peu éclaté. Pareil, si je fais un sale coup à Mordred ou April, ils me le rendent au centuple dans la seconde qui suis et c’est passé, tranquille. Mais parce que la réciproque est vraie. Et que ça fonctionne comme ça. Pas. Là. Là, je suis juste du-per. Dans mon dos, une queue de félin fouette l’air avec un certain agacement, apparut contre mon gré pendant que je me faisais engueler. « Je. Je comprend pas. C’était que des fringues, non ? » April grimace. « Visiblement, ils avaient une valeur sentimentale à ses yeux. » Mais. Il m’avait dit que… « Je. Ok. Heu. Ouai. C’est cool, que t’es pu te venger. Du coup. J’imagine. » C’est ce qu’elle voulait non, de l’impact ? Y’aura au moins une personne de satisfaite dans l’histoire. Je sais plus trop ce que j’en pense, j’arrive pas à faire la mise au point. Habituellement quand quelqu’un est en colère c’est mon cas aussi ; et c’est tellement plus SIMPLE. C’est se lover dans les braises, se sentir complétement à sa place dans là où on peut se blesser. La honte c’est complétement twist. Inverse. C’est se sentir sale dans un endroit qu’on aime. Je déteste. Ça m’agace. « Je crois qu’il faudrait que j’y aille ? - Ce serait sans doute mieux, effectivement. » Silence. Habituellement avec April ils sont confortables. Pas celui-là. « Pour ce que ça vaux, je n’avais absolument pas envie que tu en subisses les conséquences à ma place, je n’aurais pas dû t’impliquer. Je suis désolée. » L’attention est chou. Mais. Eh. Je ris sans joie. « Ah nan, t’excuses pas, ça craint de fou. Tu m’as pas trainer là-dedans, j’l’ai fait tout.e seul.e hein. Me cherche pas des excuses à la con. » Chuis majeur est vacciné. J’aurais aussi pu lui dire « April, ne brule pas les fringues de mon mec » au lieu de « Je te tiens la porte ??? Eh pense à prendre une photo ptdrrrrr. ». Des fois je me demande à quoi ressemble la vie quand on a un cerveau ? Parce que c’est certains que mon absence totale de neurone à complétement sculpté la mienne. Elle fait la moue et hoche la tête, l’air vraiment embêtée. « Bon courage… Tu préfères que je t’attende ici ou que je rentre chez moi ? - Comme tu veux. T’es chez toi ici hein, tu peux zoner et partir plus tard si tu veux. A toute. » Je sors de l’appart et fait un peu trop rapidement face à celui de Phil. Oh gosh. Je sais pas quoi lui dire donc je vais juste toquer et improvisé. « Phil ? Je peux ? » Phil ouvre et je recule en le voyant avec une pelle. Reflexe. Je sais pas. J’ai pensé qu’il me jetterais les cendre dessus mais c’est visiblement pas son genre… Ca aurais totalement pu être le mien. « C’est Filandrys, pas Phil » Ouh. Oooouh. Ouuuuuuuuuh, AH OUAI, okey pardon monsieur ??? Mec on est à CE NIVEAU de j’ai chié dans la colle ? Juuuste pour cette histoire ???? « Qu’est-ce que tu veux ? T’es venu te foutre de ma gueule chez moi aussi, ça t’as pas suffi dans ton appart ? » Je soupire. Bon. Legit. Mérité. On reste souple. « J’veux parler. Pas me foutre de ta gueule Filandrys. » Il s’efface pour le laisser entrer mais perd pas un seul instant son expression froide. Je me fait pas prier et me presse à l’intérieur pour qu’il puisse pas changer trop vite d’avis sur la perspective de discussion. Il me claquera pas la porte au nez DEUX FOIS. « De toute façon si tu viens voir le carnage il n'y a littéralement plus rien à voir. Mais je suis sûr que tes doux mots feront revenir dans mon armoire une dizaine d'années d'existence et de souvenirs. » Mes yeux se repose sur lui après avoir roulé au ciel d’exaspération. « Oh BORDEL, pour quelqu’un qui n’en a rien à foutre de ses vêtements j’te trouve quand même vachement sentimental tout à coup. » Les mots sortent directement sans prendre le luxe d’un détour par le circuit de la penser qui ne leur aurais fait pas de mal. J’vous l’ai dit. Aucune idée d’à quoi ressemblerais la vie avec un cerveau, en revanche j’sais malheureusement la tête qu’elle à avec une grande gueule. Et que c’est rarement des mots doux qui en sorte. Hep, new thème ici J'écrit en cette belle couleur, jalouse pas trop stp#0099cc

Messages : 206 Feuille de personnage Age: 20 ans Pronoms: Club: Lecture Pouvoir: Pyromancie	Aprilynne Beaufort Premier de la classe Mar 20 Fév - 22:25 023.5 Hell Hath No Fury Sooner or later everyone sits down to a banquet of consequences Avec Saphirre & Phil Tu es restée seule, et es très mal à l’aise. Le fait que Filandrys soit partit te laisse la possibilité de l’exprimer sur ton visage, puisque personne n’est là pour le voir, et la colère qu’il a exprimée vis-à-vis de Saph te fait regretter… pas ton geste, non, certainement pas. Saph avait raison en plus, c’était objectivement très drôle à faire, même si complètement immature. Tu peux vivre avec ça. Mais le fait d’avoir impliqué Saphirre pèse subitement sur ta poitrine. Tu aurais dû te contenter de læ laisser te donner le feu vert, sans lui demander de participer. Maintenant, iel a des ennuis avec son partenaire, et tu as beau ne pas l’apprécier, tu n'as pas envie de semer le désordre dans leur relation. Tu grimaces un peu plus, te demandes s’il y a quelque chose que tu puisses faire pour apaiser leur querelle. T’immiscer dans leur conversation à cœurs ouverts ferait plus de mal que de bien, iels ont besoin de s’expliquer sans que la véritable coupable soit dans leur champ de vision. Et la connivence que tu as trouvée avec Saph a un gout de brulé dans ta bouche, parce qu’elle va jouer en sa défaveur lors desdites explications. Tu aurais pu gérer la situation plus intelligemment. Saph ne le sait peut-être pas, mais toi tu connais l’importance des vêtements dans la vie de quelqu’un. Ils permettent de se créer une image, de se faire une armure, de renvoyer ce qu’on veut aux autres, que ce soit du pouvoir et de l’importance ou, au contraire, de créer du désintérêt ; ils sont une seconde peau, quelque chose vers quoi on se tourne naturellement. Ils sont importants. Evidemment, Phil a mal réagi. Tu ne sais pas tout ce qu’ils représentaient pour lui, mais la pilule passe mal, et la participation de son partenaire à un jeu plus que douteux n’a pas du arranger. Il y a une part de toi qui est d’autant plus satisfaite que la douleur est encore plus importante pour lui. Il y a l’autre part de toi, la moins pourrie, qui s’en veut d’avoir demandé l’aide de Saph. Pas pour Phil, tu ne pourrais pas plus en avoir rien à faire de ses sentiments, mais parce que tu aimes Saph et que tu ne veux pas que tes décisions aient un impact négatif sur ellui. Heureusement, tu as laissé Mordred hors de ton petit discours : au moins un de tes deux amoureux.es ne sera pas touché directement par le fiasco émotionnel qui est en train d’avoir lieu dans l’appartement voisin. Tu n’entends aucun bruit sourd, pas de sons qui pourraient indiquer qu’une commotion a lieu. Pas de violences physiques, en tout cas. Peut-être que Saph regrette de ne pas t’avoir juste appris à faire une balayette. C’est trop tard maintenant. Tu ne regrettes pas ce que tu viens de faire, tu ne t’autorises pas à le faire. C’était mérité, ça aurait pu être bien pire. Tu es très douée pour en vouloir aux autres, et d’autant plus pour leur faire payer ta rancœur. Tu n’as pas eu l’occasion de l’expérimenter depuis très longtemps, et pas beaucoup sur une cible autre que Lucas, l’enfant comme l’adulte, mais tu sais que tu es très douée pour faire mal. Tu n’as aucun mal à trouver les boutons sensibles sur lesquels ne surtout pas presser, et les presser immédiatement après les avoir découverts. Dans le cas de Filandrys, il y avait beaucoup de hasard en jeu, mais tu as bien joué tes cartes. Plus ou moins. Tu soupires. Tu ne peux pas rentrer chez toi sans savoir que Saph va bien, mais ça va peut-être durer longtemps, alors tu te lèves et pars en quête d’un livre qui serait disponible dans le salon : Mordred ne supporte pas qu’on rentre dans sa chambre, et tu ne vas pas aller fouiller dans sa bibliothèque. Tu trouves un ouvrage dont la couverture et le titre t’inspirent, sors ton téléphone de ton sac au cas où tu aurais des citations à recopier, et t’installes pour lire. C’est compliqué. Difficile de se perdre dans un livre quand quelqu’un qu’on aime se fait surement salement réprimander pas très loin. Quand on est responsable de ces réprimandes. Quand on sait qu’iel en souffre. Tu inspires profondément. Expires. Prends une tasse de thé, la reposes après quelques gorgées. La crainte progressive que Saph t’en veuille commence à se faire sentir. Tu n’aimes pas ça. Tu ne veux pas qu’iel souffre, mais tu ne veux pas non plus que tes actes aient un impact négatif sur votre relation. Qu’iel te voie différemment. Parce que tu as toujours été réglo avec Saph. Pas de vols, d’insultes, d’utilisation de ton pouvoir, rien de bénin comme d’irréparable. Et s’iel se rendait compte que tu es parfois… mh, une grosse connasse, il n’y a pas d’autres termes qui te viennent pour te définir, sur le moment. Ta vengeance est légitime, mais elle a blessé quelqu’un qu’iel aime. Si tu n'aimes pas voir Saphirre souffrir, iel ne doit pas apprécier de voir Phil dans un état similaire. Et c’est de ta faute. Tu relis la page que tu étais censée avoir finie, le cœur un peu lourd, ta concentration assez bas. Respire. Tu ne peux, de toute façon, rien faire pour l’instant, ni changer quoi que ce soit au déroulé des opérations, ni présenter des excuses qui seraient de toute façon tout sauf sincères à Filandrys. Alors tu attends. Que Saph revienne, ou que Mordred rentre pour que tu puisses lui raconter ce qu’il s’est passé, te décharger. Avant de te dire que ce n’est pas une option très alléchante non plus : tu as blessé Phil, ce qui blesse Saph, ce qui pourrait blesser Mordred. Et là, vraiment personne se sera content, et tes deux partenaires t’en voudront. Tu aurais du faire ça toute seule. Tu n’es pas une grande habituée des remords et ceux-ci ne sont pas particulièrement humains, mais c’est un poids inconfortable dans ta poitrine qui prend une place que tu n’imaginais même pas avoir en toi. Cactus

Messages : 170 Feuille de personnage Age: 23 Pronoms: Il Club: Musique / Bricolage Pouvoir: Modification du cycle naturel des plantes	Alyn Premier de la classe Mer 21 Fév - 12:51 SOONER OR LATER EVERYONE SITS DOWN TO A BANQUET OF CONSEQUENCES – FT April & Saph Voir arriver Saph aussi rapidement après l’avoir laissé en plan dans son appartement n’aide pas ma colère à redescendre. J’aurais peut-être été un peu plus conciliant avec quelques heures de décalage. Mais visiblement iel a décidé de me prendre à chaud, très bien, de toute façon le feu semblait être le thème de la journée. Je lae regarde froidement, toujours en contradiction avec mes pensées qui oscillent entre l’envie de le traiter de tous les noms et de lae faire sortir de force de chez moi. L’ironie est mon choix final, c’est beaucoup plus drôle quand ça pique. Je lae vois lever les yeux au ciel avant de me répondre d’un ton exaspéré. Je me tourne pour jeter les cendres à la poubelle avant de jeter assez violemment la pelle au sol. Iel n’a pas le droit de s’énerver, pas pour cette histoire où iel est fautif du début à la fin. Saph à merdé du début à la fin et la colère n’avait aucun droit de faire partie de sa palette d’émotions actuellement, elle est à moi. Je serre la mâchoire et serre les poings, tendu. « Tu n'as aucun droit de t'énerver, aucune légitimité à le faire. On vient de m'enlever les seules possessions avec lesquelles je suis arrivé à leoska tu voulais que je saute de joie ? Que je rigole peut-être ? Ah toi par contre ça a eu l'air de beaucoup te faire rire ça il n'y a aucun doute ! - C'est bon, j'avais compris la première fois. J'ai l'air de rire là ? - Tu peux me dire à quel moment dans ton cerveau de grand génie tu t'es dit que c'était une bonne idée ? Tu sais ce qui m'emmerde le plus ? C'est qu'à aucun moment tu l'as arrêté. T'avais même l'air super heureux de l'encourager. Et ben je te félicite Saph, tu as réussi à aider une sombre connasse à se venger, bravo l'idée du date pour m'occuper, je n'y aurais pas pensé. » Iel croise les bras, le regard sérieux. Je vois qu’iel a laissé échapper une partie de son pouvoir et une queue féline bat l’air derrière ellui. T’es agacé ? Tant mieux, je suis hors de moi. La colère est assez forte pour que je sente les larmes commencer à monter. Evidemment, émotif comme je suis, je n’aurai pas pu rester froid. La déception est trop grande pour que je l’envoie simplement chier sans être blessé. Iel regarde le sol en grommelant. Evidemment, monestre Lacey n’a pas l’habitude de se faire gronder, iel a toujours une excuse pour échapper aux représailles. « J'ai ! Grmrlr. J'ai été débile ok ? WOUAH grande surprise, une première, wouhou. Elle voulait se venger et elle aurait pas lâché l'affaire, donc j'ai orienter sur un truc qui m'paraissait être juuuste une crasse inoffensive comme on s'en fait souvent parce qu'IL PARAIT QU'T'EN A RIEN A FOUTRE DE TES FRINGUES. » Grand seigneur, vraiment, grand prince d’avoir orienté la vengeance sur brûler mon armoire. C’est vrai, c’est tellement inoffensif, tellement une merveilleuse idée. Iel ne voudrait pas que je m’incline devant ellui pour lae remercier en prime ? Je lève les bras au ciel, conscients de retenir mon pouvoir qui menace de faire quelques dégâts au sol. « Me voilà sauvé, heureusement que tu l'as orienté sur autre chose plutôt que de m'en parler et me laisser régler le problème. SAPH ELLE A BRULE MES FRINGUES QUI VERRAIT CA JUSTE COMME UNE CRASSE ?!! Evidemment que non j'en ai pas rien à foudre putain c'est les seuls trucs que j'ai ramené de ma vie d'avant, je me suis construit avec ces fringues, elles font partie de l'identité que je me suis forgé ! Super, rayer toute ma nouvelle existence en 5 minutes, mais quel bonheur, merci vraiment ! » Iel laisse planer le silence, semblant prendre conscience de la portée du problème. Ça me permets de prendre le temps de redescendre un peu et de me baisser pour ramasser ma pelle. « Si j'avais su que ça te blesserait autant j'aurais pas fait ça. Tu l'sais. » Iel a les sourcils froncés. Je soupire et me dirige de nouveau vers la chambre en lui répondant, fatigué de me battre. « Et puis c’est pas comme si c’était une bonne idée de venir me voir pour me demander si je suis ok avec le fait que ta pote vienne cramer mes fringues. Mais je ne sais pas, ça me paraît pourtant logique Saph, tu sais à quel point je fais attention à mon apparence, d’autant plus que je ne peux pas me permettre de porter tout type de vêtements. Et beaucoup avaient une valeur sentimentale, c’est pas une question d’avoir de l’argent pour en acheter. C’est ce que j’y associais. » La liberté. C’est ce que représentaient ces vêtements pour moi, ma prise de liberté et le fait de pouvoir enfin être qui je veux être. Sans eux je me sens nu, comme si on m’enlevait ma carapace.

Messages : 450 Age : 23 Feuille de personnage Age: 20 ans Pronoms: Club: Art martiaux Pouvoir: Contrôle hormonale	Saphirre Lacey Trash Can or trash cannot Jeu 22 Fév - 10:18 La PLS Saphirre Lacey 「Going Dark」 J’aime pas. C’est tout, voilà, fin. Des questions ? Non, mais là, toute cette situation, vraiment, ça pue. J’aime pas me sentir aussi con. J’aime pas l’avoir blessé. J’aime pas le voir au bord des larmes. J’suis là, grincheux et inutile à me faire gronder comme un gamin de 5 ans sans pouvoir m’en plaindre vu qu’un enfant de 5 ans aurait été largement en capacité de prendre de meilleure décision. Je l’écoute et m’adosse à côté de l’encadrement de sa porte pour pouvoir continuer à suivre ce qu’il me dit. J’me garde aussi de lui proposer mon aide qui ne serait carrément mal placée. Je contente juste de grimacer en restant à ma place. « Dit comme ça, j’t’accorde que c’est logique. » Gros gros soupire « Bref. J’ai juste été vraiment très con. » Il ramasse les dernières cendres et se retourne pour me regarder droit dans les yeux. « Effectivement. » Je maintiens son regard, non sans une certaine gêne. Les lèvres pincées. « Voilà. » Point. Y’a quoi à dire de plus exactement ? Le silence s’étire, mais pas comme une accalmie ; c’est dans le nom, mais les pauses, étant ce qu'elles sont, ne s’étirent pas. C’est quelque chose de plus accusateur ; il attend quelque chose de ma glorieuse personne. Qui ne vient pas. Je joue à celui qui ne comprend pas, et il finit par abandonner avec un soupir. Ouf. « Et tu comptes faire quoi là ? Me regarder finir de nettoyer ça ? Parce que ça peut être long. — J’sais pas ? T’avais peut-être encore des choses à me dire comme t’es énervé donc j’allais pas me casser direct... ? » Pas comme lui. Non, mais j’l’accuse pas, juste quand on s’engueule j’aime bien qu’on aille au bout d’la démarche quoi, quitte à ce que les mots dépassent la pensée, mais au moins tout le monde à bien vider son stock de venin. J’préfère ça que d’prendre le risque de le voir être distillé petit à petit. « Qu’est-ce que tu veux que je te dise de plus ? J’ai plus de vêtements, oui ça me blesse plus que tu n’aurais pu le penser, et oui je vais donc sortir pour me trouver des trucs à porter qui soient convenables, et oui je hais ta copine de toute mon âme. Je vais pas te demander de rester là comme un punching-ball le temps que je vide ma colère sur toi. Donc vas l’inviter en date, vas t’amuser à cramer d’autres armoires et à faire des douces vengeances comme vous les appelez. Simplement tu lui expliqueras que si elle espérait une quelconque réaction de ma part ça sera juste du mépris parce qu’elle ne mérite que ça. » Voilà, j’l’avais dit il avait encore un gros tas d’sel au bord des lèvres. Pas hyper fan du fait que deux des personnes que j’aime le plus au monde crachent ouvertement sur l’autre, mais en même temps… Elle vient de cramer ses vêtements. J’imagine que ça lui donne le droit d’être en colère. De même que demander à April d’arrêter de le mépriser n’aurait pas beaucoup plus de sens puisque leur relation est vraiment dans un état catastrophique. Autant Phil et Mordred y’a p’t’être de l’espoir. Autant April et lui… eh. Il vide la dernière pelle et soupire à nouveau, en secouant la terre qu’il a sur lui. « Super et ben on va aller faire du shopping en étant dégueulasse quelle merveilleuse journée. » Re-Re-Re Silence. Le troisième protagoniste de cette conversation, visiblement motivé à prendre toute la place. Mes lèvres sont rentrées à l’intérieur de ma bouche dans une expression ridicule, profondément gênée. Hmm. Je vais pas pouvoir y échapper éternellement. Je sais pas pourquoi c’est si difficile alors que c’est ÉVIDENT que c’est nécessaire. Peut être que la honte est une marche plus grosse qu’elle en à l’air. Ou peut-être qu’il s’agit juste d’une forme de vanité très mal placée et pas plus étonnante que ça. « Je suis désolé. » VOILÀ. TU L’SAIS. CONTENT J’ESPÈRE ? UGH. AH NON ET M’REGARDE PAS AVEC UN AIR PLUS DOUX COMME ÇA, CA M’VÉNÈRE. « Je sais. J’attendais juste que tu le dises. Ça mériterait presque que je t’oblige à venir m’acheter des trucs pour ta rédemption. » Comment il me pète les ovaires à être aussi gentil. Il me saoule de fou. Je préférerais LARGEMENT qu’il passe sa colère sur moi comme un punchingball ball, c’est izy. Alors que là. Ben. J'enrage parce qu’il réagit comme la crème de l’humanité et que ça fait que mettre en contraste le fait que je suis un gros bâtard. Conclusion, c’plus simple de détester les autres quand on se hait, notez bien la leçon les enfants. Alors que normalement c’était sa place ça, d’me pourrir, si MONSIEUR DAIGNAIT FAIRE LES CHOSES BIEN. Soupire. Je passe ma main sur mon visage et arrête de m’exciter tout.e seul.e comme um grand dans ma tête. Haussement d’épaules d’un air égal. « Ça serait mérité. » Non, c’est insuffisant et carrément LAXISTE. Tu as l’ASCENDANT. Profite-ens ???? Demande-moi des excuses publiques dans le micro de l’école ? De t’offrir des perles de pluie venue de pays où il ne pleut pas, vu que je suis une Brel (rire enregistré en post-prod pour ce trait d’esprit) ? Ah, bordel. « Amplement. T’as 10 minutes pour te préparer et je te saurais gré de me prêter de quoi m’habiller convenablement. » Il a l’air encore assez tendu, je pense qu’on va vraiment passer une aprèm de folie. Finalement le châtiment s’ra peut-être relativement bien nivelé sur le niveau de la connerie. « Par contre tu me refais une fois le coup de m’occuper pendant qu’on me fait des crasses et de te rendre complice crois-moi que tu ne t’en sortiras pas aussi bien. Et ça ne veut pas dire non plus que tu es excusé. » Logique. Ca s'rais même carrément débile de pardonner si rapidement. J’hoche la tête, l’expression fermée, mais ne finis d’assimiler les implications de ce qu’il me demande qu’après quelques pas. « Même pour des touuuutes petites crasses vraiment pas graves ? » Moment mal choisi. La question aussi. MAIS j’vais pas lui promettre un truc pareil alors que faire des sales coups c’est à peu près 90% de mes activités de la journée ? J’l’ai rencontré comme ça d’ailleurs. Il hausse un sourcil. « Je pense qu’avant de répondre à cette question il faudrait déjà qu’on se soit mis d’accord sur la définition de petite crasse. » Haha. Ha. Ha. Fair enough. Je me racle la gorge. « Hum humm. Ouais. Peut-être. » J’ouvre. « On aura tout le temps en chemin, je reviens. » Je sors et reprend ma respiration après un score vraiment pas déconnant pour une initiation découverte de l’apnée. Ah shit. Ah je suis TENDU. J’ai un bâton à la place de la nuque, juré, April doit avoir l’impression de voir un échafaudage rentré dans l’appart. Content.e qu’elle soit toujours là d’ailleurs. « Ouah. Meuf. C’était trop trop chelou. » Ne recommande pas. Zéro étoile. « Hmm, message de sa part ; tu n’auras aucune réaction de sa part si ce n’est du mépris, car tu ne mérites que ça a ses yeux. Pas d’accord, avec le message of course, mais comme t’as mis beaucoup d’investissement dans ta vengeance, j’imagine que je te devais au moins la transmission d’ladite réaction. J'sais pas si c'est celle que tu voulais ? » Tu traverses l’appart pour aller dans ta chambre, porte ouverte pour continuer à parler. « Et, perso, j'vais sortir le nez d'l'affaire parce que j’ai à me faire pardonner et pas trop envie de foirax toute mes relations à cause de choix de merde. Donc, eh, il m'as demandé l’accompagner s’acheter… lui acheter des fringues, faut juste que j’lui trouve une tenue acceptable pour sortir. Ah shit… » C’pas un problème de trouver des sapes à sa taille (même si je suis plus grand.e uhuh) (De 3 cm, mais, ça compte). Il est plus large, mais tant que je tape pas dans des trucs trop rigides et près du corps ça passe tranquille. L’obstacle c’est vraiment le choix. Parce que les ensembles achetés avec April sont mes seules valeurs sures, mais franchement y’a que des crop-top et j’suis pas sur ce soit son style même si ça lui irait du feu de dieu avec ses abs là ??? Après il m’a demandé des trucs convenables, ça veut pas dire dans son style. Ah y’as ce T-shirt large dont j’ai déchiré les manches sinon. Hmm. J’étale quelques prototypes de tenues sur le lit. « C’est acceptable l’ensemble crop top, pantalon à sangle un peu SF là ? HAN, m'ais est-ce que c’est acceptable de te demande d’l’aide d’ailleurs alors que ton but c’est d’le pourrir ???? Ah situation de merde un peu… » C’cool les polycules hein, ah j’adore, mais quand ça se fighto dedans, on a quand même le droit à des situations lunaires. Je passe une main sur ma barbe en regardant les vêtements d’un air sceptique. « Sinon j’ai un marcel, je crois… C'est bien quand on as des bras pour les montrer, non ? Marcel et sarouel sa rime donc… Aaaah pourquoi il me demande ça… » Il sait pourtant. Déjà parce qu’il m’a déjà vu m’habiller même si j’fais des efforts quand je le vois. Et parce que pas voir le problème avec le fait qu’on brule son armoire est peut-être assez symptomatique d’un rapport un peu fucké aux fringues quoi. Il cherche. Hep, new thème ici J'écrit en cette belle couleur, jalouse pas trop stp#0099cc

Messages : 206 Feuille de personnage Age: 20 ans Pronoms: Club: Lecture Pouvoir: Pyromancie	Aprilynne Beaufort Premier de la classe Jeu 29 Fév - 0:47 023.5 Hell Hath No Fury Sooner or later everyone sits down to a banquet of consequences Avec Saphirre & Phil Quand Saph revient, le poids sur ta poitrine qui devenait assez dur à supporter se libère, et tu es à nouveau capable de respirer. Iel n’a pas l’air de te tenir rigueur de l’état dans lequel votre « blague » a mis son partenaire, ce qui est un véritable soulagement. Iel transmet le message de Phil et tu hausses les épaules. Sa réaction quand il est entré dans l’appartement avec les cendres de ses vêtements t’a suffi, elle était parlante. En plus de ça, le fait qu’il semble ne pas trop en tenir rigueur à Saph amortit le manque de réaction. - Message reçu, la réaction à laquelle j’ai assistée était suffisante. Tu le regardes traverser l’appartement, et fermes ton livre sans regarder la page où tu t’arrêtes : de toute façon, tu n’as rien retenu de toute la lecture. Tu læ regardes passer en l’écoutant. - Bonne idée. Je ne veux pas que ça te retombe dessus plus que ça ne l’a déjà fait. C’est mon idée, et ma vengeance, pas la tienne. Tu regardes Saphirre essayer de créer une tenue avec un air amusé. Iel n’apprend pas de ses erreurs, et malgré les différents cours que tu leur à donnés avec Mordred, tu ne peux que constater que tes talents en matière de mode n’ont pas déteint sur ellui. Tu te lèves du canapé et viens lui apporter ton aide. - Si tu veux qu’il soit encore plus fâché contre toi, c’est la tenue idéale. Je peux te donner des conseils, ne t’inquiète pas, j’ai eu ce que je voulais. Ne lui dis peut-être pas qui t’a aidé.e, par contre. Je pense que c’est plus prudent. Marcel, oui, sarouel, non. Avec le pantalon à sangles, ça peut être acceptable. Ou le crop top avec un pantalon plus simple. Cactus

Messages : 450 Age : 23 Feuille de personnage Age: 20 ans Pronoms: Club: Art martiaux Pouvoir: Contrôle hormonale	Saphirre Lacey Trash Can or trash cannot Mar 5 Mar - 9:49 La PLS Saphirre Lacey 「Going Dark」 Je détaille du regard April un instant. Bon. Si la réaction était suffisante pour elle, ça permet au moins de, j’sais pas. Rétablir leur karma respectif, mettre fin à leurs histoires cheloues d’arch némésis basées sur les destructions d’appartement et de fringues. J’aurais peut-être dû songer à leur trouver un compromis dans un IKEA. Anyway. Bon. C’est passé, et c’est quasi plus mes affaires, youpi. J’aurais pas dû m’en mêler, de base. Par contre. J’sais pas quoi pensé de son regard quand elle me voit agencé des fringuasses. C’quoi ce sourire-là ? D’la fierté ou du foutage de gueule ? AH, impossible à lire, j’suis baisé. Hmm. Impossible à lire, mais pas à déduire, elle vient m’aider donc j’imagine que c’était pas trop d’la fierté. Marcel oui, sarouel non. Ok. « Hmmm. OK. J’croyais que sarouel c’était toujours non sur ouam, mais en fait c’est non tout court ? - Exactement. » Ah. Uh. Bon, t’façon j’en ai plus beaucoup, juste pour trainer depuis qu’elle nous a relooké, mais chais pas, ça lui irait bien. Bon. « Ah. Bon. Bah. Ça me fera plus de pyjamas. » Je me racle la gorge. « Bon J’vais prendre le tout parce que j’suis pas sûr qu’il aime, au moins il aura le choix. Merci, tu viens d’m’empêcher de creuser à la pelleteuse. » Elle rigole et me pat le bras. « Courage. J’espère qu’il ne restera pas en colère très longtemps. » HAhahahahahaha. De même, sauf que c’est bien beau d’espérer, mais ça rachète pas grand-chose. Contrairement à ma CB (et des excuses / un changement de comportement qui joue peut-être légèrement, dans un second temps, j’imagine. Hypothétiquement.). « Merci. J’espère aussi. Bon il est probablement à oilp donc faut que j’me bouge si j’veux pas trop pousser. J’y vais ? » Je laisse l’instant en suspens, ouvert à toute forme de salutation. Elle est moins à l’aise avec ça que ouam donc je préfère la laisser décider. Elle m’embrasse sur la joue. Rjdigeri. Ronronne pas, sale weirdo niais. « Je vais rentrer chez moi. Je t’aime ! - Je t’aime aussi ! » En revanche, vous savez qui ne m’aime plus ? HAHA. Indice ça commence par un P et ça fini par un S. PS : c’est pas « Pleurnichais » à l’imparfait (En même temps j'suis tellement neat qu'on pourrais pas me mettre à l'imparfait) (oe non ok pas le moment de frimer, je reporte, je reporte) , ça du coup c’est ouam devant sa porte. Je finis par re-rentré et wouaw qu’il est beau ce sol, je vais bien bien l’observer, j’adore, quelle œuvre d’art. Du chêne blanc ou du faux ? Un joli plancher avec structures porteuses intégrées, des armatures probablement ; la rive du plancher sert de chaînage horizontal de la construction, on voit que celui-ci a été fait par des vrais pros. Les réseaux sont à noyer dans une chape de ravoirage c’est sûr, sur, sur en fait. Hmm, hmm. Ouais. Bon j’arrête de leurrer mon attention sur cette parenthèse travaux particulièrement reposante. Je relève les yeux pour arrêter de vais la vicos’ et pose les fringues sur la table. « Voilà, j’ai emmené deux ensembles au cas où. Je pense qu’ils t’iront bien. » Hep, new thème ici J'écrit en cette belle couleur, jalouse pas trop stp#0099cc

Messages : 170 Feuille de personnage Age: 23 Pronoms: Il Club: Musique / Bricolage Pouvoir: Modification du cycle naturel des plantes	Alyn Premier de la classe Mer 6 Mar - 17:25 SOONER OR LATER EVERYONE SITS DOWN TO A BANQUET OF CONSEQUENCES – FT April & Saph A peine Saph dehors je me dirige vers la douche. Je réfléchis alors que je fais partir les derniers résidus de terre qui se trouvaient dans mes cheveux. Iel n’avait peut-être pas de mauvaises intentions et semble déjà beaucoup s’en vouloir. Je ne veux donc pas remuer davantage le couteau dans la plaie. Cependant, je ne peux pas laisser non plus passer une connerie de cette ampleur aussi facilement. J’ai envie de l’emmerder encore un peu, lae faire regretter son geste. Mais de la façon dont iel s’y attendrait. Je souris alors qu’une idée me viens en tête. M’énerver serait jouer sur son terrain et je ne suis plus d’humeur à être triste. Par contre je peux jouer aussi. Je sors de la salle de bain avec simplement une serviette autour de la taille. Saph est revenu.e avec un petit tas de vêtements dans les bras, riche idée de me laisser le choix. Surtout au vu de ce qui se trouve sur la table. Je laisse échapper un simple merci puis jette un rapide coup d’œil aux vêtements, prenant mon temps. Après tout, il ne fait pas si froid et rester aussi peu couvert n’est pas quelque chose qui me gêne particulièrement. Reste à savoir si Saph va mordre à l’hameçon. Je vois qu’iel a l’air de phaser totalement en me regardant, le genre de regard qui regarde mais pas de manière tout à fait volontaire. Bien. Iel accroche effectivement, il ne me reste plus qu’à m’amuser un peu. Après tout, c’est notre truc de jouer au chat et à la souris, au jeu de la frustration ultime. Je me redresse, vêtements en main, prenant innocemment la pause. Je hausse un sourcil avec un regard amusé. « La vue te plaît chaton ? » Iel cligne des yeux. « Non, je me demandais pourquoi tu trainais. » A d’autres. « Pas que la vue ne me plait pas, au contraire, grgrgrgrmlgr putain, ce que j’essaie de dire c’est que je matais pas ok ? J’ai juste phasé. » Bien sûr, tu phases sur mon corps presque nu, toute personne qui assisterait à la scène serait convaincue de manière immédiate. Evidemment. Je ne démords pas de mon rôle, partant m’habiller avec mon plus beau sourire. « Bien sûr, je te crois. Après je ne t’en aurais pas voulu. Je reviens, histoire que tu n’aies pas plus de peau sur laquelle phaser. » Je passe rapidement les vêtements choisis, un bas assez simple mais dont la coupe me met plutôt bien en valeur ainsi qu’un marcel en haut. Ce n’est pas ce que j’aurais eu tendance à mettre mais il faut dire que ça a une forme plutôt flatteuse. Je me coiffe avec un chignon un peu lâche et reviens auprès de Saph. Iel boude, bras croisés et visage renfrogné. Parfait. « Bon. On y va ? » Iel commence à fuir vers la sortie et je jubile. Je lui emboîte le pas. « Evidemment. J’ai hâte de voir la nouvelle garde-robe pas trop pourrie que je vais pouvoir me dénicher. » Et à quel point je vais pouvoir te pousser dans tes retranchements. Peut-être que la fin d’après-midi ne sera pas si terrible que ça, bien que je jette un dernier regard mélancolique vers mon armoire. J’en ai vu des abrutis dans ma vie, mais là ça dépassait quand-même l’entendement. C’est ce que j’espérais faire comprendre à Saph durant cette virée, mais à ma façon. Je lae rejoins pour descendre en ville.

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