En venant dans l’école Paul avait trouver la compagnie des autres fantômes de l’école ce qui était autant un bon point qu’un terrible enfer. Aujourd’hui il en avait mare. Comment font-ils pour ne pas s’ennuyer à ce raconter sans arrêt les histoires de leurs vie. Aux yeux de Paul, ils passaient à côté de tout ce que la mort et l’éternité avait à leurs offrir. Après il dit ça mais il n’a pas de vie à partager donc c’est facile à dire.

Toujours est-il qu’il à refusé la partie de carte du soir (sérieusement qu’est ce qu’il avait fait de mal de son vivant pour mériter ça !) pour profité de la seule chose dont il ne se lassera jamais, même après plusieurs éternités : le soleil qui se couche à travers les vitres de la grande serre.

 En passant la porte, il croise l’infirmière qui ressort en courant de la serre, son footing du soir. Paul déambule seul à travers les allées jusqu’à l’arbre du fond dans lequel il adore se poser pour profité de la lumière qui baisse doucement. Il se blottit contre le tronc, sur la cinquième branche du côté gauche. Il à tester, c’est d’ici que les couleurs sont les plus belles et ceux pour toutes les saisons. Il espère s’endormir ici, sans pensé à rien à part la beauté du moment.

 C’est au moment où il commence à s’endormir bercer par le mouvement des feuilles au dessus de sa tête que Mr Rahman fait son entré. Que fout le professeur des mages verts à cette heure si dans les serres. Décidément aujourd’hui on ne pouvait vraiment pas être tranquille nul part. Comme si l’homme ne passait pas assez de temps ici la journée. Sous le bras, il porte une grande caisse. Il la pose sur un banc et ce baisse près d’un buisson. Paul l’observe puisque de toute façon il est réveiller et la magie du moment est brisé. Et puis il apprécie ce monsieur, il à déjà suivie certains de ses cours et c’est sur, c’est un passionné. Mais un passionnée qui vient de déranger le repos de l’esprit frappeur autoproclamé de l’école. D’une façon ou d’une autre il va payer.

La première étape pour bien hanté un humain est de le connaître et de bien observer ses agissement pour avoir toujours un coup d’avance !

 Le mage vient régulièrement observer les petits animaux qui élisent domicile au milieu des serres. A priori, ce soir il n’en à pas après les nids d’oiseaux pourtant nombreux dans l’arbre de Paul. Le fantôme connaît très bien les lieux et sait que plusieurs cocons allait bientôt libérer leurs papillons dans le buisson qu’observe le professeur.

Conclusion : il s’installe pour au chois récupérer les volatiles où leur enveloppe juvénile. Paul ne s’y connais pas assez pour deviner la réponse avec la tête de la boite. Sa théorie se confirme quand il voit le professeur installer une chaise de camping sur l’allée. Il l’entend même marmoner.

« Vous êtes en retard, j’aurais pariez que vous auriez déjà commencer à sortir !»

C’est vrai que l’homme à une connexion avec les animaux mais qui aurait cru qu’il pouvait même deviner l’heure d’émergence d’un papillon.

Le spectre à décider qu’Anju rentrerais bredouille de toute façon. On disait donc :

 Deuxième étapes : signifier sa présence pour créer l’angoisse auprès de la victime. Paul descend d’un bond de l’arbre. Après tout il ne peut rien se cassez. Il passe à toute allure dans l’allée, faisant entendre des bruits de pas seulement derrière l’homme. Super il se retourne ! … mais il retourne vite à ces affaires comme si de rien n’était. Paul s’assoie sur le banc à côté de la caisse et regarde le professeur s’enjoue en remarquant une première fissure sur un cocon. Le spectre fais tomber le sac d’Anju et court écraser des feuilles sèches.

« Il y a quelqu’un ?» Oui il a un doute ! Les bruits s’arrêtent instantanément et reprennent dès que le prof se remet à son travail. Paul le sen déjà tendu, il va pouvoir répété ce principe une ou deux fois avant de passer à l’étape suivante.

 J’ai nommé : faire retomber la pression

Paul regarde donc le professeur faire le tour de la zone pour vérifier qu’il n’y a pas d’élève cacher dans le secteur puis il se remet à son observation. Un peu déçut, Paul constate que l’extase de l’arrivé des papillons fait tout oublier à Anju. Le premier insecte s’envole et fait un tour dans le ciel de la serre avant de se loger sans se poser de questions dans la cage. Il est vraiment fort se mage ! Avant de reprendre ses esprits (vous l’avez !) Paul s’imagine le bal des papillons de toutes les couleurs devant l’orangé du soleil couchant. Qu’est ce que ça aurait été si beau !

 Mais du coup, il faut se dépêcher de passer à la dernière étapes : frappé fort !

Paul n’a pas eu le temps de beaucoup réfléchir donc il déroule doucement le tuyaux d’arrosage, pour barrer le chemin à Anju. Ensuite, il se contentera d’un grand bruit en faisant se cogner plusieurs arrosoirs en métal et de lui piquer sa boite et la faire se déplacer à travers la serre. Pendant que l’homme admire les papillons, le spectre accroche le tuyaux sans un bruit.

ATCHAAAAAAAA

Le mage à le culot de déconcentré Paul pour éternuer ! Le tuyaux se renverse donc entraînant avec lui des outils dans un gros brouhaha.

 Anju, se retourne et avance dans un mouvement d’énervement

« Quand je vous attrape je vous emmène direct dans le bureau de la  »CRAC

Le voilà au sol, un seau sur la tête et le bras dans un angle pas vraiment conventionnel.

Mince ! Le fantôme adore déranger les vivants mais sûrement pas les blesser. Rhalala en plus il n’y à personne, comment faire venir quelqu’un ?

Entre 2 râles de douleurs Anju souffle un grand coup et une ligne de fourmis se forme en direction de l’extérieur. Bon heureusement qu’il est très doué, Paul décide donc de laisser les papillons pour Anju et surveille la performance des fourmis pour attirer de l’aide.